Mon épouse dominatrice avait déjà fait de moi un excellent soumis après seulement six années de mariage. Elle avait tout programmé graduellement, étape par étape. Cela avait été relativement facile. En effet, je suis de tempérament plutôt soumis, et Natacha est par nature une vraie dominatrice avec le physique qui va avec.
Après avoir fait de moi d’abord son amant au petit soin, puis son homme de ménage et son soumis toujours à sa disposition, Natacha a introduit les punitions corporelles, de plus en plus éprouvantes. Au début je ne recevais que quelques fessées à mains nues, avant de devoir rester au coin sans bouger, les fesses rouges et les mains sur la tête. Puis ma jolie épouse dominatrice essaya divers instruments de contention, et de punition de plus en plus douloureux. Plus je souffrais plus elle y prenait plaisir.
Bien sûr, c’est mon épouse qui gérait nos relations sexuelles, et elle avait fini par m’imposer le port d’une cage de chasteté. Comme elle savait que je ne pouvais pas supporter une abstinence totale, elle me laissait avoir quelques orgasmes quand elle l’avait décidé ainsi. Et je devais attendre…
Soirée en célibataire pour mon épouse dominatrice!
Puis, finalement, Natacha décida de me mettre à l’épreuve et de me faire souffrir encore un peu plus. Sans me dévoiler aucunement ses intentions, un soir d’été, elle m’attacha dans la chambre sur le lit, nu, les bras et les pieds en croix, comme elle avait plaisir à le faire souvent. Après m’avoir bien immobilisé, elle prit une longue douche et commença à s’habiller devant moi en hésitant longuement avant de choisir tel ou tel sous-vêtement, telle ou telle robe plus ou moins courte et moulante. Son choix se porta, finalement, sur ce qu’il y avait de plus excitant, mais sans tomber dans le sexy vulgaire. Je ne disais rien, mais un horrible doute commençait à m’envahir. Natacha était sur son trente et un, comme prête à sortir et elle venait de m’immobiliser sur le lit. Cela ne présageait rien de bon, pour moi!
- Je sors ce soir! Tu vas rester là bien sagement à m’attendre!
- Mais où vas tu?
- Je sors en soirée avec un groupe d’amis, mon cœur! Je suis une femme libre et nous sommes un couple moderne, n’est-ce-pas ?
- Et tu vas rentrer quand ?
- Probablement ce soir, sinon demain matin…
…et une baby-sitter pour moi, son mari soumis!
Imaginer mon épouse flirter ou pire encore, était une vrai torture. Je savais qu’il était inutile de chercher à la dissuader. elle avait déjà pris sa décision et j’étais solidement entravé sur notre lit.
- Ecoute, mon amour, je comprends que c’est un peu dur pour toi! Aussi, pour ma première sortie sans toi, j’ai commandé une baby-sitter qui va bientôt arriver.
- Une baby quoi!
- Oui une baby-sitter pour te tenir compagnie. Et j’ai pensé à Sylvie, elle est récemment divorcée, et a du temps libre. De plus, elle a un peu le béguin pour toi, je pense…
J’étais estomaqué. Sylvie était très mignonne certes, mais j’imaginais mal passer la soirée avec elle, alors que Natacha, attirante comme elle avait rarement été, allait passer la soirée avec plein d’inconnus qui ne manqueraient pas de lui tourner autour.
Mon épouse dominatrice regarda sa petite montre en or et m’annonça que Sylvie serait là d’ici un petit quart d’heure, et qu’elle allait partir. J’essayai une dernière tentative.
- Tu ne peux tout de même pas, me laisser attaché sur le lit. Libère moi avant qu’elle n’arrive. Que va penser ton amie Sylvie ?
- Oh, Sylvie se doute bien un peu que je te domine un peu, comme beaucoup de nos amis d’ailleurs. Sylvie est une amie, tu peux avoir confiance en elle.
Puis mon épouse si belle et si cruelle, me quitta sans un mot, plus sexy et plus dominatrice que jamais. Je me retrouvais seul, torturé par la jalousie avec une terrible boule au creux du ventre, et comme une envie de pleurer de rage et de désespoir.
Arrivée de ma baby-sitter, une amie de ma femme!
J’étais depuis un quart d’heure attaché en croix sur notre très beau lit à barreau à me morfondre, lorsque j’entendis Sylvie ouvrir la porte d’entrée. Elle me chercha un peu dans l’appartement avant de se diriger dans la chambre. Ensuite, elle s’arrêta sur le pas de la porte, et mit ses deux mains sur la bouche comme un geste de surprise en me voyant ainsi les membres écartelés avec ma cage de chasteté bien en évidence.
- Mon Dieu, c’est Natacha qui t’inflige cela ? Mon pauvre ami…
Visiblement, Sylvie ne se doutait pas du niveau de domination élevée que ma très sévère épouse dominatrice m’imposait depuis quelques temps.
- Ah Sylvie, tu es enfin arrivée, tu vas pouvoir me délivrer.
Sylvie s’assit sur le lit à coté de moi. Elle n’est revenait pas, elle hésitait encore entre rire de cette situation ou me plaindre. J’étais terriblement gêné, et impatient que Sylvie me libère de mes liens.
Sylvie très nerveuse, se mit à parler très vite :
- Mon Dieu, je ne savais pas que Natacha et toi viviez une relation pareille ! Bien sûr, je vois bien que c’est elle qui porte la culotte, mais quand même ! Comment appelle-t-on cela déjà ? Ah oui, c’est une relation de domination féminine et homme soumis qu’on dit, je crois. Ecoute je suis très embêtée, j’ai promis à Natacha, promis juré, de ne rien faire du tout avant qu’elle ne m’appelle au téléphone, pour me donner ses instructions. Je pense que ne rien faire du tout, signifie te laisser attaché dans cette position, non ?
J’implorais en me tortillant sur le lit :
- Tu n’es plus mon amie ?
- Si bien sûr, mais je suis l’amie de ta femme aussi, et ce soir, c’est elle qui m’a engagée. Je suis son employée en quelque sorte.
Instructions de mon épouse pour la baby-sitter!…
Sylvie me sourit gentiment et me posa la main sur le ventre avec beaucoup de douceur.
- On doit passer la soirée ensemble. Il faut essayer que tout se passe le mieux possible, n’est-ce pas ? Je vais aller te chercher un peu d’eau fraiche, et je vais te passer de la crème sur le corps pour te détendre un peu, en attendant le coup de fil de Natacha.
Sylvie prit son rôle de baby-sitter très au sérieux et s’occupa de moi pendant un bon moment avant de recevoir le coup de téléphone attendu. Ses caresses étaient douces, et je commençais à me détendre un peu, en essayant de ne pas penser à ce que faisait Natacha pendant ce temps.
Finalement le coup de fil arriva, Sylvie prit son portable et s’installa confortablement dans un petit fauteuil. C’était, surtout, mon épouse qui parlait. Sylvie se contentait d’acquiescer, de sourire, et de se tortiller sur le siège. Elle semblait très excitée par ce que lui disait mon épouse. La jupe de Sylvie était remontée en haut de ses cuisses, me laissant entrevoir sa petite culotte blanche. Pendant la conversation, Sylvie tenait son portable d’une main et de l’autre se caressait la poitrine et les jambes comme si elle avait oublié ma présence. Je ne cessais de la regarder. Sylvie était aussi blonde et douce que Natacha était brune et cruelle!
Domination par procuration!
A la fin de la communication, Sylvie s’approcha de moi, me mit la main sur la poitrine et me souffla gentiment :
- Ton épouse Natacha veux que je te domine par procuration pendant qu’elle s’amuse avec ses amis. Elle m’a donné une to do liste très intéressante.
- Tu vas me dominer Sylvie ? Mais tu n’es pas une dominatrice toi !
- Non, mais n’oublie pas que je suis l’employée de Natacha, je dois faire ce qu’elle me dit. Elle m’a confié que ce serait un vrai délice pour elle, de te savoir entre mes mains pendant qu’elle s’amuse.
Sylvie chercha et trouva dans la chambre grâce aux indications de Natacha, tout ce dont elle avait besoin pour s’occuper de moi. Elle avait donc récupéré un plug anal, un tube de gel lubrifiant et un double de la clef de la cage de chasteté. Je ne disais rien, attendant que Sylvie me libère le sexe.
- Natacha m’a demandé de te mettre un plug, alors je vais faire comme demandé!
L’humiliation était totale. Ma blonde baby-sitter prit le sextoy et l’enduisit de gel. Elle commença par me l’introduire très doucement tout en me caressant les cuisses. Je me laissais faire docilement.
Je comprenais que mon épouse avait bien prévu son coup. Sylvie était une fille très gentille, assez influençable et pourvue d’une libido d’un très haut niveau, d’après ce qu’il se disait…
- Voilà, après le plug, Natacha veux que tu me suces, et ensuite seulement je dois te libérer le sexe, si tu m’as bien lécher avant !
Une baby-sitter très professionnelle!
Sylvie prenait son rôle très au sérieux. Elle remonta sa jupe, retira sa petite culotte blanche à dentelle et monta sur le lit. Puis elle m’enfourcha rapidement. Ses cuisses chaudes entouraient mon visage. Elle mit ses mains sous ma nuque pour guider ma bouche vers son sexe.
- Sylvie, cela fait plusieurs jours que mon épouse me prive d’orgasme, je te promets de m’appliquer pour que cela soit agréable pour toi. J’ai hâte que tu me retires ma cage!
J’embrassai son sexe à pleine bouche, sans oublier de taquiner son petit clitoris avec le bout de ma langue. Ma baby-sitter, dominatrice par procuration, semblait apprécier ce traitement. Elle se caressait la poitrine voluptueusement, tout en gémissant de plaisir.
Après un long moment Sylvie se retourna, et se pencha sur mon sexe enfermé, minuscule et malheureux, par la seule volonté de mon épouse dominatrice et de sa lubrique baby-sitter.
- Je vais libérer ce pauvre oiseau ! Mais je te garde attaché, comme me l’a recommandé ta gentille épouse qui pense bien à toi en ce moment.
Sylvie s’activa sur ce petit instrument de torture et de soumission, ses mains étaient douces et précises. Au fur et à mesure, mon sexe grossissait, car je ne pouvais retirer de mon esprit ses cuisses chaudes et sa petite chatte toute rose…
Elle saisit mon sexe à pleine main, et de l’autre elle me saisit les testicules, en les serrant fort.
Elle me regarda avec un air très coquin, me sourit gentiment et me dit doucement :
- Je ne savais pas que je te faisais cette impression là, dit-elle en me serrant le sexe encore plus fort. Et maintenant que fait-on ?
A suivre…
sacre epouse..wouha
Très très bonne entrée en matière, vivement la suite
Merci
Très excitant ! La suite please…