I L’hameçonnage
Nous nous sommes rencontrés sur slave selection. C’est un des rares slaves qui écrivait sans fautes d’orthographe et qui parlait avec déférence. Il n’était pas mon premier essai, j’avais déjà rencontré quelques candidats mais ils n’avaient pas résisté plus de quelques semaines. Ils me trouvaient trop méchante. Je suis méchante mais c’est clairement indiqué sur mon profil. Ils cherchaient aussi à avoir des contacts sexuels et prenaient des initiatives, ce qui m’horripile.
Après quelques messages sur slave selection, j’ai décidé que j’allais encore tenter ma chance et voir si enfin celui-ci pourrait devenir un vrai esclave. Il utilisait un pseudo tellement débile, « bandouille », que cela m’avait fait sourire. Nous avons approfondi nos contacts sur Skype, il m’a envoyé deux photos suffisamment correctes pour que je ne le rejette pas. Il semblait bien être de l’ordre des 29 ans qu’il annonçait et mince mais bien baraqué. J’ai donc décidé de lui faire subir son premier test sérieux.
Je lui ai d’abord demandé de me faire cadeau d’un dvd sur amazone, son choix m’a satisfaite, un film anglais sur deux filles amoureuses dans l’Angleterre des années 1850. Je lui envoyé une liste de courses à faire dans un supermarché, pleine de pièges sur des choix précis de lessive et de tampons hygiéniques et je lui ai dit que je le retrouverai à 17h30 sur le parking que je lui ai indiqué. Bien sûr, je lui ai envoyé un sms à 17h15 lui disant que je serais en retard et je suis arrivée un peu après 18h. Il m’avait donné la plaque de sa voiture, je l’ai donc vu tout de suite, grand mec l’air gêné d’attendre debout à côté de sa voiture comme je l’avais demandé. J’ai décidé qu’il était assez bien et l’ai abordé « suis ma voiture, on va chez moi ». Il m’a répondu « Bonjour Maîtresse, je vous suis » comme je l’attendais. J’ai démarré sans attendre, conduisant à une vitesse vite mais pas trop pour qu’il puisse me suivre s’il conduisait bien. Nous sommes arrivés devant chez moi.
Je lui ai dit de me suivre et qu’il prendrait les courses plus tard. Nous sommes entrés dans mon appartement et comme je m’y attendais, il ne s’est pas mis à genoux pour me vénérer. C’est vraiment tellement prévisible les mâles, j’ai pris mon air le plus courroucé (en fait sans effort, j’étais vraiment fâchée) pour lui dire très sèchement « Alors esclave, on ne rend pas hommage à sa Maîtresse ? A genoux ! » Il s’est exécuté, apeuré, je lui ai tendu mon pied droit « Lèche la botte », j’avais veillé à ce qu’elle ne soit pas trop propre, ce n’est pas difficile de marcher dans la boue, et il l’a nettoyée de sa langue, puis s’est concentré sur ma botte gauche.
« Sers moi un verre de vin blanc et va chercher les courses, ne traîne pas » Cela lui a pris quatre trajets, bien fatigants pendant lesquels j’ai pu siroter agréablement mon vin. « Déshabille toi et montre-moi ce que tu as acheté » Une bonne épreuve, se déshabiller devant une personne que l’on ne connait pas. Il a gardé son slip ce qui m’a permis de lui dire « Tu as quelque chose à cacher, à poil ! » ce qu’il a fait sans mot dire « On dit Oui Maîtresse quand je te donne un ordre minable vermine ! » Banco ! J’ai vu à ces mots son sexe durcir et entrer en érection, les 20×6 annoncés sur son profil, joli spectacle, cela m’ouvre des perspectives intéressantes. Il m’a montré ses achats et j’en ai rejeté une demi-douzaine, pas la bonne marque, trop grande quantité, tout était bon pour lui montrer qu’il était minable.
« A genoux, cuisses écartées, baisse le regard, je ne t’ai pas autorisé à me regarder » J’avoue, j’avais légèrement relevé ma jupe, il a aperçu un instant mon string bleu en dentelle et cela l’intéressait beaucoup… « Six erreurs dans tes courses, cela vaut six gifles » J’ai un bon mouvement de la main et mes gifles sont douloureuses. Surtout six, les deux premières servent d’échauffement, les suivantes font mal. Bandouille a été surpris en effet par la violence des coups et je l’ai senti frémir. Cela m’a fait plaisir…
Je lui ordonné ensuite de se mettre en levrette, cul bien relevé, cuisses écartées, tête vers le bas. J’avais en main un long chausse-pied métallique, je lui inspectais le corps en le parcourant avec le chausse-pied. Le métal froid lui donnait des frissons. J’ai frappé les cuisses pour mieux les écarter, puis donné quelques coups sur les fesses, sous différents angles, pour dire d’un ton sec « cela tremblote trop ces fesses, il faudrait les raffermir », ce qui était excessif, il avait de belles fesses bien fermes et bien dessinées. Il bandait ferme, j’ai commencé à jouer avec ses couilles, les secouant avec le chausse-pied, et puis bing ! un bon coup, manifestement cela a fait de l’effet, il a poussé un cri. Comme je le voulais, j’ai pu lui dire « silence connard ! Si tu veux devenir un esclave, tu dois supporter la douleur ! » et lui donner un bon coup sur le sexe, suivi d’un deuxième. Je l’ai vu mordre sur ses lèvres, sans bruit.
« Rhabille toi et dégage, je t’ai assez vu » lui ai-je dit sur un ton très posé. Il s’est rhabillé, a voulu me baiser les bottes « je ne t’ai pas autorisé, fiche le camp » ai-je ajouté en lui donnant un coup sur le visage. Il a osé parler « Quand vous reverrais-je Maîtresse ? » « T’ai-je dit que nous nous reverrions, misérable larve, déchet répugnant ? Tu verras si je te rappelle ! »
Il m’avait sérieusement émoustillé, j’ai dit à un de mes amants de m’inviter au restaurant et je l’ai baisé ensuite avec délice ce soir- là.
Une premier épisode très fort émotionnellement et fait l’éloge de la dominatrice