Chapitre 1 : la rencontre.
A 18 ans, je trouvais enfin un kot d’étudiant sur Bruxelles.
L’annonce disait : « chambre pour étudiante bien élevée, calme et obéissante. »
Comme je n’avais rien trouvé pour moi, je me décidais de rencontrer la propriétaire, Isabelle, et lui déclarais que c’était pour ma sœur. Je lui certifiais qu’elle n’aurait jamais aucun problème avec elle….
Elle accepta de la louer, mais qu’elle ne fut pas sa surprise en me voyant arriver le premier septembre….
Je lui expliquais que ma sœur avait raté son année et que je la remplacerais avantageusement.
Prise au piège et de mauvaise grâce, elle accepta que je la remplace.
Mais dans sa tête, elle se jura de me faire payer cette combine foireuse.
Elle savait que je lui avais menti, elle voulait une fille et aurait finalement mieux qu’une fille….un jeune étudiant soumis à transformer en soubrette soumise et obéissante !
Elle décida donc , à mon insu et sans me donner le choix ,de reprendre mon éducation en main. Isabelle avait toute l’année pour me transformer tout doucement et ainsi me faire payer ce mensonge.
Durant cette année, j’allais tout doucement m’enfoncer dans la soumission et découvrir une nouvelle vie faite de nouvelles expériences, de découvertes et de punitions.
C’était une modeste petite chambre de bonne dans une grande maison bourgeoise.
La chambre se trouvait dans les combles. Un lit avec des barreaux métalliques, un petit bureau et une penderie composaient le mobilier. Une porte donnait sur une petite salle de bain avec douche, toilette et lavabo.
J’étais assez efféminé, sans poils, très fin, sans muscles et sans aucune expérience sexuelle.
Isabelle vivait seule. En aucun cas, je ne devais la déranger ou faire le moindre bruit. Un règlement des plus strictes était d’application. De plus, je devais m’occuper seul de la propreté de mon petit studio.
L’année scolaire débuta donc et ma première semaine se déroula très bien.
Le vendredi après-midi, comme prévu dans le contrat, je trouvais en bas de l’escalier un seau, une serpillière et tout le matériel pour nettoyer mon studio.
N’ayant jamais fait cela et n’ayant aucune envie ni inspiration, je bâclai le travail.
Un fond d’eau, un coup de raclette rapidement passé et j’estimais que c’était propre. Je jetais le couvre lit pour cacher le désordre en dessous
Je descendais l’escalier, tout joyeux de rentrer chez moi, avec ma valise quand je croisais Isabelle qui m‘ordonna de lui montrer la propreté du studio…..
Après un rapide coup d’œil, Elle se retourna vers moi.
– Mais c’est mal fait tu n’as pas respecté nos conditions. Ta chambre est dégoutante.
– Tu te conduis vraiment comme un petit idiot Je vais te montrer comment on peut changer quelqu’un d’une manière radicale.
Je ne comprenais pas toute la portée de cette menace et Je lui avouais humblement et avec la voix la plus douce et repentante que je n’avais aucune compétence ni expérience en la matière.
Isabelle me tordit l’oreille et me força à la suivre. Je ne pouvais m’empêcher de pousser de petits cris de douleur et, courbé en deux par la douleur, elle m’emmena près du téléphone
– Téléphone à tes parents. Dis leur que tu as trop de travail et que tu restes ce week-end à Bruxelles pour travailler. Je vais te donner quelques leçons pratiques qui te feront le plus grand bien. Non seulement tu vas nettoyer ta chambre mais aussi tout le rez-de-chaussée de la maison pour t’entrainer et pour que cela te serve de leçon.
Après m’être exécuté, je l’attendais tristement assis sur une chaise dans la cuisine. Mon weekend était foutu et l’avenir me semblait assez sombre. Je ne verrais pas les copains ce week-end.
Je décidais d’essayer de trouver des excuses pour échapper aux différentes corvées. Je lui expliquais entre-autres que je n’avais pas d’habits pour ces différentes taches.
Isabelle sauta sur cette occasion et décréta que ce n’était pas un problème. Elle me fit mettre nu. Elle me donna une petite culotte rouge en dentelle et me passa une robe de fille. Puis , me noua un foulard atour de la tête avec interdiction formelle de l’enlever. Elle me laissa pieds nus.
– Voilà, comme cela tu es prête. Les soubrettes adorent marcher pieds nus ou avec des talons démesurés. Tu as de la chance, aujourd’hui tu pataugeras dans l’eau.
– Prends le matériel et commence de suite. Je ne veux, en plus, strictement rien entendre. Si c’est bien fait et si tu ne traines pas, ce soir tu seras récompensé ou disons…. moins puni.
Je commençais à paniquer. Isabelle prenait de plus en plus l’ascendance sur moi. J’avais l’impression qu’elle me dominait et me broyait l’esprit et ma personnalité inexorablement.
Dans un dernier sursaut de désespoir, j’essayais de discuter avec elle, mais elle se montra inflexible et fidèle à sa promesse elle me mit un bâillon boule dans la bouche fermé avec un petit cadenas dans le cou.
– Ne me déçois plus, tu pourrais faire le ménage d’une manière plus inconfortable encore… Il est vendredi 16h, tu as jusqu’à 20h pour nettoyer. Je m’en vais et je reviendrais ce soir pour vérifier. Je veux un travail parfait !
A ma plus grande humiliation, elle prit des photos de moi et s’en alla en claquant la porte .
J’étais piégé. Obligé de nettoyer dans une tenue ridicule.
Pas moyen de m’échapper ni de téléphoner.
Je décidais donc de faire ce qu’elle attendait de moi le mieux possible afin de pouvoir passer une plus agréable soirée.
Vers 20 heures, le travail était fini. N’ayant reçu aucune consigne pour la suite, je décidais de l’attendre en regardant la télévision.
Le bâillon me faisait saliver aussi j’accrochais à mon cou une serviette de bain, afin de pas baver partout…
Enfin, vers 22 heures, je l’entendis revenir.
– Et bien, tu prends tes aises….je ne pense pas t’avoir autorisé à regarder la télévision, ni à t’assoir dans mes fauteuils
Je grommelais quelque chose, de tout à fait inaudible, ce qui la fit bien rire. Je lui faisais de tendres yeux pour implorer son pardon et la levée de la punition.
Elle reprit son air sévère et m’enleva enfin le bâillon
– Tu bois un verre d’eau et tu vas dormir de suite sans poser de questions . Demain tu auras une dure journée que tu ne peux même pas imaginer.
Sans un mot, je montai tristement l’escalier, je défis ma valise et commençai à me déshabiller . Quelques instants plus tard, Isabelle rentra dans ma chambre. Elle prit toutes mes affaires masculines qu’elle mit dans un grand sac et me passa une nuisette.
– A demain, tu verras, tu seras contente d’apprendre quelque chose… Tout ton travail de cet après-midi est nul et archi nul. Tu as tout ton weekend pour apprendre et ça va chauffer. Je veux t’appeler à partir d’aujourd’hui Warrita et toi tu dois toujours parler de toi au féminin et si tu veux me parler, tu m’appelles Maîtresse Isabelle et tu me demandes la permission. Attention aux punitions en cas d’oubli….Tu restes dans ton lit, sans bouger, jusqu’à nouvel ordre. Et surtout ne t’avise pas à te toucher ou de jouir. Comporte-toi comme une gentille petite fille devrait l’être.
Elle saisit une chaine qu’elle fixa à ma cheville et au montant du lit et me posa un foulard sur la bouche afin que je n’oublie pas de rester silencieuse.
Plus moyen de sortir du lit sans son accord.
– J’espère sincèrement pour toi que tu as compris Warrita ! Sinon, tu verras qu’il y a des façons beaucoup plus inconfortables de passer une nuit
Sur ces quelques mots, elle me gifla plusieurs fois, puis me quitta en fermant la porte de ma chambre à double tour.
Tout était bien prémédité.
Le piège est refermé, Isabelle sait que demain, Elle aura des motifs de mécontentements….
Chapitre 2 : Un bon prétexte pour me travestir.
Voilà, je suis seule dans mon lit, dans le noir complet.
Je sens avec un délice non connu jusqu’ici, le doux touché de la soie sur moi et le foulard me bâillonnant. A ma grande stupéfaction, je commence à bander. Que faire, j’essaye de penser à autres choses, de ne penser à rien, de bouger légèrement….
Rien à faire, au contact de la nuisette, mon érection revient chaque fois plus forte.
Après un certain temps écoulé, je n’arrive plus à me contrôler et un puissant jet vient me soulager.
Apres le premier moment d’extase passé, je me rend compte de l’étendue des dégâts et des différentes conséquences de mon acte.
La nuisette est toute collante, les draps sont souillés….
A part dormir et attendre les foudres de ma Maitresse, je ne sais rien faire…
Chapitre 3 : Comment nettoyer les sanitaires.
Il doit être 10 heures du matin. Il fait noir dans ma chambre mais j’entends du bruit dans la maison.
Maitresse Isabelle rentre dans ma chambre. Horrifiée, Elle contemple mes pollutions nocturnes.
– Tu t’es donné bien du plaisir, et en plus ton bâillon a bougé. Et bien ce sera la dernière fois avant longtemps, tu peux me croire. Je vais changer tes mauvaises habitudes.
Une bonne paire de gifles me réveille complètement. Elle défait le cadenas et je peux enfin me lever.
Après une rapide toilette, elle me donne à mon grand étonnement mes habits pour la journée. Un slip en dentelle et un costume de soubrette noir.
Avant de m’habiller, elle me met un corset très serré à la taille qui m’oblige à faire des petits pas et à me tenir bien droite.
Je tente de protester….
Maîtresse isabelle me tord violemment l’oreille et me place à ses genoux.
– Ecoute Warrita, je ne vais pas passer toute ma journée à m’occuper de toi Tu obéis et un point c’est tout. Si tu n’es pas d’accord j’envoie tes photos d’hier sur internet à toutes tes petites amies.
Piégé, je lui réponds :
– Bien Maîtresse, je vous obéirais comme une parfaite soubrette toute la journée.
Une paire de gifles me fit tout de suite corriger mon erreur :
– Bien… Maîtresse Isabelle
Je descends dans la cuisine et je suis forcé d’avaler rapidement un verre d’eau et une croute de pain.
Maîtresse me donne une éponge, du produit récurant et m’ordonne de faire à fond tous les sanitaires de la maison. Elle m’enfonce le boubou de cabinet dans le derrière, me bâillonne avec un foulard et me prie de commencer sans tarder mon travail.
– Tu passeras avec ta langue dans tous les endroits que je jugerais insuffisamment nettoyés. Si tu enlèves ton bâillon, sans permission, je te jure que tu passeras la nuit avec des pinces fixées à ta queue Au travail, fainéante !
Puis sans plus un regard pour moi, elle s’installe confortablement dans le jardin et m’oublie complétement, heureuse de son pouvoir et du travail ménager qui se réalise tout seul.
Je sue, je râle mais je frotte et j’astique du mieux que je peux. 3 toilettes, 2 douches, 1 baignoire, 3 lavabos.
Je fais bien attention que le bâillon ne glisse pas tout seul . Je fais des petits pas car le corset et le boubou de cabinet déclenchent des douleurs dès que je fais de plus grands mouvements.
Je passe ma matinée, seul, humilié à essayer de satisfaire au maximum ma Maîtresse Isabelle.
A midi, Maîtresse Isabelle me rejoint. Pendant qu’elle me passe un collier et une laisse elle m’ordonne :
-Warrita, la prochaine fois que tu termines un travail, tu te mets dans un coin, les mains sur la tête et tu m’attends sans bouger. Allez à 4 pattes, tu me suis, nous allons examiner ton travail.
Je la suis comme un petit chien dans toutes les pièces.
Chapitre 4 : Mon premier diner.
Je suis à genoux devant la baignoire. Maîtresse Isabelle, après avoir baissé sa culotte remplit un bol de son urine.
– Warrita, je suis contente de toi. Tu vois que quand tu veux, tu peux. Prends le bol et va chercher dans la toilette le cadeau que j’ai laissé pour toi.
Courageusement, je cueille dans la cuvette une petite crotte que je mets dans le bol. Elle flotte à la surface du bol et sa vue me soulève le cœur.
-Tout travail mérite salaire, en plus il est temps de manger. Installe-toi sur une chaise dans la cuisine.
Elle me noue une grande serviette autour du cou, puis, en souriant, me tend le bol avec une petite cuillère.
-Bon appétit, ma petite Warrita
– Tu manges et tu bois tout. Tu as exactement une demi-heure pour savourer ton diner. Tu n’auras rien d’autres à manger avant ce soir. Ensuite tu te laves entièrement et tu me rejoins au salon. 30 minutes pour manger, pas une minute de plus ni de moins !
Je mange délicatement à la petite cuillère en retardant au maximum le moment où je devrais avaler le morceau flottant.
La petite cuillère me fait profiter sadiquement de toute la saveur du bol.
Finalement, je l’avale et c’est horrible. Les 30 minutes se sont écoulées. Je fais la vaisselle de ma tasse, je me lave entièrement et surtout les dents, puis je rejoins Maitresse Isabelle au salon.
– Alors, Warrita chérie, c’était bon…Maitresse t’a gâté aujourd’hui.
– C’était délicieux Maitresse Isabelle.
C’est l’heure de la sieste, et très vite je me retrouve étroitement lié sur le tapis à ses pieds.
– Surtout, ne bouge pas, dit-elle ironiquement. Prends des forces pour continuer et faire du bon travail tout à l’heure.
Il me semble que je vis en plein cauchemar mais je ne peux cacher mon excitation…
-Attention Warrita, tu ne sais pas de quoi je suis capable si tu jouis sans permission…
Vers 16 heures de l’après-midi, Maîtresse Isabelle me libère. A l’aide de la laisse, elle me conduit dans ma chambre et m’installe sur la chaise devant le bureau. Elle me donne du papier et des bics de différentes couleurs
– Bien, maintenant tu vas écrire 500 fois en changeant de couleur à chaque lettre le texte suivant : « je m’appelle Warrita, j’appartiens à Maîtresse Isabelle Mon seul désir est de la servir et de lui obéir de toutes mes forces. Je suis son objet, sa chose, je ne peux plus penser par moi-même ni parler sans autorisation. »
Devant la bêtise de cette punition, je ne peux m’empêcher de protester et de lui dire que j’ai des cours à étudier.
Pour toute réponse, Maîtresse prend le bâillon boule qu’elle m’enfonce dans la bouche et le ferme dans la nuque avec un cadenas.
– Je m’en vais, tu resteras ainsi jusqu’à la dernière ligne écrite…
Elle ferme la porte à double tour.
Je pleure, je râle mais je commence à faire cette fastidieuse punition qui me prendra plusieurs heures. J’ai appris qu’avec Maitresse Isabelle, le temps ne compte pas, seul le résultat est important.
Le temps joue pour elle, et change tous les récalcitrants les plus durs en de douces soubrettes.
Ainsi se termina mon premier weekend d’étudiante !
Chapitre 5 : Retour à l’école.
Pour aller à l’école, Maitresse m’a obligé de mettre un porte jarretelle, des bas et une petite culotte. Ainsi, elle est sure que je ne draguerai pas et que je rentrerai directement après les cours.
Je dois dire que c’était supportable, surtout que Maîtresse m’a promis une surprise pour Samedi, si je me tiens bien toute la semaine.
Elle m’a interdit de parler aux autres et m’a confisqué mon téléphone.
La semaine se passe plutôt bien. Dès que je rentre je me mets au travail.
Vers 19h, je mange un léger repas et je dois me coucher vers 20h.
Maîtresse passe vers 20h30 pour me dire au revoir et voir que tout est bien en ordre et préparer mes habits pour le lendemain.
Est-ce qu’il y aura une suite?
C’est avec impatience que j’attends la suite 🙂