Esclaves mâles soumis, la fête du troc (la vie au domaine)

| | ,

esclaves mâles soumis

Fête du troc d’esclaves

Au domaine, il y avait une fête traditionnelle, organisée par l’une des Maîtresse d’un mouvement féministe-gynarchique local, la fête « brunch and barter » . Cette fête était, également, appelée: La Fête du troc d’esclaves. Elle était organisée 2 ou 3 fois par an.  Elle se tenait très souvent dans la forêt avoisinante du domaine ou dans un endroit isolé en pleine nature. Cet évènement, très privé et gardé secret, rassemblait en moyenne 30 à 50 femmes-maitresses sur les 140 membres actifs du mouvement gynarchique. Il y avait aussi 20 à 30 esclaves, (majoritairement des femmes). Tous étaient réunis autour d’un barbecue ou d’un buffet canadien pour organiser l’échange temporaire de soumises et esclaves mâles soumis.

Ma journée commença à 06h00 par le repassage de ma plus belle tenue spécialement créé pour diverses activités. Mon nom « lickerdog » était inscrit sur le devant et mon appartenance au dos. Dans le même temps, mes Maîtresses préparaient le panier de pique-nique ainsi que les caisses de boisson et matériels de cuisson. Je devais, ensuite, tout charger dans la voiture au rythme des injures et coups de pieds de ma Maîtresse. Enfin, je fus autorisé à me laver rapidement, puis je servis de chaise durant leur séances de maquillage et préparations.

Départ pour la fête

A 08H00, à l’heure du départ, Maîtresse Sandy, me donna un de ses vieux shorts et un t-shirt. Elle m’ordonna de m’allonger dans le coffre de la voiture. On partit pour 3 heures de route dont 1 heure de chemin forestier. A notre arrivée sur place, Maitresse Maylee me libéra de ma prison de tôle. J’étais, complètement, endolori. J’avais beaucoup de peine à sortir du coffre. Cependant, les insultes et les coups de cravaches me poussèrent à sortir rapidement du coffre et ce, malgré mes crampes.

Sous sa direction, je déchargeai la voiture. Beaucoup de personnes étaient déjà sur place. Les femmes étaient en pleine discussion alors que les esclaves mâles ramassaient le bois, préparaient les barbecues et montaient les tables. Les femmes soumises organisaient les places de repos et les repas communs. Elles préparaient, également, la nourriture sous la direction de deux femmes organisatrices qui dirigeaient les esclaves d’une main de maitre. On voyait qu’elles étaient habituées à organiser  ce genre d’évènement.

Présentation du soumis

Maylee, m’emmena vers l’une des deux directrices puis lui précisa que j’étais le nouveau et que j’étais un peu paresseux. Il ne fallait donc surtout pas hésiter à me faire travailler durement et à me punir si je n’étais pas assez rapide. La directrice me regarda avec mépris de la tête aux pieds et s’exclama:

-il est sale, mal entretenu ! Pourquoi est –il encore habillé de la sorte?  Mettez-le à la corvée de bois avec les autres esclaves !

Maitresse Maylee m’ordonna d’enlever mes habits et de les déposer dans la voiture. Seules les femmes soumises avaient le droit de porter un habit. Les hommes étaient ramenés au rang des animaux et la nudité faisait partie intégrante de leur acceptation de la soumission totale.

Maylee fit un signe de la main à un des esclaves mâle afin de le faire venir. L’esclave courut et se jeta à ses pieds pour les embrasser. Maylee me regarda et pointa l’autre esclave du doigt en disant :

voilà comment se comporte un véritable esclave respectueux de la femme!  apprend et prend exemple! Est-ce claire ?!

Elle m’ordonna de me mettre à genou face à l’autre esclave afin de nous enchainer l’un à l’autre par nos colliers respectifs puis elle dit à l’autre esclave avec beaucoup de tendresse :

lickerdog sera ton porteur! Fais le travailler ce chien fainéant!  allez-y au pas de couse, en silence et que ça saute!. 

Préparation de la fête

Puis nous sommes partis pour un marathon pour collecter du bois. Non seulement, je transpirais fortement mais mes courbatures du voyage dans le coffre, me faisaient également, souffrir. Mes pieds étaient en sang et je ne pouvais même pas m’arrêter. En effet, mon compagnon me chargeait tel un bœuf et me tirait sans cesse malgré mes suppliques pour ralentir.

Une fois terminés, Maylee nous libéra et m’ordonna d’aller vers la rivière pour me nettoyer et me sécher. Elle ne voulait pas de traces de sang sur mon habit. Ensuite, elle m’aspergea le corps avec un spray désinfectant. Elle m’ordonna de mettre mon habit propre afin de servir les convives car j’étais préposé au service des boissons.

Au milieu de l’après-midi, toutes les convives était présentes et bien parties pour faire la fête. La présidente du rassemblement sonna une petite cloche afin d’annoncer aux esclaves mâles soumis et soumises  qu’ils avaient le droit à une heure de liberté. Ils pouvaient, également, manger les restes avant de procéder au troc. Puis elle nous rappela que les esclaves mâles, ne devaient jamais oublier la règle suivante. Une  femme est toujours prioritaire, qu’elle soit Maîtresse ou esclave. Elle est une femme avant tout. Les hommes ne sont nés que pour être leurs esclaves et serviteurs.

Humiliation des esclaves mâles soumis

Les 15 soumises présentes, après avoir mangé à leur faim, ont décidé de s’amuser à nous diriger et à nous humilier. Nous n’étions que 7 esclaves mâles soumis. Il ne nous restait que quelques morceaux de poulet, des épis de maïs, et des restes entamés de pommes de terre cuites à partager entre nous 7 ainsi qu’une bouteille d’eau à partager. Cependant, les filles nous ont informés que c’étaient elles qui décideraient de qui mangerait quoi.

Les filles se sont mises à chuchoter et rigoler entre elles. Elles se sont assises par terre en demi-cercle, les jambes allongées et bien écartées pour nous faire bander et saliver à la vue de leur chatte. Elles nous ont informé que si on voulait manger, nous devions auparavant lécher leurs pieds sales pour obtenir un morceau de viande. J’ai refusé.  Elles ont donc décidé de nous donner une leçon collective en s’amusant à uriner sur notre nourriture. Elles ont ensuite enfilé les morceaux de poulet dans leurs vagins et nous ont ordonné de les lécher et d’extraire avec la langue si on voulait manger. J’ai à nouveau refusé,  puis deux des soumises, ont uriné dans notre unique bouteille d’eau puis nous ont obligé à la boire.

Comme j’étais nouveau et pas encore rodé à toutes les finesses de la domination féminine,  je me suis plein à la jeune directrice concernant le mauvais  traitement infligé aux hommes. Cependant, j’étais le seul à avoir refusé ce traitement.

Puni par la directrice

La directrice se leva  et sonna la cloche en demandant le silence, puis  elle me pointa du doigt en s’adressant aux soumises et dit :

–  Mesdames ! on a un animal  ici qui se plaint, que vous n’êtes pas gentilles avec lui! ! qu’il a faim  et que la nourriture n’est pas fraiche ? Mesdames, il vous reste 30 minutes pour leur apprendre l’obéissance et à vous respecter!  

– lickerdog  sache que tu as vendu ton corps à la gente féminine de notre communauté et il ne t’appartient plus de décider de ta nourriture ou de refuser !  Tu as juré fidélité et obéissance aux femmes par acte notarié. Tout manquement au devoir d’obéissance ou respect envers toute femme est punissable d’une peine d’un châtiment extrême, infligé par les lésés et ta Maîtresse ?

–  Mesdemoiselles. Ils sont à vous, à vous de les éduquer et leur apprendre le respect en vers vous.  

Présentation des esclaves mâles soumis

Puis durant plus de 30 minutes, nous tous avons été humiliés, frappés et obligés à faire tous leurs caprices et subir leurs affronts  sous les applaudissements des femmes et encouragements de mes deux Maîtresses  Maylee et Solveig.

Une heure plus tard, la cloche retentit. La directrice ordonna à tous les esclaves, hommes et femmes, de se lever et de se mettre nus, les mains sur la tête. Nous devions former 3 lignes, 2 pour les femmes et une pour les hommes. Les Maitresses intéressées,  pouvaient, ainsi,  juger et vérifier la marchandise car le troc allait commencer.

Puis elle annonça :

-Mesdemoiselles à vous de jouer ! le troc commence ! vérifiez la marchandise avant de négocier !

Début du troc

Nous avons eu doit pendant environ une 1/2 heure, à des fouilles et palpations corporelles ainsi que  des tests d’obéissance. Les femmes intéressées ont eu, également, des explications sur nos qualités et spécificités. Puis elles nous ont marqué, sur le dos, avec un rouge à lèvres ou un crayon pour les yeux avant de commencer leur marchandage en passant derrière chaque esclave. Nous n’avions pas le doit de bouger.

Après une heure de délibération, la cloche a retenti. Le troc était fini. Les résultats ont été annoncés par les organisatrices de l’évènement.

-l’esclave Lickerdog de Sandy’s domaine a été échangé pour une durée de 3 semaines contre la soumise miss caty, à compter de ce jour.

-Lickerdog appartient donc à Miss Carolyn de Toronto ( la jeune directrice 47 ans) ; Puis il appartiendra à Madame Michelle de Montréal pour 15 jours à partir du 12 juin contre la soumise Nora.

Ainsi chaque esclave a été troqué pour des durées variables. Le maximum autorisé était de 3 mois par année. Un cahier d’attribution était tenu par la Maîtresse propriétaire officielle de l’esclave ou de la soumise.

Soumis puni pour désobéissance

La directrice, Miss Carolyn finit les annonces par :

–  Mesdames prenez vos biens ils sont à vous !, et vous les esclaves et soumises rhabillez-vous pour le service, sauf mon esclave lickerdog qui va apprendre que la femme même soumise ou esclave est toujours son maitre;  que les refus, les revendications en vers une femme quel que soit son statut, ne sont pas tolérables et sont punissables sévèrement.

Puis elle m’ordonna de me mettre à genou face aux femmes avant de s’adresser à elles:

–  quelle est le châtiment pour désobéissance mesdames?

La soumise Nora, à qui j’avais refusé de lécher les pieds, se leva et dit:

– Il les a tous baisé avec son comportement irrespectueux. Il doit être puni par nous  le soumises qui avons subi cet affront par sa faute.

Ma nouvelle Maîtresse ordonna aux soumises de me ligoter les mains entre les cuisses. Cela me fit basculer face à terre. Puis elle leurs demanda de poser un gros bâton de manière à maintenir mes cuisses écartées afin que je ne puisse pas bouger, que mon anus soit bien dégagé et que je sois  visible par tous et toutes.

Ensuite, elle ordonna à chaque esclaves mâles de me sodomiser, sous les applaudissements de tous. Pour agrémenter la fête, elle proposa aux femmes d’estimer et  de parier sur le temps que chaque esclave mâle allait mettre pour jouir en ou sur moi, pour une bouteille de champagne. Pendant l’exécution du châtiment, la directrice demanda à chacune des femmes soumises, frustrées par mon comportement, de lui présenter une punition qu’elle devra m’infligé afin m’apprendre le respect et d’animer la soirée. C’était la pire journée de ma vie, j’en avais les larmes aux yeux.

Suite de l’humiliation pour le soumis

Après avoir été sodomisé 6 fois, mon cul me brulait terriblement. Je me sentais  frustré, sale et seul. Ma nouvelle Maîtresse, annonça les festivités à mon égard.

– Lickerdog, tu es nouveau selon ta Maîtresse, mais tes refus sont indignes de ton engagement en vers ta Maîtresse et  de notre communauté. Tu portes l’anneau d’appartenance qui valide ton acceptation inconditionnelle. Tu m’as dit que tu avais faim et que la nourriture était sale, ce qui équivaut à me dire que mes filles sont sales ! C’est une insulte; donc tu seras nourris chaque heure par les soumises. Tu serviras de serviettes hygiéniques ou torchons, pour toutes les femmes ici présente, ainsi que pour toutes les soumise ou esclaves mâles. Tu n’es plus qu’un animal, un sous esclave; mesdames il est à vous ! 

Pour le reste de la journée et la soirée, j’ai dû boire leur urine et lécher leurs sexes après les toilettes, leur doigts pieds et culs et autres parties du corps. J’ai dû sucer le sexe des Mâles ou être arrosé de leur sperme. Elles ont obligé les esclaves mâles à faire des spectacles humiliants sur mon corps. Elles leur ont demandé de faire l’amour et d’utiliser mon corps pour leur plaisir sexuel devant la demande de l’audience. J’ai subi des lavements punitifs à l’urine, à la sauce tomate et au coca.

Le souffre-douleur

Puis chaque heure, j’ai été nourri avec de la nourriture pré-mâchée par les soumises puis introduite dans le vagin de l’esclave que je devais sucer. Je devais la faire jouir avec la langue au rythme de la cravache jusqu’à ce que toute la nourriture soit dans ma bouche et que je l’avale. Il m’était formellement interdit de prononcer un mot.

Si je refusais, tous les esclaves mâles, avaient l’obligation de me sodomiser à nouveau pour me punir de mon insolence et de mon refus. Pour chaque mot prononcé, c’était 10 coups de cravache, le tout avec la bénédiction de mes Maîtresses légitimes. J’était devenu la distraction N°1 de cette soirée et le souffre-douleur de l’ensemble des hommes et  femmes présents. A la fin de la soirée, lors du voyage vers Toronto, ma nouvelle Maîtresse m’a autorisé à m’allonger sur la banquette arrière et à dormir avant d’arriver à destination où une nouvelle aventure m’attendait.

Previous

Prémices (qui sait) d’une relation gynarchique

Esclave soumis à la meilleure amie de ma femme

Next

3 réflexions au sujet de “Esclaves mâles soumis, la fête du troc (la vie au domaine)”

  1. Dure punition, magnifique opportunité, pour celui qui la subit, de glorifier les Divinités qui le possèdent, de sublimer la Féminité en subissant avec fierté ce qui n’est que Justice, en dégustant avec reconnaissance ce qui l’élève à la condition d’objet appartenant à la Femme.
    Sincèrement, être traité comme cela, j’en ferais volontiers ma plus grande ambition.
    Merci à vous, Femmes qui savez utiliser un mâle pour ce qu’il est… Par essence, Vous êtes sublimes, par nature, je Vous vénère.
    Phil

Les commentaires sont fermés.