Et sans que je pus dire un mot de plus, elle posa un baiser sur mon front, attrapa ma ceinture, l’enleva en une demie-seconde et la passa autour de mon cou pour la serrer au travers de la boucle, en en faisant un collier-laisse et me dit au creux de l’oreille :
-et bien, suis moi mon chien !.
Elle tira dessus pour me faire avancer, en la relâchant pour que je puisse la défaire alors qu’un groupe d’étudiantes arrivait vers nous en se moquant car elles avaient dû assister à toute la scène d’un peu plus loin !
Je défaisais la ceinture de mon cou, une trace légèrement rouge restait sur mon cou, et Maîtresse Corinne avait déjà fait quelques pas. Elle s’arrêta pour regarder en arrière quand les filles se retrouvèrent à mon niveau, lançant un « dépêche toi MON CHIEN ! » au moment où elles allaient me dépasser en riant. Elles s’arrêtèrent à mon niveau, l’une d’elles, peut être à peine plus de la vingtaine me disant :
-mais il est mignon le chien-chien à sa Maîtresse!
Elle le dit suffisamment fort pour que Maîtresse Corinne entende, avant d’éclater de rire ! Madame leur dit, si vous avez besoin d’un mâle obéissant, prenez son numéro et je suis toujours d’accord pour qu’il facilite la tâche de jeunes étudiantes !
Les étudiantes explosèrent de rire, et l’une d’elle n’hésita pas une seule seconde.
-ah oui!, rétorqua t elle à Maîtresse Corinne, vraiment ??
-Oui, oui, demandez lui!
Elle se tourna vers moi en sortant son téléphone.
-donne ton 06 le chien !
Je ne savais plus où me mettre.
-06-51…
Je lui donnais mon numéro complet, et l’une des étudiantes plus en retrait, dont je croisais le regard, avait les yeux qui brillaient. Je saurai pourquoi dans les jours qui suivront. Les autres demandèrent à Madame si je valais le coup à tous niveaux, si on pouvait me prendre en période d’essai et autres questions un peu déplacées et humiliantes. On était samedi soir. Elles avaient déjà dû boire un peu, et se laissaient totalement aller !
Madame dit que justement j’étais en test et qu’elle allait vérifier toutes mes compétences, mais qu’elles pouvaient toucher la marchandise si elles voulaient. Et là, ce fût le festival! Chacune y allant de sa main aux fesses. Celle qui avait pris mon numéro me mit carrément la main entre les jambes palpant ma queue qui commença à réagir lentement ! Elles me palpaient, me malaxaient, me tiraient même sur les tétons, de multiples mots étaient lancés « chien, salope, bonne queue, bon lécheur j’espère, à bientôt, petite pute, soumis aux femmes, etc »… je ne savais plus où me mettre. J’avais entendu un « à bientôt » mais laquelle de ces vilaines coquines avaient pu prononcer ces mots… peu importe. J’avais une Maîtresse potentielle et il était temps que je la rejoigne. Cet épisode ne dura qu’une ou deux minutes et pourtant, j’avais l’impression qu’une heure s’était écoulée.
-Enfin te voilà ! : lança Maîtresse Corinne, tu as fini de t’amuser ? Nous n’avons pas que ça à faire !!
En la rejoignant, je dus m’arrêter face à elle, et profitant de ce qui s’était déroulé sous ses yeux, elle me dit :
-j’ai adoré ! très excitant même!
Maîtresse Corinne passa sa main dans sa culotte, et en ressortit un doigt ruisselant de son humidité. Elle me le colla entre les lèvres et l’enfonça dans ma bouche ; et son autre main se plaqua sur ma queue qui finit de bander sous ses caresses.
-Je vois que toi aussi ça t’a excité ! On est sur la bonne voie toi et moi !
Bientôt la fin du récit ! 😉