Première fois en travesti !
Elle se leva et me prit par la main pour m’emmener dans la salle de bain. C’était la première fois que je pouvais me voir travesti. Je me trouvai, très sexy, et bien maquillé(e). Je me donnais envie. Ma collaboratrice femdom me caressa, se frôla contre moi. Elle me chuchota à l’oreille :
-Je veux que tu m’excites, je veux que tu danses devant moi dans la chambre !
Obéissant(e), je retournai dans la chambre. Elle me suivit et s’affala sur le lit au milieu des coussins. Elle alluma ia télévision avec la télécommande et chercha MTV. C’était un des derniers tubes du moment.
-Vas-y ! danse ! excite-moi, catin !
Je commençai à danser. Ce n‘était pas évident d’être sensuelle sur ces hauts talons, un véritable exercice de style pour une novice comme moi. Je voulais vraiment être à Ia hauteur de ses attentes.
-Bouge plus ton petit cul et tes hanches ! Caresse-toi ! Après quelques minutes, cela commença à ressembler à quelque chose de sympa. En plus, le rosebud glissant de gauche à droite, chaque mouvement de mes hanches déclenchait un nouveau plaisir anal. Je ne pus m’empêcher de pousser des petits cris de plaisir, couvert par mon bâillon. Maitresse Catherine semblait, franchement, prendre son pied en me voyant déambuler de la sorte.
Danse sensuelle pour Maîtresse Catherine
Elle entreprit de se caresser les seins pour ensuite redescendre vers son clitoris. Elle glissa son index dans la fente dans un lent mouvement de va et vient. Je pouvais distinguer que son nectar arrivait doucement. Sa respiration qui s’accentuait en était la preuve. La contemplation de cette scène eut à nouveau un effet inflateur sur mon sexe. Il fut rapidement réprimander par un coup de cravache bien placé.
-Je ne t’ai pas permis de bander, salope ! Cela étant, je dois reconnaitre que tu danses bien pour une débutante. J’accepte ta réussite de la première épreuve !
– Sers-moi maintenant à boire. Je veux un Gin tonic !
Je me dirigeai vers le minibar de la chambre. Par chance il y avait du gin, du tonic et des glaçons. Je me voyais vraiment mal téléphoner au bar de l’hôtel pour passer une commander pour Maitresse Catherine. Je n‘imaginais même pas la tête du garçon d’étage si j’avais dû lui ouvrir la porte dans cet accoutrement. Très vite servi, je pris le plateau d’argent avec le verre au milieu et amena la commande à ma Maitresse. Elle souleva le verre et but une gorgée.
-As-tu soif, caroline ?
C’était évident que j’avais soif. Tant d’événements en aussi peu de temps m’avaient asséché la gorge. Je répondis donc par Ia positive d’un mouvement de la tête.
Tout en dégustant son Gin-tonic, elle m’ordonna de prendre une des coupes de champagne posée sur le meuble du minibar.
Nouvel ordre !
Je pris une coupe.
-Maintenant, tu vas te masturber et te vider dans cette coupe. Tu le feras toutes les demi-heures. Une fois qu‘elle sera remplie à moitié, j’enlèverai ton bâillon et tu pourras te désaltérer de ce merveilleux breuvage !
A nouveau, en entendant ce nouvel ordre, un frisson me parcourut. Boire mon propre sperme ! Quel goût cela pouvait donc avoir ? Après brève réflexion, je me dis que ce ne devait pas être si mauvais que cela si tant de femmes faisaient des fellations avec autant de plaisir. Je me saisis donc ma queue et débuta une masturbation ferme.
En deux mouvements de main, ma queue prit du volume. C‘est là que je découvris l’utilité du cockring. Excité, je ressentais une tension contraignante sur l’ensemble de ma queue. Le plaisir n’en était que meilleur. Vu mon niveau d’excitation retenue depuis 2 heures, il ne me fallut pas très longtemps pour jouir et me vider dans Ia coupe de champagne! Elle n’était à peine remplie qu’au quart et je venais d’éjaculer ma première semence, probablement la plus importante. Il allait falloir quelques itérations pour atteindre ce nouvel objectif. Elle sourit et me reprit la coupe pour Ia poser sur la table de nuit.
-Maintenant, on va entamer la troisième épreuve, ma petite chienne !
Elle s’approcha de moi et m’enleva le bâillon. Elle m’entraîna sur le lit, se coucha sur le dos et écarta les jambes.
-Je veux que tu lèches mon clito, je veux que tu me fasses jouir avec ta langue. J’attends de toi autant de jouissance que toi après chaque éjaculation dans cette coupe.
Troisième épreuve !
Cette épreuve là me plaisait beaucoup. Ce n’était pas mon premier cunnilingus. Kalista, ma prostituée de luxe, m’avait initié à cette pratique dans d’InterminabIe et succulent soixante-neuf. Sans attendre, j’approchai ma bouche entre ses cuisses “et débutai ma mission. Ma langue tournoya autour de ses lèvres vaginales, pour atteindre lentement son clitoris et progressivement titiller le milieu de sa fente.
Je ne devais pas être trop mauvais car en peu de temps, les cuisses de ma Maitresse me serrèrent le visage. Son nectar arriva par flot et envahit ma bouche. Je lui bouffais Ia chatte avec passion. Son souffle s’accéléra et ses gémissements se firent de plus en plus forts pour aboutir dans une splendide jouissance.
D’un mouvement sec, elle me repoussa.
-Tu m’as exténué(e), petite salope. J’ai besoin de me reposer. Mais je déteste dormir dans le noir, j’ai besoin d‘un peu de lumière.
Tout en me disant cela, elle alla vers son sac de voyage et en sortit un cierge rouge large de 3 centimètres de diamètre et haut d’une vingtaine ainsi qu’une pochette d’allumettes.
-Mets toi à quatre patte, petite chienne !
Comment allait-elle faire tenir ce cierge sur ce que je semblais devenir : une table ? Elle s’approcha de moi avec le cierge.
-Relève plus haut tes fesses !
Anus tranformé en bougeoir !
Je m’exécutai sans trop comprendre jusqu’au moment où elle retira lentement mon rosebud. Mon anus allait se transformer en bougeoir. Je tournai Ia tête en un éclair pour lui signifier ma plus vive inquiétude quant à cette épreuve. Elle me caressa la joue d’une main et me dit :
-Ne t’inquiète pas, si tu ne bouges pas, la cire ne coulera pas et elle ne fera que s‘évaporée.
Je devais lui faire confiance. A nouveau avec une douceur incroyable, elle inséra le cierge dans mon anus. La sensation était différente. Je me sentais plus élargie. Mais je devais aussi serrer les fesses pour que le cierge ne glisse pas en moi. Une fois qu‘elle observa ma maîtrise de mon maintien, elle frotta une allumette et alluma le cierge. Je ne pouvais plus bouger sous peine de sentir glisser de la cire chaude sur mes fesses.
Elle se coucha ensuite sur le lit et ferma les yeux.
-N’oublies pas ! Dans une demi heure, nous devons chacun jouir.
Et le silence se fit.
Complètement épuisé !
Je levais de temps en temps Ia tête pour regarder le réveil sur la table de nuit. Il était déjà quatre heures du matin. Nous avions rendez-vous avec le client à neuf heures. Il ne me restait que quatre heure pour remplir une coupe de sperme en huit masturbations et encore quatre heures à rester là assis en forme de bougeoir. Serais-je capable de tenir ? Les deux premiers entractes furent soutenables ; d’autant que j‘avais un malin plaisir à sortir Maitresse Catherine de son sommeil en lui mangeant la chatte de plus en plus fort.
Mais après une heure et demie dans cette posture, la fatigue m’assomma et une certaine irritation face à la situation pointa son nez. Je ne comprenais plus ce que je faisais là et pourquoi j’en étais arrivé là. Epuisé, je m’endormis Ia tête sur le rebord du lit.
C’est finalement Maitresse Catherine qui me réveilla pour les entractes suivantes. Se rendant compte de mon état d’épuisement, elle me retira également le cierge du cul et le posa sur la table de nuit. Elle me facilita également le remplissage de la coupe par une assistance fellatrice bienvenue. Pour ma part, je me fis fort d’honorer sa jouissance ensuite à chaque fois.
Maîtresse Catherine armée d’un gode ceinture
Le soleil se leva. ll était sept heures du matin. La coupe était pleine à moitié. Maitresse Catherine me réveilia. Je me levai pour exécuter ma dernière purge quand je me rendis compte qu’elle était armée d’un gode ceinture. Cela ressemblait à l’apogée de mon éducation. Ayant été défloré par le rosebud et le cierge, je n’avais plus beaucoup de crainte face à cette épreuve.
De plus, avoir enfin une vraie relation sexuelle, ce qui avait été mon objectif initial, même s’il était inversé, n’était pas pour me déplaire. La sentir enfin en moi, me frôler, me baiser, qu’elle jouissance ! Elle me baisa à la hauteur de mes attentes. Comme pour le rosebud et le cierge, elle vint en moi lentement avec douceur pour ensuite accélérer le mouvement et m’étreindre avec passion. Je découvris ce plaisir anal sublime. En même temps, elle me prit la queue avec sa main droite et me vida une dernière fois. J‘étais épuisée, exténuée.
Elle prit la coupe de mon sperme et me la tendit.
-Bois, c’est plein de vitamines, ça te remettra en état !, petite catin que j’adore !
Je découvris ce breuvage doux et un peu salé. A peine Ia coupe finie, elle approcha ses lèvres des miennes et me fit l’honneur de m’embrasser. Elle ne voulait pas rater les quelques dernières gouttes de mon jus. Elle me repoussa couchée sur le lit.
-Dors un peu pendant que je prend ma douche et que je me prépare pour la réunion.
Vidée, je tombai d’une traite dans les bras de Morphée. Les derniers bruits que j’entendais étaient ceux du jet de douche coulant sur sa peau.
Retour à la maison !
C’est elle qui me réveilla.
-Il est temps de rentrer, Charles !
Je ne comprenais pas bien : rentrer ? Je me tournai vers le réveil pour voir qu’il était midi. Merde, j’avais raté le rendez-vous avec le client. Comment j’allais expliquer cela au boss ? Catherine me caressa le visage et sourit.
-Ne t’inquiète pas, j’ai été au rendez-vous seule. J’ai dit au client que tu n’avais pas bien digéré le repas d’hier et que tu te rétablissais à l’hôtel. La réunion s’est très bien passée. ll m’a commandé quatre fois Ie volume de produits du trimestre précédent. il te souhaite un prompt rétablissement et te remet ses salutations. Il a aussi été très heureux de faire ma connaissance.
J’étais sans voix. Elle descendit sa main entre mes jambes et frôla mon sexe et mon cockring. ll ne bougeait plus.
-Tu as été génial cette nuit. J’ai adoré. Déshabille-toi ! Va prendre une douche ! Nous partons d’ici une demi heure.
Elle m’attendait sur le parking de l’hôtel. Je mis les bagages dans le coffre. C’est elle qui prit le volant. N’ayant pas fait réellement une nuit complète, je me rendormis à nouveau pendant le voyage. C’est devant son domicile qu’elle me réveilla et me rendit les clés. Elle m’embrassa et sortit de la voiture.
-Bonne journée, Charles, A demain au bureau.
Je ne savais pas quoi dire. De plus, je ne savais plus où j‘en étais. Je la saluai, repris le volant et rentrai à la maison. J’avais juste une envie : dormir, encore dormir. Une fois reposé, je pourrais faire le point sur ce qui venait de m’arriver. Avant de me coucher, je passai aux toilettes.
C’est là que je me rendis compte que Ie cockring étais toujours là bien attaché et que je pus lire une inscription gravée sur le rebord : « caroline, propriété de Maitresse Catherine, 06 mai 2009 ».
Mon destin était scellé. La mante religieuse avait dévoré Charles pour toujours et une nouvelle salope, caroline, était née.
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le gode est un bon moyen de sentir la femme prendre le contrôle de la sexualité du soumis, il ne verra plus jamais comme avant sa collaboratrice, elle doit aimer cela
Très belle histoire … vécue peut-être ?
Nous serions très heureux de connaitre la suite de la nouvelle vie de Caroline au service de sa nouvelle patronne
merci d’avance
récit magnifique , et très excitent aussi a quand la suite svp ?? et espèrent qu’il y a une car j’ai vraiment trop aimée cette histoire.
bonne journée
super recit…