Ma nouvelle collaboratrice
C’était avec une certaine appréhension que je partais en voyage d’affaire avec Catherine, ma nouvelle collaboratrice. Depuis trois mois, les affaires tournaient très fort dans l’entreprise où je travaille; les nouveaux produits que nous avions sortis sur le marché avaient beaucoup de succès ; Je manquais de personnel commercial pour visiter tous les nouveaux prospects. Mon patron avait donc décidé un mois plus tôt de transférer cette jeune collaboratrice d’un autre service dans mon département pour me donner un coup de main et répondre à cette demande. Lorsqu’il m’avait annoncé cette excellente nouvelle, il m’avait dit: « Vous verrez, Catherine est incroyable, elle obtient ce qu’elle veut quand elle veut ! ». Elle est brillante. Ses résultats sont hors normes.
La Catherine en question, je l’avais déjà croisée une ou deux fois dans les couloirs de l’entreprise. Elle ne passait jamais inaperçue au sein des collègues masculins. Cheveux bruns mi longs, yeux bleus, des mensurations très équilibrées, toujours habillée très sexy, légèrement gothique mais toujours très classe. Son maquillage et sa coiffure étaient toujours parfaits et sensuels. Elle portait des bijoux au poignet, à la cheville et au coup assez particuliers, un peu celtique. Je ne savais pas ce qu’ils signifiaient mais ils devaient bien avoir un sens. Ces énigmes m‘amenait toutefois à une certitude : ses excellents résultats ne devaient pas être très éloignés des fantasmes qu’elle pouvait provoquer auprès de la gente masculine. il fallait donc se méfier de cette mante religieuse.
Sous le charme de ma nouvelle collaboratrice
L’important client que nous devions visiter était assez éloigné. Nous avions donc convenu de faire la route la veille en fin de journée, de rester à l’hôtel et de rendre visite à notre prospect tôt le lendemain matin. Après 5 heures de route, nous arrivâmes devant l’hôtel, un quatre étoiles, Relais & Château, en pleine campagne, un cadre superbe. Mon assistante avait fait un excellent choix. J’étais épuisé par ce long voyage, malgré le confort de ma nouvelle voiture. La route fut difficile : sortie précipitée d’une réunion interminable, embouteillage, cascade d‘appels téléphonique sur mon portable, briefing avec Catherine à propos du client. En fait, je n’avais en fait pas pris trop le temps de glisser mon regard sur elle.
C’est lorsqu’elle sortit de Ia voiture que je compris que je n‘étais vraiment pas innocent à ses charmes. Je l’observais avec un certain désir. Elle avait un tailleur strict qui s‘arrêtait à mi-cuisses, un chemiser blanc bien décolleté qui taillait sa forme de guépe, des bas nylons noirs marqué d’une superbe couture sur l’arrière et enfin pour couronner le tout, des escarpins à hauts talons assorti d’une fine lanière qui entourait ses chevilles. C’était absolument divin de la voire se déplacer. Le bagagiste, qui sortait les trois valises du coffre, ne put également pas non plus s’empêcher de se rincer l’œil en Ia regardant monter les marches du perron de l’hôtel.
Une collaboratrice très professionnelle !
C’est à cet instant que je repris mes esprits et me rappela ma mission: « Pas de conneries ; tu es là pour le boulot, rien que le boulot ; Ranges ta foutu libido dans un tiroir ! ». La réceptionniste nous attendait. Il était déjà vingt et une heure. Nous avions pris un peu de retard sur la route et j’avais annoncé que nous prendrions le diner à l’hôtel. Nous priment chacun nos clés et nous donnèrent rendez-vous une demi-heure plus lard dans le restaurant. Le bagagiste porta nos valises dans nos chambres. Je souris en le voyant porter les deux grands sacs de Catherine dans sa Chambre. Que peut bien emporter une femme dans deux énormes sacs de voyage pour un séjour d’aussi courte durée ? Cela était aussi une de ces énigmes insolubles.
Quand je descendis, elle m’attendait déjà à une table près de la fenêtre. J’avais été plus long qu’elle. J’avais échangé mon costume cravate pour une tenue plus simple. Pour sa part, elle avait eu le temps de prendre une douche, de se parfumer et de se changer. Vraiment efficace, cette Catherine ! En fait, je notai qu’elle n’avait changé que le chemiser. Il était un peu plus translucide. On pouvait légèrement distinguer ses seins. Je pris soudain note qu’elle n’avait pas de soutien gorge. Pris de panique, je tournai la tête vers Ia fenétre, mon visage devait être un peu écarlate. Je remarquai qu’elle sourit. Tout en regardant le magnifique parc de l‘hôtel, je réussis à esquiver mon embarras en lui demandant de répéter tous les éléments important de la réunion du lendemain.
Elle maitrisait parfaitement le sujet. Tout était préparé. Rien à redire ! Le boss avait raison, elle est hyper professionnelle. Ayant fait le tour de la question,je me trouvais donc rapidement sans autre sujet de conversation. J’avais clairement l’impression que si je rentrais sur des sujets privés, j’allais rapidement déraper, très sérieusement déraper, chose que je m’interdisais.
Une collaboratrice très audacieuse !
Cela faisait maintenant six ans que j’étais rentré dans cette entreprise. J’avais gravi rapidement les échelons de la hiérarchie pour devenir en 4 ans le directeur commercial. Plus de douze heures de travail par jour, célibataire pour ne pas m’encombrer de problèmes privés, j’avais tout misé sur ma carrière. L’éducation bourgeoise et catho que mes parents m’avait inculqué avait porté ses fruits. De temps en temps, pour maintenir ma libido à un niveau contrôlable,je m’autorisais de passer un moment avec Kalista, une prostituée de luxe, qui me faisait un massage relaxant avec une délicieuse finition. Cela me suffisait largement en terme de besoin vis-à-vis du deuxième sexe. J’incarnais, aujourd’hui dans cette entreprise un chef sérieux, travailleur et respecté. Ce n’était certainement pas maintenant dans cet hôtel avec cette Catherine que j’allais foutre en l’air un tel investissement.
Enfoui dans mes pensées alors que Catherine m’observait, c’est finalement le maître d’hôtel qui me sauva la mise en arrivant et nous demandant nos choix dans le menu et la carte des vins. L’intermède ne fut que de très courte durée. Il fallait vite trouver quelque chose ; remplir ce silence. J’abordai donc le sujet de nos dernières vacances. C’était toujours mieux que la météo ! Elle me parla de son dernier voyage aux Maldives, la plongée, les îles… Soudain je sentis son escarpin frôler mon pantalon et glisser le long de mon mollet . Je sursautai sur mon siège et chercha son regard.
Une collaboratrice très sexy et autoritaire !
Était-ce volontaire ? La réponse ne se fit pas attendre. Elle entre-ouvrit la bouche, sortit sa langue, et s’humidifia les lèvres ! Il n’y avait plus de doute. Elle voulait que le reste de la soirée soit chaud. Je ne m’étais pas trompé. Il y avait danger. Il fallait reprendre immédiatement la situation en main. Mais Je ne savais pas quoi faire ou dire. En une fraction de seconde, elle avait pris le contrôle des opérations. J’étais sans voix. Je me laissais faire. Elle m’observait prendre du plaisir. Sa jambe remontait de plus en plus haut. Heureusement que la nappe de la table était longue. Les autres clients du restaurant ne pouvaient rien voir de ce petit jeu. Je commençais à être vraiment serré dans mon pantalon.
C’est quand la pointe de son escarpin commença à me malaxer mes parties intimes que le serveur arriva avec l‘entrée. Elle eut heureusement l‘excellente idée de se retirer de mon entre-jambe, faute de quoi je n’aurais rien pu avaler. Le repas se passa dans un silence total. Pas un mot, juste des regards. Le mien exprimait une furieuse envie d‘exploser en elle. Le sien était sévère, à la limite autoritaire. Il n‘y avait que son jeu avec sa langue et ses lèvres qui exprimait un autre objectif. Entre chaque plat et jusqu’au café, son escarpin revenait systématiquement me caresser l’entre jambe. Et à chaque fois, mon excitation était de plus en plus forte.
Après avoir avalé son café d’une traite, d’un coup, elle se leva et me dit :
-Charles, il se fait tard. Demain nous devons être au top pour cette réunion. Il est temps d’aller se coucher.
Je Ia suivis donc et nous montâmes vers nos chambres. Je n’osais pas me rapprocher d’elle, tenant une certaine distance pour ne pas laisser percevoir mes envies. Nous arrivâmes à hauteur de sa chambre. Par un heureux hasard, nos chambres étaient sur le même étage. La mienne était un peu plus loin que la sienne. Elle s’arrêta devant Ia porte, introduit son badge, ouvrit la porte…
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J’adore !! Magnifique récit qui m’a mis l’eau à la bouche, je suis absolument captivé et tellement impatient de connaître la suite !! Merci en tout cas
Le port de ce type de bijoux m’intrigue.. j’ai de petites idées sur leur signification mais il me tarde de connaître la suite.