L’annonce coquine (4) : la soirée de plaisirs SM continue ….
Dès qu’il eut fini, il prévint Naomi. Celle-ci, tapant des mains, interpella son compagnon.
– Marcel, ton repas est prêt, à table !
Le dénommé Marcel, qui avait suivi les préparatifs du coin de l’œil, savait ce qui l’attendait, il regarda sa maîtresse d’un œil suppliant, semblant lui demander de lui épargner cette épreuve. Mais Naomi se montra intraitable.
– Il y a longtemps que je te promets de te chier dans la bouche, et bien maintenant, je tiens ma promesse. Cet étron, je l’ai chié en pensant à toi, tu dis toujours à tes amis à mon propos qu’il n’y a rien à jeter chez moi. Maintenant prouve-le!
Marcel, qui n’avait rien d’un jouvenceau, se dirigea vers le balcon, sa grosse bedaine en avant. Il avait son sexe minuscule, tout rabougri. Louis surprit une conversation où il était question de l’impuissance de Marcel ce qui expliquait qu’il n’avait ni ceinture de chasteté ni harnachement spécifique.
Naomi invita toute l’assistance présente à cette soirée de plaisirs SM, y compris les esclaves pour qu’ils en prennent de la graine, à venir assister au repas de gala de Marcel. S’adressant à son compagnon.
– Bon appétit, fais-moi honneur, démontre à tout le monde combien tu m’apprécies… Je vais être gentille avec toi, tu n’es pas obligé de finir les légumes!
Attablé, Marcel regardait, effrayé, le contenu de son assiette, il leva une dernière fois ses yeux battus vers son bourreau, mais celle-ci se montrait intraitable, lui intimant l’ordre de commencer sans plus attendre. Résigné, il prit lentement son couvert, retardant l’échéance au maximum puis, finalement, découpa une rondelle de merde, hésitant, fermant les yeux, il engouffra la rondelle dans sa bouche et l’avala d’un coup comme on avale un médicament. Naomi, qui surveillait une badine à la main, l’apostropha.
– On dirait que cela ne te plait pas, prends le temps de déguster, mâche bien pour recueillir toutes les saveurs, essaie de reconnaître les plats que nous avons mangé ces derniers jours!
Obéissant, Marcel découpa une nouvelle rondelle et la mâcha avec application. Des larmes apparurent aux coins des yeux. Fixant son égérie, il s’appliquait à découper, à mâcher et à avaler les morceaux de merde sans haut le cœur et sans grimace. Faisant une pose en buvant un peu d’eau entre chaque bouchée.
Les consœurs de Naomi regardaient ce spectacle d’un air plutôt consterné semblant se demander jusqu’où pouvaient aller ces hommes dans leurs désirs d’avilissement, seule Sidonie semblait subjuguée par l’homme à l’estomac en béton.
Le repas de Marcel se terminait, il mit un point d’honneur à finir tous les légumes laissant une assiette immaculée. Se jetant aux genoux de sa Maîtresse, bien dressé, il déclama avec une attitude théâtrale:
– Merci Maîtresse de m’avoir honoré en m’offrant ce délicat repas que vous avez chié pour moi!
– Pas de quoi, mon chéri, je pense à ta santé et je ne te sers que des produits naturels!
Ce disant, elle fit un demi-tour gracieux sur elle-même et présenta son derrière à la goinfrerie de son esclave.
Le spectacle était terminé, tout le monde reprit sa place dans l’appartement. Pour relancer l’ambiance de cette soirée de plaisirs SM, Marjorie proposa de projeter un film porno très hard introuvable dans le commerce. Les esclaves se virent enlever les ceintures de chasteté et la lumière devint encore plus tamisée, on ne distinguait plus que des ombres. Les mains des femmes devenaient baladeuses et fouineuses lorsque Naomi entra tenant marcel en laisse, s’adressant à la cantonade:
– Regardez, il bande.
Effectivement, le petit bout de marcel était presque à l’horizontal, le gland était à moitié sorti, Marcel bandouillait. Cela semblait être un événement parce que presque aussitôt, Solange s’avança sur le bord du canapé les cuisses ouvertes.
– Allez, Marcel, suces moi, tu verras, ça te fera bander encore plus, branle toi, on veut voir ça!
Marcel, à genoux et s’appuyant sur une main, agitait frénétiquement son vit avec sa main droite, s’engouffra entre les cuisses de Solange qui laissait déjà échapper des gloussements de plaisir. Naomi fit signe à l’autre esclave enculé de venir se positionner derrière Marcel et remplacer le plug dans le cul de Marcel par sa bite. Ce que l’esclave, flamberge au vent, s’empressa d’exécuter sans plus attendre.
C’est le moment que choisit Sidonie pour appeler Louis, l’œil inquisiteur. De l’index, elle lui ordonna de s’approcher tout prés, très prés, jusqu’à ce qu’elle puisse saisir son sexe sans effort, Ils se regardaient dans les yeux, c’était la première fois de la soirée qu’ils étaient face à face, après une longue minute de silence elle lâcha.
– C’est tout l’effet que je te fais ?
Louis, mal à l’aise, à la dérive, bandouillait lamentablement. Claquant des doigts, Sidonie interpella le dernier esclave encore disponible.
– Viens par ici, toi! L’homme s’approcha. Sidonie agrippa sa bite qui prit des proportions impressionnantes, s’adressant à Louis
– Je vais te faire voir ce que c’est un vrai mâle, couche toi par terre sur le dos.
Louis se coucha et Sidonie se positionna à genoux, tête-bêche au-dessus de lui. Elle ordonna à l’autre esclave de se positionner à genoux derrière elle pour être prise en levrette, guidant l’énorme bite pour la fourrer dans sa craquette. Louis assista alors, impuissant, aux va-et-vient qui lui confirmaient qu’il n’avait plus aucun droit sur son ex et qu’elle pouvait le cocufier comme bon lui semblait. Humiliation suprême, il était aux premières loges pour voir et sentir les couilles ballotantes de son rival lui frotter le visage, il entendait le clapotis engendré par le sexe coulissant dans la mouille.
Le temps paraissait une éternité à Louis pendant que Sidonie dégoisait tous les griefs qu’elle avait contre son ex-mari, en particulier le fait qu’il avait baisé Solange et que donc elle n’avait pas à avoir de scrupules pour lui rendre la pareille. Enfin, Louis put voir les couilles se contracter, l’homme se raidir et avoir quelques spasmes. C’était fini, il était cocu, l’homme se retira et Sidonie s’assit sur le visage de Louis.
– Nettoie !!
Non contente de le cocufier, elle le traitait comme une serpillière, heureusement, l’homme avait mis un préservatif. Jamais il n’aurait imaginé se trouver dans une position aussi humiliante, devoir nettoyer la moule dégoulinante, résultat du plaisir de la femme, de sa femme qui venait de le cocufier au milieu d’une dizaine de personnes qui les observaient, et, signe d’abdication, il bandait.
Brusquement, un torrent de pisse au goût très fort envahit son palais, la puissance du jet et la quantité dépassait tout ce qu’il avait pu ingurgiter pendant cette soirée. Les yeux exorbités, il avalait goulûment comme si sa vie en dépendait. Sidonie râlait de satisfaction, au bord de la jouissance qu’elle essayait de retarder au maximum. Cette dernière fut la plus forte, l’emportant dans des spasmes de bonheur. Sidonie continuait à se vider la vessie. Apaisée, la pression devenait moins forte soulageant Louis qui maintenant assurait. Sidonie dans un état de second coma criait sans tenir compte de l’assistance.
– Ah! Comme c’est bon, que j’étais bête de ne pas en avoir profité plus tôt, sentir ta bouche qui s’ouvre et s’agiter pour boire mon pipi. Ce pipi que tu me réclamais et que je te refusais au nom de principes idiots. Bois mon chéri, déguste mon offrande, dorénavant tu seras mon urinoir, mon réceptacle à pisse, je claquerais des doigts et tu viendras chercher ton bonheur entre mes cuisses!
Sortant doucement de son état semi comateux, elle se rendit compte qu’ils étaient l’attraction et que tout le monde les regardait, sa jouissance intense avait dû plaire parce que les femmes présentes applaudirent discrètement celle qui venait de côtoyer le nirvana.
Gênée de s’être ainsi découverte aussi intimement, elle demanda à Marjorie un endroit plus discret pour continuer ses ébats. Prenant son mari esclave par la main, ils se rendirent dans une chambre. A peine la porte refermée, elle se jeta sur le lit en l’invitant à la couvrir. Louis, le sexe en érection, il en avait tant eu envie ce soir qu’il ne prit pas de gants et embrocha à la hussarde la cicatrice rouge sang. Sidonie démarra au quart de tour et retourna dans son délire. Après l’attente exaspérée, ce ne fut l’affaire que de quelques minutes avant que Louis ne dégorge le trop plein accumulé.
Après toute cette débauche d’énergie et de luxure, ils s’allongèrent côte à côte pour reprendre leurs souffles et leurs esprits. Insensiblement, Louis prit la main de Sidonie dans la sienne scellant ainsi leurs retrouvailles. De longues minutes s’écoulèrent et dans un souffle Sidonie proposa.
– Veux-tu revenir avec moi à la maison ?
C’est tellement bon ce genre de situation un délice d’excitation ces conditions de soumission hard c’est magnifique sodomie ça m’a l’air de se masturber à coté d’elle pendant qu’elle introduit ton sexe pour te réchauffer