Une charmante dominatrice et son ex-professeur soumis (12)

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Une charmante dominatrice et son ex-professeur soumis (11)

Une dizaine de minutes plus tard, ce fut Laetitia qui apparut. Je me demandais bien ce que j’allais subir avec cette jeune dominatrice. Et qu’elle ne fut pas ma surprise quand j’entendis Laetitia me dire qu’elle rêvait d’avoir un chien humain.

J’en tremblai… Ces trois filles, en apparence si belles, si féminines, si gracieuses, si élégantes, si fragiles, étaient vraiment des dominatrices perverses.

Face-sitting imposé par Laetitia

dominatrice

 

Ensuite, elle reprit :

  • Sache que ce rôle s’inscrit dans une humiliation plus globale car c’est ce qui m’excite le plus ! Et tu crois que je n’ai pas remarqué la façon dont tu me regardes ? Je te plais beaucoup n’est- ce pas ?

 

  • Oh oui Madame!

 

  • Aboie pour répondre!

Je me sentis tellement honteux, si minable devant cette belle dominatrice, mais je lâchai un bref aboiement sans oser la regarder.

  • Allonge-toi sur le lit !

Je m’exécutai sans comprendre.

  • Puisque je te plais, tu vas avoir le privilège d’un contact avec mon beau petit cul.

Une lueur d’espoir et de bonheur m’envahit à l’idée qu’elle se déshabille et me permette d’embrasser, de lécher ses fesses, mais j’étais loin du compte !

Elle resta habillée et vint s’asseoir sur mon visage, les jambes en tailleur sur mon buste.

J’aurais tellement aimé qu’elle le fasse sans vêtements, c’eut été un délice. Cependant, malheureusement je n’eus que les inconvénients de ce face-sitting. Son jean était rugueux et me faisait mal dès qu’elle bougeait un peu. Son poids écrasait mon nez, mes joues, ma bouche. De plus, je peinais à respirer, et le fait qu’elle s’asseye sur moi ainsi me faisait ressentir tout son mépris.

Je luttais, pour supporter son poids et pour reprendre ma respiration dès qu’elle remuait. Pendant ce temps qui me parut une éternité, elle fouilla dans son sac et en retira quelques accessoires qu’elle avait emmenés à dessein.

Un plug anal en acier prolongé d’une queue en crin de cheval

Elle se leva enfin et m’ordonna de me mettre debout devant elle.

  • Retire-moi cette jupette !

Ensuite, elle dégrafa son chemisier sans enlever son soutien-gorge.

  • Regarde ma poitrine, imagine mes seins et branle-toi !

Des pensées contradictoires affluaient dans mon esprit. J’étais à la fois ravi de voir un peu plus son corps, sa belle poitrine, tout en étant très frustré de ne pas voir ses seins. Cependant, je me sentais, surtout, terriblement gêné d’être là devant elle, à me masturber.

  • Ça suffit, retourne-toi… Maintenant penche-toi en avant et écarte tes fesses avec tes deux mains !

C’en était trop, sa grande beauté et mon attirance pour elle rendait la position encore plus humiliante. Néanmoins, comme toujours, j’obéis, ravalant ma honte. Elle me laissa ainsi une bonne minute, se délectant de mon déshonneur, puis elle me dit de me mettre à quatre pattes.

Je sentis alors son doigt lubrifié me pénétrer.

  • Un chien sans queue, ça n’existe pas !

Je tournai la tête instinctivement et je vis un plug anal en acier prolongé d’une queue en crin de cheval. Encore une bassesse qui me laissa pantois !

Je serrai des dents alors qu’elle le faisait entrer dans mon anus qui s’élargissait péniblement. Une fois rentré, je pus sentir que le plug était non seulement assez volumineux mais surtout très lourd, ce qui le rendait très gênant.

Après, elle vint devant moi et me mit un collier et une laisse.

  • Viens, on va se promener !

Obligé d’adopter le comportement d’un chien

Nous fîmes trois fois le tour de la chambre. Je la suivais « au pied ». De plus, je sentais la queue rebondir sur l’arrière de mes cuisses, me rappelant à chaque fois l’indignité de la situation. Sa jolie main tenait fermement la laisse et tirait sur mon cou.

Il n’y avait aucun doute, j’étais bien devenu le chien de cette dominatrice perverse et elle savourait pleinement cette situation.

Finalement, elle s’arrêta et me fit mettre à genoux.

  • Redresse-toi, fais le beau, tire la langue, et alterne halètements et aboiements, tu seras récompensé !

Je n’en pouvais plus d’être ainsi humilié ! Je me suis souvenu que Maîtresse Elsa m’avait mis dans la même situation embarrassante un jour, avec ce rôle de chien. Cependant avec cette fille que j’admirais, qui n’était autre que la dominatrice de mes rêves, la honte était à son comble.

Je pris une grande respiration, me redressai et je mis mes mains comme celles des pattes d’un chien. Ensuite, humiliation ultime, je me mis à tirer la langue.

Cependant, j’eus beaucoup de mal à haleter et à aboyer. En effet, son regard me pénétrait et je ne parvenais pas à le soutenir. La honte était trop forte. Après plusieurs tentatives, je parvins à la satisfaire. Mes halètements étaient puissants, la langue était tirée au maximum.

J’avais les yeux exorbités par la volonté de bien faire. Ainsi, j’alternais par des aboiements très réalistes qui, j’espérais, ne seraient pas entendus par les autres Maîtresses.

Récompensé comme un bon chien par cette cruelle dominatrice

Laetitia sourit avec satisfaction et sortit de sa poche un petit gâteau apéritif qu’elle avait dû prendre discrètement, et me le lança dans la bouche.

  • Allez, remue ton derrière de gauche à droite pour faire bouger ta queue et me montrer ta joie !

Aussi, je me mis, de suite, à remuer le derrière comme un bon petit chien qui fait la fête à sa Maîtresse dominatrice. Elle me tapota le dessus de la tête et m’adressa :

  • t’es un bon chien!

L’alarme retentit. La belle dominatrice tourna les talons et me laissa ainsi, par terre avec cette queue, le collier et
la laisse. J’étais épuisé d’avoir autant pris sur moi et d’avoir subi autant d’humiliations.

Après m’être douché et reposé une dizaine de minutes, je rejoignis mes Maîtresses. J’étais lessivé mentalement et épuisé physiquement.

Elles étaient déjà passées à table. Comme ce fut déjà le cas avec Maîtresses Elsa et Julie, je fus « invité » à rester sous la table. Cependant quelle ne fut pas ma surprise en constatant qu’elles avaient toutes enlevé pantalons et petites culottes.

Leurs jambes étaient sagement serrées l’une contre l’autre. Je ne pouvais rien voir. Cependant, sachant que j’allais les sentir et les goûter, je fûs de nouveau motivé. De plus, je me dis que ma condition de soumis était parfois enviable !

La consigne était claire. Je devais être attentif pour être prêt à lécher la Maîtresse qui le souhaiterait. Je regardais, donc, sans cesse les jolies jambes des quatre jeunes femmes au cas où celles-ci s’ouvriraient.

Les trois amies, ravies de leur séance privé avec le soumis d’Elsa

Pendant ce temps, les Maîtresses discutaient entre elles. Maîtresse Julie tenait à faire un petit bilan des fameux quarts d’heure privés.

  • Alors les filles, est-ce que ma proposition fut à la hauteur de vos espérances ? Ça vous a plu ? Le soumis vous a bien obéi ? Vous avez réalisé vos envies secrètes ?

Emilie répondit aussitôt :

  • ah oui, réaliser mon fantasme m’a bien défoulé. Je n’oublierai pas cette séance de si tôt. Le seul bémol, c’est que je vais avoir envie d’y goûter à nouveau! Tu ne le prêterais pas, par hasard ?

La brutalité de cette fille était difficilement supportable. Je priais intérieurement pour que Maîtresse Julie s’oppose à cette demande.

  • Peut-être que j’organiserai une autre soirée un de ces quatre, mais ça me parait difficile de te le prêter car c’est déjà Elsa qui me le prête !

 

  • Oui, je comprends, alors j’attendrai la prochaine soirée, j’ai déjà hâte !

La réponse m’apaisa même si la perspective d’une autre soirée me donnait plutôt envie de fuir. D’autant plus qu’il y avait fort à parier qu’Emilie se lâcherait encore plus lors d’une prochaine fois, avec un possible risque d’ecchymoses.

Camille prit la parole à son tour :

  • Franchement Julie, j’ai adoré. Cela faisait un moment que j’avais toutes ces envies en tête et que je regardais des vidéos sur les sujets en question. Cependant, pouvoir les réaliser fut un exutoire incroyable et je suis comme Emilie, déjà impatiente de remettre ça !

 

Conseil de Julie, s’inscrire sur Slave-Selection pour trouver un soumis

Enfin Laetitia, toujours très discrète, ajouta :

  • Je ne vais pas être très originale les filles, mais pour moi c’est exactement la même conclusion. Ainsi, je regrette de ne pas pouvoir héberger quelque temps ce soumis. J’aurais été heureuse de l’accueillir et de le dresser.

L’idée de passer plusieurs jours chez elle me fit frémir !

Je me voyais déjà déshumanisé, et traité comme un chien. Ainsi, cette jeune dominatrice si désirable m’obligerait à manger dans ma gamelle, à uriner dans le jardin en levant la patte, ou bien faire mes besoins, tenu en laisse, sous son regard. Ensuite, je devrais me coucher à ses pieds en soirée tandis qu’elle regarderait la télé. Ainsi, je serai, sans aucun doute, dévoré par la frustration de n’être pas ce que je rêverais d’être pour elle.

Soudain, la voix de Julie m’extirpa de mes pensées négatives :

  • Eh bien les filles, il ne vous reste plus qu’à trouver un soumis, comme ça vous l’aurez à disposition et vous le dresserez à votre guise. Je vous conseille de vous inscrire sur « Slave Selection ». C’est un site dédié aux rencontres Maîtresses / soumis, et il y a du choix !

 

  • Bonne idée, merci !, lâchèrent les trois filles presque en même temps.

Le fait d’évoquer ces quarts d’heure de folie suffit à les exciter de nouveau. En effet, les premières cuisses s’ouvrirent.
Camille fût la première. Quel cadeau pour moi cette touffe de poils noirs ! Je n’aimais pas cette mode d’il y a quelques années où les femmes s’épilaient totalement. En effet, ça faisait trop « petite fille ».

J’aime au contraire les pilosités naturelles, sans que cela soit excessif non plus, les poils à l’intérieur des cuisses
ou sur les fesses, non merci !

Au tour de Camille, jeune dominatrice très cruelle

En tout cas, je m’approchai rapidement de la chaise de Camille et approchai mon visage de son sexe. Ensuite, je commençai par lui embrasser l’intérieur des cuisses, ce qui sembla lui plaire.

Ses parfums intimes, ténus, étaient fort agréables et contrastaient avec ses flatulences et ses rots. A peine avais-je mon nez dans ses poils et ma langue effleurant ses lèvres, qu’elle s’ouvrit davantage encore et laissa apparaître un flux humide qui ne demandait qu’à couler.

Je me dit que ce qu’elle m’avait fait subir avait dû bien l’exciter, alors que moi ça m’avait plutôt dégoûté. Cependant, je ne laissai rien paraître et la léchai passionnément. Peut-être même avec un peu trop d’enthousiasme? En effet, elle passa une main sous la table, me tira en arrière par les cheveux, et je l’entendis dire « doucement »…

Alors je titillai délicatement son clitoris et elle ne tarda pas à jouir avec force.

Le monde du dessus de table en fut témoin puisque j’entendis Maîtresse Julie commenter :

  • eh bien, apparemment il se débrouille bien avec sa langue mon soumis ! Mais je confirme, j’en ai fait l’expérience !

Je m’essuyai le visage tant bien que mal, prêt à œuvrer entre d’autres cuisses. Et l’attente ne fut pas longue, Laetitia s’ouvrit et me montra sa toison dorée, épaisse mais soignée, tout était un rêve chez cette femme dominatrice inaccessible !

Ensuite au tour de Laetitia, la dominatrice de mes rêves

Ainsi, j’allais enfin pouvoir profiter d’un premier contact. Je me précipitai vers le bonheur, avide de connaître son odeur et son goût.
Les parfums  étaient plus marqués que ceux de Camille, mais délicieusement enivrants. Je commençai en douceur puis j’essayai à ma façon d’esclave de lui montrer mon admiration, mon attachement, et j’enfonçai ma langue le plus loin possible.
Je fus surpris de sentir sa main sur l’arrière de ma tête, m’encourageant ainsi à continuer, à la pénétrer avec ma langue.

Ensuite, elle me tira légèrement en arrière, probablement pour me faire comprendre qu’elle ne jouirait pas ainsi et que son clitoris devait être honoré.

Je m’y employai avec une infinie douceur, presque avec amour, puis en appuyant un peu plus, de façon régulière, en prenant soin de mouiller ma langue avec ma salive pour que le contact soit toujours doux.

Finalement, je fus récompensé. Son liquide afflua dans ma bouche. Je n’avais jamais connu ça. C’était tellement intime que je commençai à oublier mon rôle de soumis et d’esclave.  J’avais tout simplement envie de me lever, la serrer dans mes bras, l’embrasser tendrement.

Cependant, elle ne partageait pas mes élans de tendresse et elle repoussa sèchement ma tête de la main. Ensuite, elle  resserra ses jambes. Ce geste signifiait un triste retour à la réalité de ma condition.

Je revins au milieu du dessous de table, dirigeant aussitôt mon regard vers Emilie qui tardait à s’ouvrir. Peut-être imaginait-elle encore un round de catch avec moi ?!

Giflé par Emilie, en guise de remerciement

Curieusement, ce fut Maîtresse Julie qui se manifesta en passant la tête sous la table.

  • Tu te souviens que Maîtresse Elsa s’était étonnée que je me soulage dans ta bouche sans t’en faire
    manger le moindre morceau ? J’étais pressée et j’avais répondu « il ne perd rien pour attendre ».

 

  • Oui Maîtresse, murmurai-je.

 

  • Eh bien ce soir, c’est ton soir ! Quand les filles seront parties, ce qui ne saurait tarder puisqu’il ne reste plus qu’Emilie à satisfaire, tu devras me montrer ce que tu es capable de faire, comme avec Elsa.

 

  • Bien Maîtresse!

Cette perspective de fin de soirée m’inquiétait au plus haut point car je connaissais le côté « too much » de Maîtresse Julie, mais avais-je le choix ?

Je retournai à ma place et dans un timing parfait, Emilie écarta les cuisses très largement, sans doute son côté sportif. Sa touffe rousse était toute mouillée, ça se voyait même d’où j’étais !

Toujours à 4 pattes, je me dirigeai rapidement vers elle et lui bouffai la chatte sans aucun ménagement. Peut-être essayais-je de répondre à la brutalité dont elle avait fait preuve à mon encontre.

Son odeur était assez soutenue, mais finalement cela rendait la chose encore plus excitante. Elle remuait ses fesses d’arrière en avant, comme si ma bouche vorace ne lui suffisait pas. Ensuite, elle couvrit tout mon visage de sa mouille. Elle se frotta longuement sur mon petit nez en trompette qui semblait la stimuler. Finalement, elle revint vers ma langue agile et jouit dans un puissant râle que j’entendis même du dessous de la table !

Comme il fallait bien qu’elle assume son identité, en guise de remerciement, elle passa la main sous la table et me mit une gifle qui me refroidit aussitôt.

Départ des trois invitées

Enfin, je m’allongeai en « chien de fusil » pour me reposer un peu. Ensuite, j’entendis les jeunes femmes dire à Maîtresse Julie qu’il était temps de nous laisser dans l’intimité et qu’elles avaient passé une soirée exceptionnelle.

Bien sûr, personne ne fit cas de moi, pas même un regard, et elles partirent enjouées et comblées. Moi, je me nourrissais encore de leurs parfums et j’avais du mal à débander.

Maîtresse Julie me fit sortir du dessous de la table et m’attira à elle tandis qu’elle s’asseyait dans le fauteuil.

  • Je suis super fière de toi, et compte sur moi pour en faire part à Elsa. J’imagine que tu as dû subir des choses inavouables, extrêmement difficiles pour toi. Sache que mes amies étaient absolument comblées et c’était mon vœu le plus cher, alors je t’en remercie. Cependant, ce n’est pas encore fini pour toi. J’ai envie de quelque chose lié à ce que je t’ai dit tout à l’heure quand tu étais sous la table, tout en le rendant intime.
  • Alors, j’ai décidé de déféquer non pas dans ta bouche, mais devant toi, dans une assiette, et de te faire manger le contenu de l’assiette par petits morceaux que je prendrai entre mon pouce et mon index. Je voudrais que tu dégustes lentement, que ce soit un moment de communion entre nous, les yeux dans les yeux.

 

  • Bien Maîtresse, dis-je instinctivement, tout en me disant que je ne connaissais pas Maîtresse Julie
    sous ce jour.

Elle se montrait cérébrale, presque sentimentale, attachant de l’importance au lien qui nous unit désormais.

De nouveau seul avec Maîtresse Julie

dominatrice

En fait, sous ses apparences un peu brusques et grossières, elle n’était pas l’amie de Maîtresse Elsa pour rien. Elles partageaient finalement une profondeur, une cérébralité, qui les unissaient et les rendaient bouleversantes.

Maîtresse Julie s’exécuta aussi tôt. Elle baissa son jean, sa culotte, mit une assiette sous elle et poussa devant moi. Un spectacle que je trouvais toujours aussi fascinant tant il est rare, intime, excitant.

Une jolie crotte d’une dizaine de centimètres sortit de son anus.

  • Tu vois, tout est dans la retenue ce soir, rien d’impossible, rien d’excessif, juste un soumis qui va déguster, morceaux par morceaux, le fruit des entrailles de sa Maîtresse, tout en lui montrant combien il lui en est reconnaissant…

Maîtresse Julie s’installa confortablement dans le fauteuil, se servit un verre, et coupa un petit morceau du contenu de l’assiette entre ses deux doigts.

  • Ouvre la bouche, regarde-moi dans les yeux et surtout, n’avale pas tout de suite, déguste, mélange- le à ta salive, mâche un peu et ingère doucement ce cadeau!

Obligé de déguster le « caviar » de Maîtresse Julie

Je fis exactement de qui m’était ordonné mais je n’y pris pas vraiment de plaisir, c’était à la fois super excitant et très difficile à faire.
Mais je fis honneur à chaque morceau qui m’était présenté et que je recueillais avec mes lèvres, ma langue et mes dents, essayant sans conviction de savourer.

Cependant, il est vrai que faire tout ça en la regardant dans les yeux était particulièrement troublant, et j’eus l’impression que lorsque je grimaçais, son plaisir décuplait.
Une vingtaine de minutes plus tard, j’étais venu à bout du caviar de Maîtresse Julie qui ne cessa de se caresser tout en me nourrissant, ce qui la fit jouir intensément.

Contrairement à Maîtresse Elsa, je ne fus pas invité à dormir par terre à ses côtés. La jeune dominatrice me demanda de rentrer chez moi, ce que je fis non sans un certain soulagement.

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