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Déshumanisation d’un homme soumis (5)

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Déshumanisation d’un homme soumis (4)

Ensuite, elle partit tranquillement, me laissant à genoux sur le paillasson, comme un bon petit homme soumis. La sonnerie retentit une petite heure plus tard.

Elle vint ouvrir et une femme dans la cinquantaine, sèche et le visage fermé était devant la porte.

  • C’est ça ?, dit elle en me montrant du doigt.
  • Oui, se contenta de répondre ma Maîtresse.

L’autre pris le dessous de mon oreille et me fit mettre debout en tirant dessus vers le haut, j’en avais déjà les larmes aux yeux. Nous descendîmes tout l’escalier ainsi, je pleurais de douleurs la tête penchée au maximum, presque sur la pointe des pieds pour atténuer la douleur. Elle me poussa à l’arrière d’une petite voiture garée en double file et se mit au volant sans un mot.

Je ne disais rien, frottant mon oreille, la tête basse. Le trajet me semblait long et nous quittions Paris. Autoroute vers le sud et sortie après le péage de Saint Arnoult. De petites routes puis une maison isolée entourée de bois.

Elle me fit descendre de la même manière, mon oreille ne s’en remettrait pas…

Ensuite, elle ouvrit une porte de garage et me « jeta » à l’intérieur.

  • Mets toi à poil, tes affaires dans le sac!

Elle montrait un sac poubelle qui trainait sur le sol. J’enlevais précipitamment pull, chaussures et pantalon et fourrais le tout dans ce petit sac poubelle.

  • Mets ça.

Ensuite, elle farfouilla sur une table et me jeta deux bracelets pour les poignets et deux autres pour les chevilles, en cuir que je mettais immédiatement, assis à même le sol en béton.

Frappé par Maîtresse Noémie dès notre arrivée chez elle

Elle vint pendant ce temps derrière moi et enfonça un bâillon gonflable dans ma bouche le refermant derrière ma nuque par une courroie de cuir avant de commencer à le gonfler. Lorsque je ne pus plus respirer et suffoquais, elle le dégonfla légèrement puis saisit mes poignets pour attacher les bracelets à une chaîne fixée à un palan au plafond. Elle attacha de même mes chevilles à un anneau au sol et commença à actionner le palan.

Je me retrouvais rapidement sur la pointe des pieds, les poignets tirés vers le haut, corps en tension, incapable de parler, respirant avec difficulté.

  • Venir chez moi n’est pas un bon début pour un nouveau soumis. Je suis Noémie, Maîtresse Noémie pour toi mais je doute que tu puisses prononcer un seul mot avant que je ne te ramène chez ta Maîtresse. En tout cas tu n’y es pas autorisé. Tu n’as même pas encore de nom qu’on t’envoie ici… tu sauras que c’est un endroit à éviter, je ne suis pas très douce.

Elle prononça cette phrase avec un sourire amusé. Je constatais qu’elle était assez maigre, peu de seins, le visage dur et creusé, blonde avec beaucoup de blanc.

Elle prit un martinet sur la table où gisaient de nombreux ustensiles SM. Puis elle commença à me frapper, des mollets au dos, partout, avec vigueur et régularité, sans se presser. Chaque coup me faisait expulser le peu d’air que j’arrivais à respirer malgré ce bâillon énorme qui comprimait ma gorge.

soumis

 

Ma peau rougissait, partout. Elle n’oubliait aucun endroit. L’intérieur de mes cuisses, le dessous de mes bras, mes tétons bien sûr, même le dessous de mes pieds fut touché. Cela dura un temps infini, je n’avais plus de notion de temps, je n’étais que coups et douleur, larmes et cris étouffés.

Après une longue correction, un peu de répit

En frappant, elle parlait parfois doucement, tranquillement, comme si nous étions en train de jouer au bridge.

  • J’ai vu passé ici des centaines de soumis. Je n’ai aucun goût pour les hommes et préfère les chiens comme toi. Les minables, les larves, les moins que rien qu’on peut traiter comme des chiens et qui viennent ensuite vous remercier de les avoir fait chialer. Toi tu es sans doute E, une future lécheuse de cul, une merde qui apprendra à boire la pisse et même à sucer la bite des A, B et autres bien montés. Au fond, ce n’est pas plus mal qu’on se rencontre maintenant, tu sauras ce qui t’attend la prochaine fois…

Elle continuait méthodiquement à rougir chaque centimètre carré de ma peau. Je ne tenais plus, ne luttais plus, mon corps s’affaissait, tenu par mes poignets, ma tête vaincue plongeait. Un soubresaut de temps en temps de mon corps quand elle touchait une partie plus sensible lui apprenait que j’étais encore vivant.

Elle finit par s’arrêter sans que je ne puisse réagir à cet arrêt soudain du martyr. Mon corps entier était douleur.

Elle posa le martinet et se dirigea vers une porte derrière laquelle elle disparut. Je restais ainsi, abattu, larmoyant, la larve me coulant du nez. Mon repos, si on peut l’appeler ainsi, dura très longtemps. La porte était fermée, je ne savais pas s’il faisait nuit ou jour.

Je m’endormis malgré la position inadaptée de mon corps.

Ensuite, une longue séance de cravache pour le pauvre soumis

C’est un sceau d’eau qui me réveilla… le corps encore n’était que douleur. Pourtant elle s’approcha de moi et tâtant de droite et de gauche, mes bras, mes fesses, mon flanc, elle alla cherche une cravache en me parlant à nouveau.

  • Tu prends bien, c’est dommage pour toi. Après tout, tu deviendras plus vite ce qu’on attend de toi. J’ai toujours été pour les méthodes radicales avec les soumis.

Le premier coup de cravache atteint mes fesses, une douleur fulgurante. Le second arrivait déjà et elle enchaina ainsi…

  • Le plus intéressant dans la douleur c’est qu’on croit toujours qu’on est au maximum, qu’on n’aura pas plus mal et on découvre chaque fois qu’on se trompe. J’aime la cravache car elle est plus précise.

A ce moment, elle envoya un coup sur mes couilles. Mes yeux s’écarquillèrent et je lâchais tout l’air de mes poumons en un cri silencieux. Mes muscles se tendirent à rompre.

  • Oui, ça fait assez mal à cet endroit je te l’accorde. Tu verras, tu finiras par accepter cela comme un gage d’intérêt de celle qui te domine. Tu devras me remercier pour la fatigue due à ta punition. Tu me remercieras plus tard, avec ta langue. J’aime que les chiens viennent lécher mon anus avec passion, avec une motivation hors norme, juste pour me montrer combien ils apprécient mes efforts pour les éduquer et accessoirement pour éviter d’en reprendre une couche, même si ça n’a aucun impact sur ce que j’ai à faire. Mais on a encore un peu de temps avant la fin de cette petite séance…

Puis suivie d’une autre séance de torture avec la badine

Et la cravache cueillit mes tétons, mes cuisses, la plante de mes pieds, le dessous des genoux, les aisselles… partout, même les avant-bras furent rougis par tache de la forme de l’embout de la cravache.

Elle finit par poser l’outil suprême (je le croyais) et s’en allait à nouveau, me laissant pleurnichant.

Elle revint après m’avoir laissé récupérer et saisit une tige plus rigide.

Lorsque le premier coup s’abattit sur mes fesses, je crus que la fin était proche. Jamais de ma vie je n’avais ressenti une telle douleur.

  • Tu vois, je te l’avais dit, on croit toujours que c’est le plus douloureux et chaque fois on se trompe… Allez, pas plus d’une vingtaine.

Je m’évanouissais avant le quinzième, incapable de supporter tout cela plus longtemps.

Je me réveillais en chien de fusils sur du carrelage. Une chaîne courte reliait mes poignets à mon cou, une autre chacun de mes pieds à mes couilles, toujours écrasées par le poids d’un kilo.

Mon corps portait d’innombrables marques et irradiait une douleur diffuse. Le pire venait de mes fesses et de mes cuisses que la badine avait sérieusement entamés. Mon cerveau semblait se disjoindre de mon corps et je flottais à la limite de la conscience.

  • Viens me remercier chien.

Je levais la tête et la voyais nue, assise sur un canapé non loin de moi. Elle était vraiment maigre, mais malgré tout assez musclée, je comprenais mieux la force des coups. J’essayais de bouger et marchais à quatre pattes, doucement, à la limite de l’équilibre vers elle. Chaque pas révélait une nouvelle douleur.

Enfin, à ma vraie place d’homme soumis

soumis

 

Lorsque je fus près d’elle, elle se tourna sur le coté pour me présenter ses maigres fesses et surtout son anus.

  • Si ta passion à me lécher me convainque, en plus de ma pisse, je te donnerai quelque chose à manger, sinon, tu n’auras que ma pisse avant d’aller dormir quelques heures.

Mon estomac grondait, même si ce n’était pas ma priorité, je sentais que j’aurai besoin d’énergie. Je collais mon visage entre ses fesses et ma langue pour la première fois depuis des années put vénérer l’anus d’une divine dominante. La longue séance de punition m’avait emporté dans un nouveau monde et je ressentis au fond de moi la réelle nécessité de la remercier, de la vénérer. Je ne jouais pas un rôle, j’étais entièrement et pleinement à ma place d’homme soumis. Les chaînes, la cage, le plug étaient l’uniforme de ma seconde vie.

Une vie dédiée à l’instant présent, celui où ma langue caressait avec vigueur l’âcre anneau de chair par lequel ma Maîtresse expulsait ses déchets. Quelle meilleure place pour le sous-être que j’étais enfin. J’inondais de bave et de larmes reconnaissantes cet anus divin, son goût, son odeur devenaient mon havre de Paix, mon ultime baiser, ma source de vie.

  • Et bien soit tu as une peur bleue et tu ne vivras pas longtemps, soit tu es vraiment en train de me vénérer…

Elle se retourna et pris mon menton entre ses doigts, plantant son regard dans le mien.

Sommé d’aller l’attendre aux toilettes

Je n’avais pas peur, j’avais mal, mais cette douleur me semblait normale car voulue par elle. Elle était ma justice.

  • Non, tu n’as pas peur, n’est-ce pas larve ?

Elle me sourit et plaqua à nouveau mon visage entre ses fesses. Je léchais sans pouvoir m’arrêter. Ma langue explorait l’entrée plus acre, j’aurais voulu pouvoir entrer tout entier en elle, qu’elle puisse me chier.

J’étais.

Cela dura jusqu’à ce que ma langue ne puisse plus même bouger. Elle me chassa d’un coup de pied…

  • Va aux toilettes et attend-moi.

Je cherchais l’endroit à quatre pattes, comme un chien visitant une nouvelle maison et trouvais des toilettes très grandes et toutes carrelées… Une sorte de plateau sur roulettes, comme un brancard en plus court et plus bas était dans un coin et à côté du chiotte, un morceau de plastique formait une réhausse à la forme de la lunette avec un trou de la taille d’un cou sur le devant.

Ma Maîtresse vint un moment plus tard, j’étais à genoux sans les mains sur la tête, la chaîne ne me permettant pas de les mettre.

Homme soumis transformé en toilette humaine

Elle prit le mini brancard et m’enjoigna de me mettre dessus, sur le dos, la tête dans le vide, ce que je fis. Elle fit rouler le brancard jusqu’à ce que me tête soit au dessus des toilettes puis positionna la couronne de plastique en passant mon cou dans le trou. Il faisait une sorte de réhausse sur laquelle elle pouvait s’asseoir, et je vis au dessus de moi son cul se poser et, les cuisses écartées laissaient apparaitre sa chatte qui vint au contact de mon visage. D’instinct j’ouvrais la bouche en grand autour de son sexe.

  • Voici ta boisson du soir. Chaque goutte perdue à un coût. Comme tu es ultra débutant, je serai indulgente. Mais avale tout ce que tu peux.

Le liquide envahit ma bouche, j’avalais autant que je le pouvais, incapable encore d’avaler sans refermer la mâchoire au moins en partie, me couvrant donc le visage de pisse.

Je savais le goût de la pisse, même s’il était lointain. Là encore, je m’étonnais de me sentir à ma place.

Lorsqu’elle eut fini, j’attendis les dernière gouttes et l’ordre de nettoyer, ce que je fis avec respect et méthode. Nettoyer le sexe d’une femme était un privilège, le nez collé à ses odeurs intimes, la langue fouillant dans ses chaires délicates avec ses sécrétions et liquides odorants devenait ma manière de faire l’amour, de jouir de la vie.

Elle se leva, tira la chasse qui m’éclaboussa copieusement.

  • Reste ainsi, c’est une bonne place pour toi.

Homme soumis obligé de manger la pâtée pour chien

Et elle partit, laissant mon visage sécher et le goût de sa pisse perdurer dans ma bouche.

Je ne pouvais m’endormir ayant la tête dans le vide et je luttais pour tenir, essayant de temps en temps d’appuyer ma tête sur les bords pour tenir.

Je finis par la laisser tomber en arrière, à moitié immergée dans la cuvette. Inconfortable mais tenable.

Elle me délivra pour m’attacher le cou à une chaîne au garage, me laissant à peine relever la tête du sol. Ensuite, elle jeta une vieille couverture et un coussin miteux puis posa au sol une gamelle avec une sorte de pâté écrasé.

  • J’ai pris une boite de mon chien qui me restait.

Elle posa une autre gamelle à coté, vide.

  • Je viendrai tout à l’heure la remplir.

Et elle partit.

Une petite lumière dans un coin me permettait des discerner ce qui m’entourait.

Mon ventre me rappela que je n’avais rien mangé depuis le matin, je ne savais même pas s’il était tard, nuit, demain ? la pâtée pour chien était immonde, mais j’avais compris que je n’aurais rien d’autre et que ce type de repas risquait d’être fréquent… Alors je mangeais, vite, le plus vite possible pour oublier le goût.

Je posais un instant ma tête sur le coussin puant et me couvrait de la couverture.

Elle revint alors que je commençais à m’endormir. Elle s’accroupit sur la seconde gamelle et urina, ma boisson du soir… je la nettoyais soigneusement, le nez, la bouche, la langue apprenant toutes les saveurs, odeurs et goûts de son sexe, elle partit.

Je lapais un peu, préférant le gout de sa pisse à celui de la pâtée, puis je m’endormis.

Lavé à l’eau froide comme un chien

Je discernais dans mon sommeil le bruit du cadenas que l’on ouvre et la chaîne puis, sans ménagement, mon collier fût tiré. Je me mettais à quatre pattes, ouvrant difficilement les yeux. La porte du garage où je dormais était ouverte et elle me tirait dehors.

Le froid était vif, la lumière crue. Un autre anneau au sol, mon collier y fut attaché par une très courte chaîne. Autour quelques arbres et haies ne me permettaient pas de voir plus loin. J’avais mal dormi, mon corps était couvert de zébrure, marques, bleus, tout était douloureux.

Le jet d’eau froide me prit par derrière, pas surprise. Fort, dirigé vers mon cul offert en raison de la courte chaîne, je me détournais rapidement. Mais elle visa le flanc, les couilles, le ventre, les bras, tout y passait jusque mon visage que je ne pouvais détourner.

Le jet était de plus en plus fort, cinglant. Elle ne disait rien, ne souriait pas, lavait juste son chien.

  • Tourne ton cul vers moi ! s’il n’est pas propre, c’est à la badine que je vais le récurer !

Nul cri, juste des évidences. Je tournais, offrant ma chatte.

  • Enlève le plug et écarte les cuisses!

chaîne courte entre le collier et les poignets, je me contorsionnais pour enlever le plug, râle de douleur, puis pour offrir ma chatte béante.

  • Si tu as des besoins à faire, va dans l’herbe, là, c’est le moment !

Désormais immatriculé par ma Maîtresse

J’allais vers l’herbe, comme un bon chien, je pissais, sans même lever la patte, juste parce que cela faisait des heures que l’envie est là, mais qu’elle ne devenait évidente qu’à cet appel à l’envie… L’eau entrée dans ma chatte sortait, je poussais et chassais quelques excréments, comme une bête, je m’éloignais de mes déjections, revenais vers elle, vers le jet qui frappait à nouveau ma cage, mes couilles, ma chatte offerte.

Elle se rapprochait, je sentais l’eau froide entrer en moi, je claquais des dents, je me sentais animal, je sentais cette animalité simple grandir en moi, chasser l’humanité. Fugace, la graine était plantée.

Je finissais grelottant, rentrant au garage la chatte endolorie après qu’elle ait remis brusquement le plug.

Elle me rattacha à l’anneau au sol, vida le reste de sa pisse dans ma gamelle et vint s’accroupir pour la remplir de nouveau. Je la nettoyais sans qu’elle ait à demander.

Elle se releva.

  • Bon petit déjeuner, je reviendrai quand tu seras sec.

Ensuite, elle disparut. Je grelottais toujours et trouvais un léger réconfort à laper et aspirer sa pisse encore chaude.

Finalement, je me couchais sur la couverture, me tournant pour sécher un peu l’eau.

Je me rendormais un peu….

Son annonce me réveilla…

  • Bonne nouvelle, ta Maîtresse vient de m’appeler, tu es désormais immatriculé. Tu es E24K273 !

Officiellement enregistré comme soumis

Je n’avais aucune idée de ce dont elle parlait mais je vis qu’elle avait à la main une tondeuse à cheveux et qu’elle souriait…

  • Vu ton air ahuri, soit ma pisse t’a déjà lavé le cerveau, soit rien ne t’a été expliqué… j’opte pour la seconde option. Bon. Ce n’est pas à moi de le faire… sache juste que tu es maintenant officiellement enregistré comme soumis. Tu dois connaître ton matricule par cœur, on te le tatouera bientôt pour le marquer définitivement. En attendant, les chiens comme toi n’ont qu’une coupe de cheveux… courte… à quatre pattes.

Elle positionna une bassine sous ma tête et mit une jambe de chaque coté comme on le fait pour un mouton. Je vis mes cheveux tomber et senti la tondeuse parcourir tout mon crâne.

Animal encore. Tonte, tatouage du matricule. La graine pousse.

  • J’adore tondre les chiens, déshumaniser les sous hommes est toujours une grande satisfaction.

Elle s’appliquait, ma nudité ne fut jamais aussi poussée.

Elle m’attacha ensuite comme la veille, les bras tirés vers le plafond, les pieds touchant à peine le sol.

  • La seconde fois, c’est toujours plus dur, mais ton cerveau doit enregistrer ton passage ici comme très, très négatif. Ce doit être un signal rouge afin que ta Maîtresse puisse s’en servir pour ton dressage.

Nouvelle séance avec le martinet, puis avec la cravache et enfin avec la badine!

homme soumis

Le martinet virevolta avec la même précision et la même puissance que la veille. Simplement mon corps souffrait encore du traitement passé et mon cerveau savait déjà les douleurs à venir. Rapidement, j’entrais dans une sorte de transe, la douleur ne diminuait pas, mais je m’en détachais un peu. Je savais les coups « normaux » pour l’animal-chose que je devenais.

Puis ce fut la cravache. Je revenais à la réalité, à l’instant présent par certains coups plus ajustés, durs, notamment quand elle rougissait mes couilles ou mes tétons, l’intérieur des cuisses ou les aisselles aussi.

Enfin, la badine vint définitivement tuer les traces de virilité ou d’égo qui subsistaient encore en moi. Chaque coup résonnait dans mon corps comme une mise à mort. J’eus l’impression que le premier tua définitivement mes potentielles érections futures. Le second tua mon reste d’amour propre. Le troisième décima mes derniers rêves d’enfant. Le quatrième enterra mes derniers souvenirs de baisers. Les suivants, un à un, me plongèrent dans un océan froid, nu, l’âme offerte, prêt à tout accepter, tout donner. D’animal, je devenais chose sans pensée propre.

Je ne m’évanouissais pas, j’étais juste parti ailleurs. Ensuite, je ne vis pas le reste de la journée.

Je repris lentement mes esprits dans la voiture qui me ramenait chez ma Maîtresse.

 

A suivre

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