Esclave sexuel de Marianne (7) : la rivale de ma Maîtresse dominatrice

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Maîtresse dominatriceAnne-Ingrid, ma Maîtresse dominatrice

Maîtresse Laure, comme vous me l’ordonnez si bien avec vos talons plantés dans ma chair, je reprends donc la plume pour vous exposer l’attitude d’Anne-Ingrid, ma Maîtresse dominatrice, Femme incomparable, véritable Divinité de la suprématie.

Ça ne vous a pas échappé. Elle m’a fouetté comme jamais puis enfermé dans une cage tel un chien galeux. Ensuite, vous l’avez vu, elle m’a humilié en me forçant à cet accouplement barbare, dans cette tenue d’animal en rut ! Vous-même étiez très excitée. Vous m’avez fouetté, ce dont je vous remercie à genoux, ma langue en service de nettoyage entre vos fesses et sous leur autorité.

Bref, cravaché, écrasé, méprisé, insulté, soumis à son esclave lesbienne (vous), je crie ma douleur et mon amour pour Anne-Ingrid Olsson, Femme que j’aime à la folie !

Alors voilà l’explication que vous attendiez, Maîtresse Laure.

Première rencontre avec la rivale de ma Maîtresse dominatrice

Le matin du spectacle bestial auquel vous avez assisté, une femme s’est présentée à Olsson’s Furnitures Inc. En tant que son assistant, j’avais effectivement noté ce rendez-vous d’affaires il y a quinze jours dans l’agenda de ma patronne. En lui présentant le parapheur ainsi que mes hommages habituels à genoux à ses pieds, je lui ai dit le nom de la visiteuse, Madame Mathilde Beaumont.

Elle m’a fusillé du regard, et immédiatement giflé.

– Mathilde Beaumont ? Elle est ici, cette grosse vache ? En fait, elle s’appelle Ginette Rossi, je ne l’ai pas vue depuis quinze ans, et tant mieux ! Qu’est-ce qu’elle vient faire ici ?

– Elle a commandé pour huit cents mille euros de meubles anciens, Maîtresse. Et si je puis me permettre, sans doute a-t-elle profité de ces quinze ans pour maigrir, car ce n’est pas un gros ruminant que j’ai fait entrer au salon…

Puni par ma Maîtresse dominatrice

SCHLACK ! La gifle cingle – Tais-toi ! Tu as mal regardé, imbécile. Cette fille est vulgaire de la pointe des pieds à celle des cheveux. Elle a de grosses cuisses, pas de taille et de la cellulite… Cependant, si elle m’achète pour huit cent mille euros de meubles, ça change tout ! Et je ne veux même pas savoir d’où elle sort cet argent, même si je m’en doute. Elle a plusieurs esclaves très riches, dont l’un est son soi-disant mari !

Bon, allons affronter l’effrontée. Debout, toi ! Enlève ton collier, imbécile, pas la moindre soumission sinon elle va en profiter. Et rajuste ta cravate. Tu lui présentes le dossier à signer et tu te tais, je verrai ce qu’il faut faire si elle discute.

Rencontre entre les deux rivales dominatrices

Nous entrons dans le salon. Mathilde-Beaumont-Ginette-Rossi nous attend, pratiquement vautrée dans un fauteuil, la bouteille de champagne que je lui ai servie est quasiment vide.

– Cette chère Anne-Ingrid ! Alors, ça marche, cette affaire de brocante, on dirait ?

Ooooh, voilà un mot qui va plaire à Maîtresse : « brocante »… Effectivement, il y a dans sa voix quelque chose de vulgaire que je n’avais pas remarqué, mais il est possible que ça vienne du champagne. Cela dit, elle est trop maquillée. Ses cheveux trop blonds sont trop bouclés. Elle porte une robe trop courte et trop moulante et qui serre de trop près ses fesses trop rondes. Ses cuisses trop grosses, en effet, sont partiellement cachées par des cuissardes montant trop haut…

Jaugé par cette Maîtresse dominatrice

Cette femme est… trop. Avec une classe polie, Maîtresse lui serre la main. Mathilde ne se lève même pas et s’enfonce dans le moelleux fauteuil en cuir en me lançant furtivement un regard, à la limite de l’obscène. Elle sait de toute évidence que je ne suis pas seulement ce cadre en costume-cravate avec un dossier à lui présenter. C’est une dominatrice, sûr. Et même très expérimentée, elle me regarde d’emblée comme un esclave. Un peu hésitant, je m’avance vers elle, le dossier ouvert devant moi.

– Madame Beaumont, voici, le contrat que j’ai préparé. Après relecture, je vous prie de bien vouloir parapher les pages et signer ici et là. Félicitations pour vos choix, ces meubles sont magnifiques et vous serez satisfaite de la qualité de nos produits. Je vais chercher quelques biscuits pour le champagne. (je garde pour moi : « et une autre bouteille »)

Intimidé par la rivale dominatrice

Toujours assise, Mathilde jette un œil sur le dossier que j’ouvre devant elle. Sans le prendre, elle le pousse ostensiblement vers le bas, m’obligeant à me baisser un peu pour accompagner sa lecture simulée. la couverture cartonnée vient toucher ses cuisses à la limite de sa robe…

L’air sévère, sourcils froncés, elle plante ses yeux dans les miens comme des poignards et, cachée d’Anne-Ingrid, relève nettement l’ourlet de jersey noir. J’aperçois l’ombre entre ses cuisses, elle ne porte pas de culotte…

Toujours les yeux froncés, l’air méchant, sans même regarder le contrat :

– C’est quoi, ça, les petites lignes en bas du contrat, du suédois ?

Anne-Ingrid s’inquiète : – Quelque chose ne va pas ?

Au service de la rivale de ma Maîtresse dominatrice

En fait, Maîtresse a parfaitement compris (il n’y a pas un mot de suédois dans le document).

Mon assistant va vous traduire les passages écrits en suédois dans une langue plus compréhensible pour vous et vous fournir toutes les réponses à vos attentes. Je vous laisse un moment car j’ai un fournisseur à rappeler.

– Très bien, ma chère, revenez vite ou sinon nous buvons tout le champagne, ahaha !

Avec un sourire entendu, ma superbe directrice sort, refermant derrière elle les lourdes portes du salon. Aussitôt, Mathilde se lâche :

– Mets-toi à genoux, esclave ! Tu crois que je ne t’ai pas calculé ? Pose ton dossier et regarde ce que c’est que la chatte d’une Reine ! Baisse les yeux.

-À partir de maintenant tu m’obéis.

-Regarde, admire, adore-moi comme la déesse dominatrice que je suis. Misérable vermine, mesure ta chance que je te fasse l’honneur d’un tel spectacle…

Subjugué par la rivale dominatrice

Elle lève sa majestueuse cuisse droite sur l’accoudoir et pousse son bassin en avant, un sourire dominateur aux lèvres, lèvres dont elle approche sa flûte à champagne. Je dois dire qu’être à genoux devant sa domination immédiate et totalement décomplexée, son corps imposant, sa tenue provocante, son parfum capiteux… est déjà extrêmement excitant… mais ainsi exposé à dix centimètres de moi, son sexe dont je sens l’odeur suave et la chaleur… est absolument fantastique.

La beauté du sexe des femmes est un sujet rarement abordé. La couleur, par exemple, certaines sont rouges, violettes, brunes ou même noires à cet endroit.

Le sien est ensorcelant, d’une couleur un peu plus foncée que sa peau bronzée. Il est d’ailleurs mis en valeur par la trace nette du maillot de bain de soleil. Ses petites lèvres, jointes par une crème blanchâtre, se décollent lentement depuis qu’elle a écarté sa cuisse. L’odeur suave se renforce et m’enivre, Mathilde, cette majestueuse Maîtresse dominatrice, me regarde avec un sourire pervers, elle sait que je suis subjugué. Délicatement, tout en buvant son champagne de la main droite, elle écarte sa fleur de lys de l’autre main… je distingue à présent son clitoris drapé de rose, son méat urinaire et l’entrée dilatée de son vagin où j’aimerais plonger, son parfum puissant est un philtre magique, je n’en peux plus, attiré comme un aimant par le pouvoir de ce sexe, j’approche ma bouche…
SCHLACK ! Une gifle me rappelle à l’ordre.

Puni par cette impétueuse dominatrice

– QU’EST-CE QUE TU CROIS ? Que tu vas lécher la plus belle chatte du monde comme ça ? Je te rappelle que je fais à ton entreprise un petit chèque de huit cent mille, mon chien… alors tu m’obéis. Attends mes ordres. Tu n’as encore rien vu, minable petit larbin d’Anne-Ingrid… Bon. Retire mes bottes et lèche mes jambes. Fait trop chaud, ici, nettoie ma sueur, surtout sur mes pieds.

Je commence par la jambe écartée. Effectivement, une moiteur délicieuse se mêle à l’odeur du cuir de luxe, je lèche avec application. Je trouve savoureuse cette sueur aigre et salée. Mathilde bouge sa grosse cuisse chaude, la pose sur mon épaule, la ramène devant mes lèvres. Elle semble apprécier. J’arrive au pied après une cheville étonnamment mince, entourée d’une fine chaîne en or. Son pied est d’une beauté stupéfiante. Très grand, sans doute du 42, mais des proportions parfaites, une cambrure impressionnante, des orteils parfaitement alignés, le gros légèrement en retrait du suivant. Il est couvert de sueur, de la même délicieuse odeur que les jambes, quoique encore plus enivrante. Je le lèche avec passion, l’engloutissant le plus possible dans ma bouche, allant chercher entre chaque doigt le sel dissimulé pour le déguster.

Mathilde semble parfaitement habituée à ce traitement. Ainsi, elle apprécie de pousser son pied au fond de ma gorge, puis de remuer ses orteils jusqu’à ce que j’éructe, ce qui la fait sourire.
D’un geste sec de l’index du haut en bas, suivi d’une gifle puissante accompagnée d’un gémissement énervé, elle m’ordonne de me déshabiller. Son regard est impérieux et méchant, sa cruelle autorité s’abat sur moi avec la rapidité d’un aigle qui terrasse sa proie.

Prise de pouvoir par la rivale

Avant de m’autoriser à lui ôter l’autre botte, elle verrouille son pouvoir sur moi comme un carcan :

– Suce d’abord le talon de ma botte, comme une petite pute docile et amoureuse ! J’aime que les hommes obéissent et s’humilient devant moi… regarde-moi avec le respect que tu dois à une Reine et remercie-moi : je t’autorise aussi à lécher la semelle !

Elle la frotte sur ma bouche comme sur un paillasson. D’ordinaire, je déteste ce genre de pratiques, mais là, par cette femme que je n’ai jamais vue et qui se moque totalement de moi, c’est tellement humiliant que j’adore. Je lèche longuement, avec application, comme si le goût de ses semelles était réellement délicieux. Heureusement que les salons d’Olsson’s Furnitures Inc. sont couverts de moquette et que cette créature qui m’hypnotise n’avait pas marché dans la boue. Je la remercie mille fois, je la supplie de me laisser encore lécher sa transpiration. J’ai tellement peur qu’elle s’arrête là !

J’ai honte de me soumettre, à ce point et aussi vite, à celle qu’Anne-Ingrid qualifie de « grosse vache », mais une voix en moi crie Oouiiii, Déesse Mathilde, vos pieds et votre sexe me fascinent, je suis à vous, faites de moi ce que vous voudrez, piétinez-moi, essuyez votre semelle sur ma langue qui vous en supplie, je ne peux résister à votre pouvoir !

Totalement soumis à cette Maîtresse dominatrice

Après me l’avoir fait lécher, Mathilde remonte sa jambe gauche sur l’autre accoudoir et me revoilà face à son sexe, placé un peu plus haut, comme posé sur ses fesses larges, majestueuses, je découvre en-dessous son anus qui aussitôt me fascine. Elle sourit moins, respire plus fort, la bouche ouverte. Quelques gouttes de liquide blanc s’écoulent de la vulve ouverte et descendent lentement le sillon sombre… je suis sous hypnose, je ne sais pas ce que je donnerais pour plonger dans cet univers chaud et humide, cueillir ce nectar avec ma langue, je me penche à nouveau…
SCHLACKK ! Une autre gifle. Ce doit être mon érection qui l’énerve… Ah, Non :

– JE T’AI ORDONNÉ QUELQUE CHOSE ? Reste là, petite pute ! Appelle le bureau de ta patronne et passe-moi le téléphone…

j’obéis…

-Allô ? Anne-Ingrid ? Tu sais ce que ton esclave est en train de me faire ? Comment ça « rien à foutre » ? Dis-donc, grande cochonne, tu vas changer de ton, hein ? Avec le chiffre d’affaires que je te balance, tu vas m’obéir toi aussi comme ta lopette qui est à genoux devant moi.

AUX PIEDS, TOUT DE SUITE !

Je suis choqué par son ton mais, encore groggy de soumission, cette crise d’autorité me la rend encore plus désirable… envie de me traîner en gémissant juste pour qu’elle essuie encore ses pieds sur ma langue…

Ma Maîtresse dominatrice humiliée

Anne-Ingrid entre alors et me voit, nu et à genoux devant Mathilde, avachie. Si son regard était une bombe atomique, la terre serait réduite en cendres. Mathilde a un sourire mauvais. Elle déteste ma Maîtresse, apparemment.

Les cuisses toujours grand écartées, elle étire ses longs bras avec grâce en bâillant à haute voix, soupire puis fixe Maîtresse Anne-Ingrid droit dans les yeux tout en me faisant signe du doigt de m’approcher.

Elle jouit de l’instant. C’est clair. Il me semble qu’une autre sécrétion blanche en témoigne, ainsi que quelques contractions de l’anus.

Prenant un ton affecté, faussement désolée, elle continue :

Oooh… regarde ton esclave, le pauvre… sans le faire exprès, je crois que je l’ai subjugué, ça ne te rappelle rien ?

-Jean-Louis, je suis embêtée, ta Maîtresse sera sans doute fâchée… mais j’ai envie que tu me lèches devant elle… Anne-Ingrid, tu ne m’en veux pas, hein ? Tu m’as bien dit « rien à foutre » ?

Elle m’agrippe par les cheveux !

-Alors lèche-moi, esclave ! Lèche le jus de ma chatte ! montre à ta vieille Maîtresse que tu m’obéis comme un chien que j’ai dressé en cinq minutes ! vénère mon clitoris de Reine avec ta petite langue soumise ! Dis que tu n’as jamais été dominé par une chatte aussi belle, supplie-moi de lécher aussi mon anus, qui me démange, enfonce bien ta langue de lopette dedans !

Là, je deviens fou, brouillon, je lèche, j’enfonce, je me frotte, mon nez puis tout mon visage se couvre de cyprine, il me semble entendre quelques gémissements, tout de même.

SCHLACK ! Une gifle m’arrête encore.

Ma Maîtresse dominatrice aux ordres

– Attends, sale chien, tu t’y prends comme un manche !… tiens, à propos de manche, tu vas me servir autrement…

-Viens-là, Madame Olsson, vieille cochonne, tiens, ça rime, c’est toi qui vas me lécher ! Mais avant, je veux te voir m’obéir, te prosterner devant moi, ça m’excite :

-d’abord, tu te fous à poil et ensuite, tu suces le manche de ton soumis, à genoux, comme la vieille pute que tu es.

Et quand je t’en donnerai l’ordre, quand ta soumission à ce minable m’aura bien excitée, tu viendras me lécher comme la sale gouine que tu es, pendant qu’il te le mettra dans ton cul de grande salope que tu es…

Et moi ? Moi, je vais jouir dans ta petite bouche fripée comme la déesse que je suis ! Hhhrraââaahh… allleeeeez… dépêche-toi ! Fous tes nichons à l’air, tes fesses aussi, cochonne, et suce-le !

Anne-Ingrid obéit, les yeux baissés. Jaillissant de son chemisier, ses fantastiques seins lourds me rappellent comme j’admire la beauté mature de cette Femme. Mon érection est à son comble quand elle prend mon sexe dans sa bouche chaude, m’aspire. Sa main droite me branle à mort, puis s’efface. C’est de nouveau sa bouche qui m’aspire et m’engloutit au plus profond avec un bruit de gorge. Étant son esclave, j’ignorais bien sûr qu’elle était aussi une reine de la fellation ! Quelle créature merveilleuse !

Vengeance de ma Maîtresse dominatrice

Soudain sa main gauche, que Mathilde ne peut voir, me prend les testicules et les tord furieusement. Je retiens à peine un cri de douleur, et tout mon amour de cette violence froide dont est capable Maîtresse me remplit à nouveau. Elle renforce sa torsion en plantant ses ongles dans mes pauvres bourses !

– Elle te mord, cette chienne ? OOooohhhhhh, ça me chaufffffe… t’aimes toujours pas les queues, hein, gouinasse ? ALORS LÈCHE MA CHATTE !… MAINTENANT !

 

Et Maîtresse fait alors quelque chose qui me stupéfie…

(à suivre)

 

 

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1 réflexion au sujet de « Esclave sexuel de Marianne (7) : la rivale de ma Maîtresse dominatrice »

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