La douche du soumis encagé
J’exécute et je ne trouve rien à redire à cela. Je me mets nu assez rapidement. Ainsi, je suis toujours un soumis encagé. Je suis guidé dans la douche. L’eau y coule déjà et c’est une impression étrange de recevoir sur ma tête encagoulée cette pluie que j’aurais tellement voulu recevoir sur mon visage. Ma Maitresse me pousse un peu et je la sens qu’elle rentre avec moi et referme la porte. Son corps frôle le mien, je sens ses seins pointés sur mon torse, elle s’approche plus, me presse contre la paroi glacée. Et m’embrasse de toute sa bouche.
Mes mains se mettent autour de ses hanches et je lui rends ce délicieux baiser. Mes mains l’enlacent, remontent sur son corps, sa peau est douce et délicate. Je suis excité, mon sexe va transpercer ma cage à force de gonfler. J’ose passer mes mains sur sa poitrine, elle ne dit rien et continue de m’embrasser de plus en plus fougueusement. Elle presse son bas ventre sur ma cage, m’arrachant un cri, immédiatement étouffé par sa langue, tellement ma cage ne contient plus mon sexe qui se trouve tellement à l’étroit. Elle prend ma main et la dirige vers son sexe.
Oh mon dieu, mes doigts effleurent son intimité. Elle est encore détrempée. Je la caresse délicatement. Je m’immisce en elle. Elle avale mon doigts sans effort, c’est chaud accueillant. Je suis sous le charme d’une femme que je n’ai toujours pas vu mais qui me fait vivre des expériences tellement folles. Je lui rentre deux autres doigts. Elle ne me lâche pas ma bouche. Je la sens se tendre. Elle est au bord de la jouissance mais au moment de jouir elle me croque le cou me faisant plier sous sa morsure.
La punition du soumis encagé
- Ca t’apprendra à me faire jouir sans ma permission, mais si tu n’as pas peur de revivre une telle douleur, tu recommences quand tu veux car j’ai pris un pied énorme.
- Bien Maîtresse Ana. Dis-je un peu décontenancé.
- Lave moi cela te changera les idées ! Tu oublieras un peu ta douleur.
Je passe ma main sur mon cou et je sens tous les contours de ses dents incrustées en moi. Elle me tend le gel douche, j’en verse dans ma main et je commence à lui frotter le dos, puis le devant, sous les bras… Je n’oublie aucune partie de son corps. Elle se rince, sort et me dit de me laver à mon tour et qu’elle me rincera une fois fini. J’exécute, ça fait du bien de se laver. Je finis à peine que ma Maîtresse prend le pommeau, ouvre l’eau et me rince mais je crie de surprise. Elle me rince à l’eau froide. Je me cale dans l’angle de la douche et j’essaye de me protéger mais je ne peux pas me soustraire à cette torture.
- Arrête de gigoter et fait front un peu !
Je me redresse et je fais face au jet glacé. Je me retourne et je commence à me frotter. J’ai la chaire de poule sur tout le corps.
- Voilà c’est mieux, t’es ma salope, pas une femmelette.
Elle arrête le jet. Je grelotte, elle me tire de la douche et m’enveloppe amoureusement dans une serviette. Quel contraste avec la rudesse de ce rinçage ! Cette femme alterne le chaud et le froid, ce qui est le cas de le dire, et elle m’envoute de plus en plus. Je suis sec maintenant.
Préparation du soumis encagé pour le soir
Ma Maîtresse me prend par le bras et me dirige.
- Bon que vas-tu porter ce soir ?
- Oh tiens ça ! oui tu va être très belle, mais peut être pas très confortable ?
- Ou sinon cela ?.
Elle fait un monologue comme si je voyais ce qu’elle me proposait. Mais cette situation m’excite au plus au point.
Elle s’approche de moi et me passe un sous-vêtement très rigide sur mon torse. Elle me demande de tenir mon souffle et me lace cette chose dans le dos.
- T’es très belle dans ce corset ça te fait une belle taille, mais tu vas devoir perdre encore quelques kilos car je n’aime pas que ma salope soit bedonnante.
Ce corset me coupe le souffle, et remonte ma poitrine. Elle me demande de m’asseoir, me passe des bas résilles. Les attaches au corset puis m’enfilent un string en me tapotant bien le derrière pour faire bouger le plug que je portais toujours en moi.
- Te voilà paré pour la semaine ma belle, tu porteras cette tenue jours et nuits. Concernant le plug tu devras le garder jusqu’à demain soir, après tu feras une pose de deux jours et le remettras en toi donc jeudi. Sache aussi que cela fait plus de 24h que tu es enfermé dans cette cagoule et qu’aucun de mes soumis n’y avait passé autant de temps. J’aimerais bien encore te garder ainsi 24h de plus mais hélas tu bosses demain et je vais bientôt te libérer.
Instructions pour le soumis encagé
Elle s’assoie dans le canapé, me met à ses pieds et me dit :
- Je vais aller me reposer et lire dans la chambre toi, quand tu n’entendras plus mes pas tu enlèveras cette cagoule tu me ranges cette pièce du mieux que tu peux, tu va dans la cuisine t’y trouveras des produits ménager, tu feras la vaisselle et lavera le sol des deux pièces, une fois finit tu remets des habits de mâle et tu t’en retournes chez toi. Je te souhaite une bonne soirée et je suis fière de ma petite pute. J’aurais ce week-end longtemps gravé en mémoire. A bientôt.
Elle me claque les fesses et s’éloigne. Visiblement elle me fait confiance car me laisse libre d’aller à tout moment dans sa chambre la voir. Mais elle me teste encore j’en suis sûr, et moi au fond de moi je n’ai pas envie de décevoir cette femme, cette femme que j’aime. Oui je l’aime, j’aime sa voix, son odeur, sa peau, ses reins, oh oui son sexe aussi.
Découverte des accessoires SM
Je n’entends plus rien. J’enlève cette cagoule. Une bouffée d’air frais arrive sur mon visage. Cela fait du bien mais je commençais à m’y faire à cette seconde peau sur moi. Le temps que mes yeux se réhabituent à la lumière, je tourne sur moi même pour chercher le coté le plus sombre. Mon regard s’attarde sur une table où deux plug sont posés dont un que je trouve énorme. Je me demande si j’ai reçu celui si en moi ? Non pas possible il est trop imposant, cela doit être l’autre qui est de taille conséquente déjà.
La pièce est un peu un champ de bataille entre des espèces de couvertures ou draps encore humides, des godes qui trainent et des capotes un peu partout. Je me demande ce qui c’est passé ici même si je pense en avoir subit une bonne partie. Je commence à faire le tri des accessoires, à me remémorer tous les sévices que j’ai subis hier soir.
A chaque gode dans la main, j’essaye de l’attribuer à une de mes godeuses de la veille. Proche du canapé, j’en prends un de bonne taille, au moins 22cm de long et 5 ou 6 cm de large. Celui là ce doit être le dernier que j’ai pris en moi. J’en frisonne et mon anus se rétracte sur le manche du plug en repensant à l’assaut que m’a donné cette femme avec ce sexe factice. Je crains de la recroiser un jour mais au fond de moi je n’ai qu’une seule envie qu’elle me repossède à nouveau et qu’elle continue à m’élargir le mieux possible.
Le soumis encagé fait le ménage
Je continue mon rangement. Cependant, je pose tout le matériel sur une table ne sachant pas où le ranger. Je m’arrête sur la table de gynéco qui trône au milieu du salon et sur laquelle j’étais surement allongé. Ensuite, je range et je revis en même temps toute la soirée d’hier. Je prends le plaid qu’il y a sur le canapé. Je ne peux m’empêcher de le porter à mon nez. Les odeurs y sont fortes mais tellement enivrantes. Je le mets de coté pour trouver à nouveau certains objets, jouets que je replace avec tous les autres. Je me dirige vers la cuisine. Un monticule de vaisselle déborde de l’évier. Je m’affaire à la tâche. J’ai la taille totalement enserrée avec ce corset. Cela me gène mais je trouve cela plutôt excitant. Je sors les produits pour le sol. Ensuite, je passe consciencieusement partout. Je n’ai pas envie de partir de cet appartement car je vais me retrouver seul, loin de ma divine Maîtresse.
Le départ du soumis toujours encagé
Hélas le moment fatidique approche. Je fais le tour des deux pièces. Tout est en ordre. Je me rhabille et je sors en disant un fort « au revoir Maitresse Ana, à bientôt ! ». Je claque la porte derrière moi. Le trajet en voiture est gêné par le corset qui me coupe le souffle. Je rentre chez moi. J’enlève mes habits d’homme pour rester en tenue de femme. Un sms arrive « tu vas bien ? Que fais-tu ? M.A. »
Je réponds à ma Maîtresse que je suis triste d’être si loin d’elle, que je suis en sous-vêtement à regarder la tv et que je lui souhaite une bonne soirée. La réponse arrive dans la foulée. Je lui manque aussi. Elle me dit que je ne suis qu’une salope, un soumis encagé, qui aime porter de la lingerie. Qu’elle aime l’idée de me savoir en simple tenue et que cela lui donne de belle perspective.
J ADORE VOTRE FACON DE RACONTER ĆETTE HISTOIRE QUI EST TRES BELLE,
plus j’avance dans vos récits , plus le désir de vivre cela est fort
Bonjour je souhaiterais parler de votre histoire avec vous afin d’en apprendre plus sur votre rechercher et la façon dont vous apprendre le monde Sm vous pouvez me contacter à cette adresse mail [email protected]
Quel histoire j’aimerai tellement rencontrer une domina comme la vôtre !