Envie d’être soumis à une femme
J’avais 20 ans à l’époque, j’étais un jeune homme brillant qui vivait la vie au jour le jour. Ainsi, je terminais mes études d’ingénieur dans l’informatique. Tout se passait bien pour moi. Cependant, au fond de moi, je savais qu’il me manquait quelque chose. En fait, je voulais réaliser mon fantasme le plus fort, celui être soumis à une femme. Je me suis alors inscrit sur Slave Selection dans l’espoir de rencontrer celle qui voudrait bien m’initier dans ce monde aux multiples facettes.
Après quelque temps, j’ai rencontré une femme qui se prénommait Aurélie. Je ne savais que peu de chose sur elle. Elle était ingénieuse en mécatronique et robotique et avait 25 ans. Après environ un mois d’échanges, elle me proposa de se rencontrer. Je l’invitai donc à dîner dans un restaurant chic de notre ville, ce qu’elle accepta immédiatement. La semaine se déroula normalement. Et puis vint le jour de notre rencontre, je trépignais d’impatience de la rencontrer. Je regardais ma montre tout le temps.
Une fois ma journée terminée, je rentrai chez moi à toute vitesse pour me préparer. Elle m’avait ordonné de porter un string et d’être complètement épilé. De plus, elle m’avait demandé aussi de ne pas prendre ma voiture. Sur le moment, j’avais trouvé cela étrange, mais elle devait avoir quelque chose en tête. Je suis parti avec une bonne heure d’avance pour ne pas arriver en retard. Ainsi, j’arrivai au restaurant avec un quart d’heure d’avance. J’avais réservé un salon privé pour que l’on soit plus tranquille. Après m’être installé, je me mis à l’attendre.
Apparition de Maîtresse Aurélie
Pendant, les quinze minutes d’attente qui me parurent une éternité, je me remémorais toutes nos conversations. De plus, je me demandais à quoi elle pouvait ressembler. Elle savait tout de moi et moi, je la connaissais à peine. Soudain, j’entendis des talons se rapprocher de plus en plus de moi. La voilà, c’était elle ! Elle était magnifique, vêtue d’un tailleur beige avec ses jambes gainées de soie et des escarpins noirs absolument magnifiques. Elle s’assit devant moi et commença la conversation :
– Bonsoir Chloé, à partir de maintenant, tu t’appelleras comme ça, dit-elle avec une voix douce et apaisante.
– Euh… D’accord, répondis-je en bredouillant.
– D’accord qui ? Dit-elle en haussant le ton.
-D’accord Maîtresse Aurélie
-Tu mériteras une correction pour cet affront, me dit-elle.
Nous fûmes interrompus par le serveur qui vint nous voir pour nous donner la carte. Elle choisit du saumon et moi une pièce de bœuf. Le repas se déroula normalement, elle me posa des tonnes de questions sur moi. Après avoir payé l’addition, elle me dit qu’elle voulait me prendre à l’essai tout le week-end. Je lui répondis que je serais honorée de la servir.
-Très bien me dit-elle, viens avec moi !
On sortit du restaurant et on se dirigea vers sa voiture. C’était une grosse berline américaine similaire à une Chrysler 300C. Une fois arrivée à sa voiture, elle se dirigea vers le coffre et l’ouvrit. Pendant ce temps, je me dirigeai vers la portière, côté passager.
-CHLOÉ ! Hurla-t-elle.
-Oui, répondis-je, tout penaud.
-Tu vas où ?
-Euh… Je…
-Je t’ai dit que tu serais puni, toute à l’heure. Aussi, tu feras le trajet dans le coffre, comme ça, tu ne verras pas où je t’emmène, me dit-elle, en rigolant.
Enfermé dans le coffre de la voiture
Son ton avait totalement changé. Elle était devenue plus autoritaire.
Cependant, elle me plaisait beaucoup. Elle m’attirait tellement que je me dirigeai tout de suite vers le coffre et montai dedans sans me poser de question. J’étais plié en quatre dans le coffre qui n’était pas très large. Je dois préciser que je mesure 1M95. Une fois en position, elle me regarda et me dit-elle sur un ton ironique.
-Profite bien du voyage !
Ensuite, elle ferma le coffre. J’étais plongé dans l’obscurité la plus totale. Je l’entendis s’éloigner puis je sentis la voiture démarrer. Le trajet dura une bonne demi-heure. Ma position était totalement inconfortable pour moi.
Soudain, je sentis que le moteur s’était coupé. J’entendis une portière se fermer puis le bruit de ses talons s’éloigner. Ensuite plus rien, je n’entendais plus aucun bruit. Je ne sais pas combien de temps je suis resté dans le coffre. Cependant, je commençai à avoir chaud et je me demandais dans quoi je m’étais embarqué. Puis soudain, je coffre s’ouvrit. Je fus, totalement, aveuglé par la lumière. J’étais resté trop longtemps dans le noir sans doute.
-Sors de là ! : Me dit-elle d’un ton sec et autoritaire.
À suivre…
Waw waw waw
vivement la suite
comme disez michel1 c’est dommage qu’il n’y a pas de « fin » dans les récits
Bonsoir bien mais un peu court et il y a plusieurs histoires sur dominamag sans suite.
Dommage.