Une charmante dominatrice et son ex-professeur (4)

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Une charmante dominatrice et son ex-professeur (3)

Les coups s’abattaient sur mon dos à une cadence effrénée, cette Maîtresse dominatrice y allait de toutes ses forces, sincèrement, pas l’once d’une retenue dans ses coups, elle s’en trouvait essoufflée et eut besoin de faire une pause.

Je l’entendis souffler et boire quelques gorgées …

Moi j’étais dans l’attente, je prenais un peu de repos aussi pour affronter la suite qui m’effrayait.

 

Reprise de la séance de torture

Maîtresse Dominatrice

Quand j’entendis le bruit de ses talons sur le sol se rapprocher de moi, je compris que la torture allait reprendre.

Effectivement, à peine arrivée derrière moi, ma Maîtresse dominatrice reprit le rythme. Le bruit du claquement des lanières du martinet sur ma peau était impressionnant, et après cette pause, il me semblait que Maîtresse avait plus de force encore. J’étais épuisé de serrer des dents, d’essayer de faire le vide dans ma tête pour être « étranger » à la douleur, pour ne pas y penser… Quelle épreuve !

Dans un dernier « han » de rage, Maîtresse s’arrêta enfin et me libéra.

Mon dos était brûlant et écarlate, heureusement les marques disparaîtraient les jours suivants.

Maîtresse me mit à 4 pattes, et alors que je m’apprêtais à la suivre « au pied », elle vint s’asseoir sur mon dos, et la laisse à la main, elle tira sur le collier, frappa mes cuisses avec ses talons, et dit

  • Allez, avance!

Mon dos me faisait mal mais j’avançai jusqu’au canapé, épuisé et humilié, transformé en cheval pour l’occasion.
Mais ma Maîtresse semblait insatiable !

Elle apporta sa chaise WC et m’intima l’ordre de m’allonger dessous. Aucun répit mais je m’allongeai et attendit, bouche ouverte. Elle s’assit confortablement et se lâcha sans attendre. Je bus aussi vite que possible et à ma grande
surprise, je bus absolument tout sans que cela ne déborde de ma bouche.

Je pensais qu’elle me libérerait pour que je la nettoie, mais c’était sans compter sur l’imagination vicieuse de ma Maîtresse qui se leva de sa chaise et me tira avec la laisse pour que je la suive aux WC.

Elle s’assit sur le siège des WC et me plaça devant elle, à genoux, tête baissée.

Utilisé comme WC humain par cette charmante dominatrice!

Je ne comprenais pas pourquoi nous étions là puisque je venais d’être utilisé comme WC, mais le bruit de ce qui tombait dans l’eau de la cuvette et son odeur étaient sans équivoque…

Puis Maîtresse se leva, se retourna et s’assit à l’envers sur le siège.

  • Nettoie ! Lèche mon cul !

Encore une épreuve, mais je devais y faire face sans rechigner, et quelque fut mon appréhension, l’odeur peu engageante, et la vue des traces bien sales, je m’approchai doucement et sortit timidement ma langue. Je léchai tout en goûtant le fruit de ses entrailles. Un goût âpre, fort, auquel je devrais m’habituer…

  • Allez, nettoie mieux que ça, lèche bien partout en appuyant, et enfonce ta langue, je veux être parfaitement propre sans utiliser de papier toilette, même à l’intérieur, car dorénavant, ta langue sera mon papier toilette.

Alors sans réfléchir, je me mis à la lécher goulûment, à enfoncer ma langue, en retirer des petits morceaux d’excréments, à les avaler, pour y retourner encore et encore jusqu’à ce qu’elle soit parfaitement propre. Ses « hum » m’encourageaient et je me surpassai.

Elle se leva enfin et quitta les lieux, me laissant là, en attente.

Elle revint et me dit

  • J’ai un grand miroir dans la chambre et je suis allé vérifier ton travail. Je suis parfaitement propre, bravo !
  • Merci Maîtresse!

Obligé d’uriner comme un chien!

Puis nous retournâmes dans le salon, mais j’avais moi aussi envie d’aller aux toilettes, alors je me souvins du code établi, et je me mis à aboyer deux fois successivement, sans timidité.

Elle se mit à sourire :

  • C’est bien mon chien, tu t’es souvenu du code ! Tu as envie de faire pipi ! Attends-moi !

Je pensais que j’allais pouvoir aller aux toilettes, même à quatre pattes ! Hélas non…

Maîtresse revint avec une cuvette.

  • Allez, lève la patte et pisse dans la cuvette !

Une fois de plus, j’étais submergé par la gêne… Mais je n’avais pas le choix, et j’avais très envie…

Alors je levai la patte mais mon sexe, lui, ne suivait pas le mouvement comme celui d’un chien, il pendait lamentablement le long de mon autre cuisse, mais je visai quand même la cuvette et parvins à me soulager.

  • Regarde-moi en pissant!

Rouge de honte, j’urinai comme un chien, patte levée, les yeux dans ceux de ma Maîtresse. Elle reprit la cuvette pour la vider puis alla se doucher.

En revenant de la salle d’eau, elle décida d’aller se coucher.

Séance de léchage des pieds de ma Maîtresse Dominatrice!

Elle m’emmena dans sa chambre, à quatre pattes et en laisse, comme toujours, et me montra ma couche : un matelas pas très épais à même le sol, à côté de son lit, un petit oreiller et une couette.

  • C’est là que tu vas dormir mon bon chien, je garderai ta laisse à proximité au cas où j’aurais besoin de toi pendant la nuit.

Ma Maîtresse dominatrice se déshabilla complètement, c’est la première fois que je la voyais toute nue, elle était tellement désirable…

J’allais m’allonger sur ma couche quand elle me retint et me fit monter sur le lit et sous sa couette, à ses pieds. Je me recroquevillais donc au bout du lit et elle commença à jouer avec ses pieds sur mon visage.

  • Lèche mes pieds, suce mes doigts de pieds, passe ta langue entre chacun de mes doigts de pieds!

Je le fis avec application pour lui montrer toute ma dévotion, d’autant plus que ses pieds sentaient bon, mais mes yeux avaient du mal à se détacher de la vue de son sexe, de son corps, ses seins, là un plus haut dans le lit, sous la couette, un bonheur inaccessible pour le soumis que j’étais.

Alors je continuais à lui lécher les pieds jusqu’à ce qu’elle me tape la joue avec l’un de ses pieds, plusieurs fois, comme si elle me giflait avec son pied. Puis elle vint me donner de petits coups de pieds dans les parties, tandis que son autre pied força ma bouche avec le gros orteil, et fit des va-et- vient dans ma bouche.

Couché par terre sur ma couche comme un bon chien pour la nuit!

 

Mon regard orienté vers le haut de son corps, je remarquai que ses doigts s’agitaient entre les lèvres de son sexe.

Plus elle me faisait sucer son orteil brutalement, plus elle se caressait rapidement.
Excité, je me mis moi-même à sucer son orteil profondément et rapidement, comme si je faisais une fellation, sans qu’elle ait à le bouger, cela dut lui plaire car j’entendis un gémissement et elle cessa de se caresser.

Bien sûr elle tira sur ma laisse et me sortit de son lit.

Je me couchai sagement par terre sur ma couche, encore tout excité et surtout frustré, mais heureux de lui appartenir.
Elle éteignit la lumière, me fit une petite tape amicale sur la tête et dit

  • bonne nuit mon chien, à moins que tu ne sois mon de pot de chambre cette nuit.

Maîtresse ne se réveilla pas cette nuit-là, et malgré l’inconfort de ma couche, je dormis comme un bébé jusqu’au matin où Maîtresse me leva pour m’attacher avec ma laisse dans un coin à un radiateur et m’ignora pendant son petit-déjeuner.

Après son petit déjeuner, cette charmante dominatrice déclara,

  • J’ai besoin de mon WC personnel ! File sous le siège !

Utilisé de nouveau comme WC humain!

Je m’allongeai sous le siège-toilettes et Maîtresse m’offrit à nouveau cette vue dont je ne me lassais pas…

Quelques gouttes d’urine perlèrent et je les recueillis avec plaisir car cela changeait des jets ininterrompus que je devais avaler comme un trou.

Mais je me mis à trembler comme une feuille lorsque son petit trou s’ouvrit pour laisser apparaître le fruit de ses entrailles sous forme d’un cylindre marron qui parut de plus en plus gros à fur et à mesure qu’il sortait.

C’était fascinant ! De toute ma vie je n’ai jamais connu une telle sensation.

C’est une situation absolument exceptionnelle, quand on se rend aux toilettes, on est seul, déféquer est la chose la plus intime qui soit, personne n’en est jamais témoin, pas même l’amoureux le plus cher! Alors vous imaginez le privilège ultime d’en être le témoin ?

 

Mais ce n’est pas tout, il y a ce contraste extraordinaire entre la beauté, la féminité, et ce qui en émane, laid, odorant, dégoûtant…
Etre le complice et soumis qui a la chance d’observer cet anus qui s’ouvre et qui laisse apparaître cette crotte qui vous est destinée, est un moment d’une ultime excitation que je recommande à quiconque voulant l’expérimenter, en tant que soumis, mais aussi en tant que dominatrice, mais il ne m’appartient pas de décrire l’immense plaisir qu’on doit ressentir en se soulageant dans une bouche… et imaginer sadiquement la difficulté de celui qui reçoit…

Ma Maîtresse est fière de moi!

Le caca de Maîtresse descendait doucement, j’ouvris ma bouche en grand et je reçus le morceau qui me remplit et que je ne me sentais absolument pas capable de manger.

Maîtresse fit durer le « déplaisir » et je gardai son caca dans ma bouche sans bouger un long moment, tandis qu’il se mélangeait à ma salive et m’obligeait à le goûter…

Puis elle se leva et en retira les ¾ qu’elle alla jeter aux toilettes.

Mais le quart restant était quand-même extrêmement difficile à gérer.

Elle mit un pied sur la chaise-WC et commença à se masturber, tout en donnant de l’autre main des claques sur le dossier de la chaise pour me motiver :

  • Allez, mange, dépêche-toi, rappelle-toi d’où ça vient, plus vite!

Je finis par m’habituer un tout petit peu au goût, à le mélanger à ma salive, et malgré quelques hauts le cœur et grimaces, je parvins à l’avaler… Quel soulagement quand ce fut terminé !

Maîtresse Elsa me montra sa satisfaction :

  • Tu as réussi, je suis fière de toi !

Ces simples mots me comblaient de joie et récompensaient tous mes efforts…

  • Allez, va te laver et rhabille-toi!

J’embrassai ma Maîtresse dominatrice sur les pieds et quitta les lieux comme si je quittai une autre planète !

 

A suivre

 

 

 

 

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1 réflexion au sujet de « Une charmante dominatrice et son ex-professeur (4) »

  1. Bonjour je m’appel Philippe. Pourriez vous m’indiquer ou pourrais-je trouver une tel dominatrice ? Merci d’avance. Philippe

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