Instructions pour la Sissy
Je m’appelle Jean Luc, membre de Slave Selection, et je vais vous raconter un récit BDSM sur un homme qui est devenu la sissy de sa femme. Cette histoire n’est pas encore la mienne, pour l’instant…
Ce matin, ma femme m’a laissé un mot, que j’ai trouvé à mon retour du travail. La maison était vide.
Elle avait écrit ceci : « Je t’ai laissé sur le lit des vêtements que je veux que tu portes quand je rentrerai vers 18h30. Je veux que tu prépares le dîner. Sache que nous ne serons pas seuls, je viendrais avec mon amant et une amie. De plus, je veux que la maison soit nickel, si c’est pas le cas gare à tes fesses ! »
Sur le lit, je trouvais un shorty, des boules de Geishas, une nuisette de nuit. Je les mis sans rechigner, car je savais ce qui arriverait si je ne le faisais pas, puis cela m’excitait aussi. Une fois les boules de geishas enfoncées dans mon anus, je ressentis une drôle de sensation. C’était la première fois que je devais m’enfoncer cet objet. Je ressentais à la fois de la gêne avec cette boule dans mon anus. Lors de mes déplacements, l’autre boule sur le haut de mes cuisses se cognait d’une jambe à l’autre.
Lorsque je passai devant la glace, j’étais confus et honteux de me voir ainsi. Je sentis une érection, mais je ne pus me branler puisse je devais porter une cage de chasteté, toute la journée.
Maîtresse avait instauré un subtil petit jeu. Ainsi, elle éprouvait un plaisir sadique à m’encager. Ensuite, elle demandait à ses amies de me téléphoner pour me raconter leurs petits plaisirs érotiques. Des fois, c’était elle qui appelait pour me dire à quel point j’étais un cocu heureux.
L’émotion était grande, surtout quand j’étais à mon travail. De plus, elle adorait me donner des détails salaces.
Arrivée des invités
Donc, je commençai le nettoyage de la maison et la préparation du repas, quand j’entendis la clé qui ouvrait la porte.
Je voulais me cacher, car je savais que les humiliations allaient pleuvoir.
Avant de rencontrer Anna, il y a deux mois, j’avais, toujours eu un comportement d’homme viril auprès des femmes. En deux mois, elle avait réussi à faire de moi son larbin, sa soubrette, et son objet sexuel. Le week-end dernier, elle avait pris plaisir à me transformer en Sissy devant ses amies. Je n’arrivais pas à lui résister car j’étais envoûté par ses charmes et sa beauté.
Ma femme fit les présentations. Comme je l’attendais, je fus la cible de moqueries bien pensées. J’étais honteux et troublé par cette situation et pourtant, je sentis en moi arriver une érection.
Elle me présenta en m’appelant Riquette, sa sissy. Les invités se mirent à rire et à glousser. Ensuite, elle m’ordonna de leur servir l’apéritif dans le salon puis de me déshabiller une fois que j’avais terminé.
Puis elle me donna l’ordre de me tenir sur les genoux en position debout et les mains derrière la tête. Je devais rester là à contempler, avidement, leurs ébats amoureux à trois. Cela était terriblement douloureux et gênant. Tout à coup, ma Maîtresse arriva près de moi et me regarda avec ses yeux doux et son joli sourire.
Présentation de la Sissy aux invités
Elle prit la clé du cadenas et me détacha de ma cage de chasteté. Ensuite, elle vient au plus près moi et me susurra à l’oreille avec son rire moqueur :
-profite bien du spectacle mon larbin adoré.
Je sentis leurs rires moqueurs. Irina me dit avec un grand sourire :
-tu as une belle petite bite larbin !
Arnaud et Anna rirent. Ma bite à peine détachée était au garde-à-vous !
La bite à Arnaud était énorme à côté de la mienne. Anna me regarda et surprit mon regard sur le sexe d’Arnaud. Alors elle me dit :
-elle est belle cette queue ? Viens ici encore plus près !
Jamais, je n’avais eu un sexe d’homme si près de mon visage. Anna suça Arnaud goulûment. Irina avait la tête enfouie dans le sexe d’Anna. Quel spectacle pour moi ! Voilà deux mois, que je suis encagé.
Quel sadisme et quelle cruauté, mais ils n’en avaient que faire de moi et ils se souciaient fort peu de moi. J’avais envie de me toucher, mais je sentais leurs regards sur moi.
La Sissy doit s’occuper d’Arnaud !
Maîtresse Anna s’adressa à moi :
-regarde ma petite Riquette ! Voici le programme, jusqu’à présent tu as été très obéissant ! Cependant, il y a une chose que tu n’as pas encore faite pour moi et ce soir cela va être ton baptême et demain tu auras une double ration…Tu devines quoi !!
-Non Maîtresse
-Comment ça ? Tu ne devines pas ? Tu es un bon soumis et une bonne soubrette, une Sissy parfaite. Comme je sais que cela ne t’est jamais arrivé, maintenant, je fais faire de toi un bon PD, une folle. Tu vas goûter la queue de mon amant. Je te veux une bonne suceuse et une belle enculée… Tu aimes en plus quand je te parle cru, alors profite ! Tu vas te régaler, cela va être ta fête ! Mon amie Irina, a un beau gode pour toi ! Aller vient et met toi à genoux ! Viens voir cette queue de plus prés !
Elle prit ma tête et me poussa vers Arnaud. Ensuite, elle m’ouvrit la bouche en grand et l’enfonça à fonds. Une profonde envie de vomir me vint. Irina était déjà derrière moi, son gode ceinture était énorme. Je le sentis rentrer en moi. Ainsi, j’étais assailli par ce morceau de plastique en moi et cette queue immense dans ma bouche.
-lèche avec ta langue ! : m’intima Maîtresse Anna. Applique toi PD, suce bien notre invité ! Je veux le voir te cracher dessus, sur ta gueule de PD, salope que tu es.
Le dîner
Au bout d’un moment, je me rendis compte que je prenais goût à ce membre dans ma bouche. Ainsi, j’utilisais ma langue pour lui sucer correctement le prépuce. Maîtresse était conquise par ce spectacle, Irina accélérait ses va-et-vient. Je m’en pouvais plus, alors Maîtresse s’approcha de moi et me dit d’un ton sadique :
-je t’interdis de jouir salope ! Ta semence m’appartient et je suis la seule à avoir le droit de te soulager ! tu as compris chienne !
Elle me cracha en plein visage en même temps qu’Arnaud. J’avais plein de sperme sur ma figure.
-Bon maintenant, tu nous sers le dîner, mais toi, tu restes ainsi, interdiction pédale de te laver la gueule compris !
Je leur servis le repas sous les rires, les moqueries et les humiliations en tout genre. Arnaud me regarda et me dit :
-prépare ton cul PD !
Irina dit aussi :
-cette salope aime ça ! N’est ce pas gros con !
Puis ils se mirent à parler à voix basse, pour que je ne puisse ne pas entendre. Des regards se tournèrent vers moi. J’étais honteux, ma queue était de nouveau tendue. Je crois que c’est cela qui les intriguait le plus, me voir ainsi humilié, et en même temps excité.
Le sperme maintenant coulait sur mon torse. Je voulus l’essuyer, mais Maîtresse me lança un regard qui voulait tout dire.
Les invités s’amusent !
Puis une fois le repas terminé, ce fut encore de long ébats amoureux entre eux. Moi, j’étais toujours à genoux et en admiration devant la queue d’Arnaud. Irina me regarda et Maîtresse aussi.
Les mots de ma Maîtresse étaient souvent au féminin. Je n’avais pas le droit de parler aussi, souvent elle me sifflait. Son jouet à elle était, un plug anal en forme de queue de chien. Affublé de la sorte, cela me rabaissait à ce que j’étais devenu, une soubrette. Je fus blessé dans un premier temps, mais maintenant, j’étais dans l’acceptation de cette soumission. Ma Maîtresse était belle et je prenais du plaisir à la voir heureuse.
Je m’inquiétais quand même, je n’avais jamais eu de rapport homosexuel. Je souhaitais quand même le dire que je ne voulais pas aller plus loin. Pourtant aussi étrange que cela pouvait paraitre, je prenais un certain plaisir avec cette queue dans ma bouche. Puis aussi que voulait-elle dire que demain, j’aurai une double ration ? Non c’était ok pour ce soir, mais je ne voulais pas plus….
Je sentis le regard d’Arnaud, Irina et Maîtresse sur moi. Ils semblaient heureux de cette situation. La queue d’Arnaud mesurait au moins 20 cm et je ne voulais pas me faire enculer !
Trop tard !
Quand j’essayai de le dire, je bredouillai, et des rires moqueurs éclatèrent.
Au tour de la Sissy !
De nouveau, je sentis les 1,90 mètres de muscles d’Arnaud sur moi. Je ne pouvais lutter plus longtemps. Anna et Irina me tenaient. Je sentis la queue d’Arnaud sur la rondelle de mon anus. Irina avait bien écarté ma rondelle, donc la queue d’Arnaud rentra facilement. Il commença de long va-et-vient, vite ma queue à moi se dressa.
Devant ce spectacle, Anna et Irina étaient aux anges. Vinrent de petits râles de ma bouche. J’entendis Anna et Irina qui disaient, mais «elle aime ça cette salope de tapette»
Et Maîtresse demanda à Irina de rester car demain, elle avait prévu un beau programme. Elle ajouta qu’il y allait avoir de la bite en action, en rigolant de moi…
Le plaisir sadique de ces dames était de me caresser le sexe pour m’exciter encore plus tout en m’interdisant de jouir. Le va-et-vient d’Arnaud était de plus en plus intense et rentrait en moi en profondeur. Cela déclencha un plaisir complètement fou.
Dans chaque oreille, j’entendais des petits mots bien humiliants de ces dames.
Je ne sais combien de temps cela dura, le temps s’était arrêté. Quand je sentis un jet bien chaud me remplir mon petit cul, un cri sortit de ma bouche.
A peine terminé, je fus retourné sur le dos et ces dames me tordirent le sexe dans tous les sens. Ensuite, elles me posèrent de la glace dessus, je débandais vite. De
suite, je fus de nouveau encagé. J’aurais voulu jouir et je demandais et suppliais, mais rien ne les fit changer d’avis.
-Voilà maintenant, file débarrasser la table et prépare nous un café !
J’obéis, mais de suite, je pensais à ce qu’allait être cette nuit et demain…. ?
La suite au prochain épisode.
J’aime bien avoir un mari lopette
J’adore cette histoire
Radia
J’ai mis un autre récit en ligne pour vous plaire !
je suis a soumettre
Bonjour Madame Radia Jounoun. Je ne suis qu’un simple esclave qui aimerait énormément devenir votre mari lopette si vous le désirez.
Pas le lieu pour cela.
vous avez trouve ce mari soums-e?
bonjour mes DAMES quel chance elle a cette lopette de ce faire enculer par l amant de sa femme chez lui
Moi je suis une dominatrice
Moi une lopette, quelle âge avez vous maîtresse