Vie quotidienne d’un mari soumis
Ce week-end à la campagne ne fut donc pas des plus reposants pour Laurent, mari soumis. Le dernier soir la patronne avait été particulièrement déchaînée et il avait pris cher, payant pour ses années de disette sexuelle.
Même Samia et Zaïa s’en étaient sans doute rendu compte car elles décidèrent de le laisser souffler un peu pendant une semaine. Il ne fut pas débarrassé des tâches domestiques au quotidien et de son devoir d’obéissance permanent, mais sur le plan sexuel, ce fut le calme plat. Puis après cette semaine, les sodomies reprirent, que ce soit par sa femme ou par sa maîtresse à qui il était confié régulièrement. Une semaine puis une autre passèrent. Il resta un bon mois sans jouir. Prisonnier de sa cage de chasteté, Laurent, mari soumis, recommençait à être très en manque de jouissance, mais ce n’était pas à lui d’en décider.
Préparation de l’anniversaire du mari soumis !
Sa femme et sa maîtresse se voyaient régulièrement, et étaient de plus en plus complices. Leur dernière conversation à une terrasse de café peu fréquentée, avait porté sur un sujet d’actualité. Samia avait évoqué l’anniversaire de Laurent qui approchait :
-Il faut que je trouve quelque chose d’original pour fêter son anniversaire, avait dit Samia. Son premier en tant que soumis.
-Tu as pensé à quoi ? l’avait interrogée Zaïa, toujours curieuse et très impliquée.
-J’ai mon petit scénario en tête. Mais peut-être voudrais-tu participer ?
-Non, je préfère rester en retrait sur cet événement. Mais je suis très impatiente d’entendre tes idées.
-Alors voilà, je pensais l’inviter au restaurant à midi, un truc classique mais avec une approche originale de maîtresse à esclave. Ainsi, je l’obligerais à porter des dessous féminins sous son jean et son pull ainsi qu’un collier marquant son appartenance ! Ce serait à lui de se débrouiller comme il peut pour que personne ne voit son collier dépasser du pull ni son soutien-gorge pointer dessous, ou encore ses bas résille à la place des chaussettes.
Pas facile, d’autant qu’il devrait aussi garder pendant tout le repas le plug que je lui aurais introduit dans le cul avant de sortir. Et la cage de chasteté dont je ne l’aurais toujours pas libéré à ce stade mais dont j’afficherais la clé ostensiblement autour de mon cou. Sur place, je choisirais ses plats et continuerais à le mettre sous tension pendant tout le repas. Ensuite je le ramènerais à la maison pour le dominer à ma guise et sans retenue pendant l’après-midi, me lâchant totalement. Enfin, je sortirais le faire cocu en soirée. Et au retour, la surprise de la chef !
-Ah oui, bien beau programme !
Conversation entre la femme et la maîtresse du mari soumis !
Zaïa appréciait visiblement les initiatives de son amie.
-Je pense que toute cette mise en scène est importante pour cimenter un peu plus notre nouvelle relation de couple. Et quoi de mieux que son anniversaire pour lui ôter toute illusion sur le fait que cela puisse changer un jour. Soumis à moi il est devenu, soumis à moi il restera.
-Soumis à nous, corrigea Zaïa en rigolant.
-Bien évidemment, comment pourrais-je oublier ton rôle prépondérant dans notre nouvelle relation, ma chère complice.
-J’aime la façon dont tu as pris les choses en main, ajouta Zaïa, fort satisfaite de l’évolution spectaculaire de Samia.
-J’avoue que je n’aurais jamais cru aller aussi loin. C’est grâce à toi.
-Ne te sous-estime pas, tu avais le potentiel, et ton mari était l’homme idéal pour le révéler.
-Et on peut dire que pour pallier mon inexpérience, tu l’as bien éduqué, tu es une maîtresse exceptionnelle !
-Oui je pense qu’on a fait de lui un excellent esclave, pour notre plus grand plaisir.
-Parfois, mais de moins en moins je te rassure Zaïa, je me suis demandée si nous n’allons pas un peu trop loin ou trop vite avec lui.
Mari soumis aimant être dominé !
-Aucun danger, crois-en ma longue expérience de maîtresse, ton mari n’attend que ça, être dominé. Il ne te le dira peut-être pas mais je t’assure que la moindre inflexion de nos voix le tétanise. On le commande à la parole. Le fouet et la cravache c’est plus pour notre plaisir personnel que par absolue nécessité. Et puis ton mari soumis n’a pas oublié la première correction que je lui ai infligée, elle est gravée dans sa tête et dans ses chairs à jamais. Je me suis déchaîné sur lui comme rarement, le genre de choses qui marque, et qui ne marque pas seulement son joli petit cul.
-Tu as surement raison, mes doutes sont déplacés.
-C’est bien pour les lever définitivement qu’on lui a fait tatouer par une de mes amies « j’appartiens à Samia » sur la fesse droite et « j’appartiens à Zaïa » sur la fesse gauche ! Alors pose-toi la seule bonne question : tu voudrais revenir en arrière ?
-Ah non, certainement pas ! J’y ai trop pris goût !
-Crois-moi, c’est la même chose pour ton mari, il aime ça. Chaque jour nous peaufinons son éducation, nous intensifions son dressage, cela fait déjà un moment qu’il ne s’appartient plus. Dès le début où tu me l’as confié je n’ai rien laissé passer. C’est ça le secret. La moindre erreur ou imperfection dans l’exécution de mes ordres, et la sanction tombe. Une punition graduée en fonction de la gravité de la faute, mais une punition de toute façon. Le cerveau prédisposé d’un mari soumis imprime vite avec ce genre de traitement.
Mari soumis docile !
-Tu sais que j’aime beaucoup quand tu corriges mon mari, ça m’excite moi aussi.
-Et moi quand tu prends des initiatives. Alors continue, ose, impose, tu verras que tu obtiendras toujours plus de lui que tu imagines. Et tu sais que si un jour il te déçoit, maîtresse Zaïa sera là pour le remettre dans le droit chemin à grands coups de fouet…
Les deux femmes étaient de plus en plus excitées par leur conversation. Les attitudes corporelles le montraient tout autant que les propos échangés. Samia reprit la parole :
-Zaïa, mon mari m’a avoué te craindre beaucoup et avoir senti ton emprise totale sur lui avant même que tu commences son dressage, rien qu’à ton premier regard posé sur lui.
-C’est capital. Et puis ensuite, en matière d’élevage de lopes, je ne laisse rien passer. Tous mes soumis le savent, dit Zaïa, sûre d’elle-même et avec une visible satisfaction. Je suis une maîtresse juste mais impitoyable. Pour ton mari il y a des choses qui se ressentent immédiatement, je détecte les lopes soumises bien avant qu’elles expriment leurs penchants. Mais pour chaque homme qui se croît près à servir une femme et à la vénérer, il y a un gros travail à faire car il reste toujours un petit reste de « souminateur » en lui. C’est ça qu’il faut briser dès le départ en étant intraitable. Je l’ai fait avec ton mari, et il a suffi d’une première mais au combien extrême punition au fouet pour le rendre aussi docile qu’un agneau.
Mari soumis cravaché uniquement par plaisir !
Ceci étant il en va de la soumission comme de la vaccination, un petit rappel épisodique est nécessaire. C’est pour ça que je corrige tous mes soumis régulièrement au fouet, et avec férocité. Après ça j’en fais ce que je veux pendant des mois. Et quand je sens que l’effet de mes châtiments corporels passe un peu, je recommence. Avec le souvenir encore vivace qu’ils ont de leur première fois entre mes mains, crois-moi que la piqure de rappel est plus qu’efficace ! Et comme en plus j’aime fouetter les hommes, je me fais plaisir en plus. Ton mari n’a pas toujours compris pourquoi je le fouettais, mais certain qu’il était de la supériorité de sa maîtresse il en a forcément déduit qu’il avait commis une faute et de fait essayait ensuite d’être encore plus appliqué et obéissant.
Samia avoua à Zaïa qu’elle avait déjà cravaché son mari uniquement pour le plaisir elle aussi, sans raison objective.
-Où est le mal ? Répondit Zaïa. Une maîtresse n’a pas à se justifier. Elle exerce ses pleins pouvoirs sur son esclave, c’est tout. Il est même bon pour lui de savoir qu’il peut subir une correction pour le simple plaisir de sa maîtresse. C’est un honneur pour lui qui n’est rien de rendre ce service à celle qui est tout pour lui. Il doit te mettre sur un trône, et tu dois le rabaisser constamment.
L’épouse a un amant régulier !
Les deux femmes continuèrent tranquillement leur conversation, pas pressées de se quitter, les cafés s’accumulaient sur la table. Quand on a goûté à la supériorité féminine et à la domination de l’homme par la femme, on pourrait en parler pendant des heures, ce qu’elles firent. Les consommateurs sur les tables autour étaient surement à mille lieux d’imaginer la teneur de leur discussion. Samia en profita pour informer Zaïa d’un fait nouveau dans sa vie :
-Au fait, sais-tu que j’ai pris un amant régulier ?
-Je m’en doutais un peu, à voir ta mine radieuse. Félicitations ma chérie !
Zaïa était réjouie pour son amie.
-J’ai l’impression de prendre mon pied doublement. D’habitude, cela doit rester secret ce genre de choses et c’est parfois compliqué à gérer au quotidien. Moi, en admettant même que Laurent me demande poliment et respectueusement où j’étais tel ou tel soir, ou à tel moment de la journée, j’ai juste à lui répondre : « je te faisais cocu ma lope d’amour. » Et en plus je sais pour lui avoir touché le sexe au moment de prononcer cette phrase que ça le fait terriblement bander. Du coup des fois, je lui raconte.
-Vraiment, ta salope de mari mérite bien tout ce que nous lui faisons subir. Alors, ne te prive de rien.
-C’est ce que je fais maintenant. Et un peu plus chaque jour. c’est pour ça que je vais le faire cocu lors de son anniversaire, sauf qu’au lieu de lui raconter, cette fois je vais lui faire voir…
-Tu me diras comment tu as géré son anniversaire, j’ai hâte.
-Sans faute Zaïa.
Elles prirent congé l’une de l’autre. Quelques jours plus tard, ce fut l’anniversaire de Laurent. Sa fête serait plus exact…
A SUIVRE…
Cette histoire est bandante du début à la fin.
Qu’est ce que j’aimerais être à la place du héros…..
Bravo, et écrivez nous un bel anniversaire !
Merci Jules.
l’anniversaire est écrit et envoyé, bientôt publié j’espère…