Comment je suis devenu l’objet de ma voisine dominatrice

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Aujourd’hui je vais vous raconter comment je suis devenu l’objet de ma voisine dominatrice à seulement 18ans

J’ai toujours été fasciné par le BDSM. Depuis mon adolescence, je regardais des vidéos, lisais des articles sur le sujet, m’imprégnant de cet univers interdit qui éveillait en moi une excitation incontrôlable. Mais jamais je n’avais osé franchir le pas. Jusqu’à ce que ma vie bascule d’une manière que je n’aurais jamais imaginée.

Ma jolie voisine

voisine dominatrice

J’ai 18 ans et, il y a maintenant deux mois, j’ai quitté ma ville natale pour emménager à Paris afin de poursuivre mes études. Tout était nouveau pour moi : la ville, l’indépendance, les responsabilités. Je vivais dans un immeuble ancien, au dernier étage, où seuls deux appartements étaient occupés : le mien et celui d’une femme dans la trentaine.

Dès mon emménagement, nous avons commencé à sympathiser. C’était une femme magnifique : blanche, blonde, fine mais avec des formes généreuses. Elle avait de gros seins, des fesses rebondies et des jambes élancées qui lui donnaient une allure à la fois élégante et sensuelle. Mais ce qui me marquait le plus, c’étaient ses pieds. Parfaitement entretenus, toujours vernis d’un rouge éclatant, ils dégageaient une étrange fascination en moi.

 

Elle était toujours très gentille avec moi, presque maternelle. Nous passions de plus en plus de temps ensemble. Chez elle, on discutait de tout et de rien. Elle me parlait de la ville, me donnait des conseils pour m’adapter, m’invitait à dîner chez elle. Une complicité naquit entre nous, comme une relation entre une mère et son fils, mais avec une tension sous-jacente que je ne comprenais pas encore totalement.

Un détail me troublait cependant. Dans son appartement, il y avait toujours une porte fermée. J’avais fini par lui demander ce qu’il y avait derrière.

  • Oh, ce n’est rien, juste un vieux débarras, m’avait-elle répondu en haussant les épaules. Rien d’intéressant.

Son ton était détendu, mais j’avais perçu un léger trouble dans son regard. Comme si elle cachait quelque chose. Mais je n’avais pas insisté.

Découverte de la pièce secrète dans l’appartement de ma voisine

Un jour, elle me demanda de l’aide pour monter un meuble IKEA pendant qu’elle partait faire des courses. J’acceptai volontiers. Une fois seul dans l’appartement, je cherchai un tournevis, fouillant dans les tiroirs et les placards. Mais je n’en trouvai pas.

Puis mon regard se posa sur la fameuse porte. Mon cœur battit plus fort. Peut-être y avait-il une boîte à outils à l’intérieur ? Après tout, ce n’était qu’un débarras, n’est-ce pas ?

La curiosité fut plus forte que moi. Je tournai la poignée. La porte s’ouvrit sur une pièce que je n’aurais jamais pu imaginer, une immense chambre BDSM.

Un grand lit en métal trônait au centre, encadré de menottes et de cordes accrochées aux montants. Une croix de Saint-André était fixée au mur, ainsi qu’une collection impressionnante de fouets, martinets et autres instruments de soumission. Une table étrange avec un trou au niveau du pénis attira mon attention. Un grand placard en verre révélait des étagères remplies de jouets sexuels, de talons aiguilles et de tenues de dominatrice en cuir et en latex.

J’en eus le souffle coupé. Mon corps entier frissonna.
C’était donc ça, son secret.

  • Qu’est-ce que tu fais ici ?

Sa voix résonna derrière moi. Je sursautai.

Je me retournai lentement. Elle était là, debout dans l’encadrement de la porte, son regard plongé dans le mien. Je vis son expression osciller entre la surprise, la gêne et une pointe d’amusement.

  • Je… je cherchais un tournevis… balbutiai-je.

Un silence s’installa. Puis elle soupira et me fit signe de la suivre dans le salon.

Conversation très intime avec ma jolie voisine

Nous nous assîmes face à face. Elle croisa les jambes, me fixa un instant avant de prendre la parole.

  • Écoute… Je vais être honnête avec toi. Je suis une dominatrice sur un site BDSM. J’ai cette pièce pour mes séances…Mais personne ne devait la voir.

Je ne savais pas quoi répondre. Mon esprit était en ébullition.

  • Tu vas me juger ? demanda-t-elle, un sourire en coin.

 

  • Non, répondis-je rapidement. Au contraire…

Elle haussa un sourcil.

  • Au contraire?

Je pris une grande inspiration. Il était temps d’être honnête.

  • J’ai toujours été attiré par le BDSM. J’ai regardé des vidéos, lu des articles… Mais je n’ai jamais osé passer à l’acte.

Elle me scruta un long moment, comme si elle cherchait à lire en moi. Puis elle sourit.

  • Alors tu veux essayer ?

Mon cœur s’emballa.

  • Oui…

Elle se leva lentement et s’approcha de moi. Son parfum m’enivra.

  • Tu es sûr ? Ce monde n’est pas fait pour tout le monde. Une fois que tu y entres, il est difficile d’en sortir…

Je soutins son regard.

  • J’en ai envie.

Un silence électrique s’installa. Puis elle murmura :

  • Très bien. Suis moi!

L’initiation au BDSM avec ma voisine dominatrice

Elle m’entraîna dans la chambre interdite. Cette fois, je n’étais pas un intrus. J’étais un invité.

Elle me demanda d’enlever mes vêtements. Mon cœur battait à tout rompre, mais j’obéis.

  • À partir de maintenant, tu n’es plus qu’un objet, me dit-elle d’une voix douce mais ferme. Tu es à moi. Tu n’as plus de volonté propre. Tu n’existes que pour me servir. Est-ce bien clair ?

 

  • Oui… Maîtresse.

Elle sourit.

  • Parfait.

Ce fut le début de ma nouvelle vie.

Lorsque je prononçai ces mots – « Oui, Maîtresse. » – un frisson parcourut mon corps. C’était la première fois que j’abandonnais mon libre arbitre à quelqu’un d’autre. Elle me fixa un instant, un sourire énigmatique aux lèvres, avant de me caresser doucement le menton du bout des doigts.

  • Tu ne réalises pas encore ce que cela signifie, mais tu vas l’apprendre.

Elle se leva et fit lentement le tour de la pièce. Je me tenais là, nu, vulnérable, mon cœur battant à tout rompre. Elle ouvrit une armoire et en sortit un collier en cuir noir avec un anneau en métal au centre.

  • À genoux!

Sans réfléchir, je tombai sur mes genoux devant elle. Elle passa lentement le collier autour de mon cou et serra la boucle.

  • Désormais, tu n’as plus de nom. Ce collier signifie que tu es à moi. Tu n’es plus un homme, tu es mon objet.

 

Un mélange de peur et d’excitation monta en moi. Je sentais que je venais de franchir une frontière invisible, que je n’étais plus totalement maître de moi-même.

Elle s’assit sur le lit, croisa ses jambes et me regarda avec intensité.

  • Dis-moi, pourquoi es-tu ici ?

 

  • Pour vous servir, Maîtresse.

Elle sourit.

  • Bien. Maintenant, prouve-le!

 

La Discipline et les premières épreuves lors de mon éducation…

Les premiers jours furent une série d’épreuves destinées à me briser, à m’arracher toute volonté propre pour ne laisser qu’un corps au service de sa Maîtresse.

Tout d’abord, elle m’imposa un rituel quotidien. Dès mon réveil, je devais me présenter devant elle, entièrement nu, à genoux, la tête baissée. Je devais l’attendre, sans bouger, jusqu’à ce qu’elle décide de me reconnaître.

  • Un bon objet doit savoir patienter.

Les premières fois, l’attente était insupportable. Parfois, elle me laissait là une heure entière avant de venir me voir. Je devais rester immobile, le dos droit, les mains posées sur mes cuisses. Le moindre mouvement involontaire était sanctionné.

  • Tu n’as plus le droit de bouger sans mon autorisation.

Les punitions étaient variées. Si je bronchais, elle me forçait à tenir des positions douloureuses, à recevoir des fessées au martinet, ou même à embrasser le sol en signe de soumission.

Mais le pire n’était pas la douleur.

Le pire était l’humiliation.

  • Un objet ne parle pas sans permission.

Si je faisais l’erreur de parler sans qu’elle ne me l’ait ordonné, elle m’ignorait pendant des heures, me privant de toute reconnaissance. Petit à petit, je compris que mon existence dépendait entièrement de l’attention de ma voisine dominatrice.

…pour devenir son esclave, son objet sexuel!

Un mois après mon initiation, je n’étais plus le même homme.

Je ne réfléchissais plus en termes de « moi » ou « je ». Mon corps ne m’appartenait plus. Mon esprit était entièrement tourné vers elle.
Chaque matin, mon premier réflexe était de me demander : « Que veut-elle aujourd’hui ? »

Elle avait instauré des codes stricts. Ainsi, je ne pouvais plus la regarder dans les yeux sans autorisation. Je ne pouvais pas parler sans qu’elle ne m’y invite. De plus, je devais toujours être prêt à exécuter ses ordres.

Elle me força à porter un masque de cuir pendant des heures pour que je cesse de voir le monde autrement qu’à travers elle. Privé de vision, je ne pouvais que ressentir. Son toucher. Son odeur. Sa présence.

  • Les objets n’ont pas d’identité propre.

Un jour, elle me mena dans la salle BDSM et m’attacha à une table. Elle caressa lentement mon dos avant de murmurer :

  • Tu es une page blanche, et je vais écrire mon désir sur toi.

Ce jour-là, je compris que je n’étais plus une personne. J’étais devenu un esclave mental, une extension de sa volonté.

Ma seule raison de vivre : ma voisine dominatrice

voisine dominatrice

Quand on me demandait autrefois ce que je désirais dans la vie, j’avais des rêves. Des ambitions.
Aujourd’hui, il n’y avait qu’une seule réponse.
Elle.
Ma seule raison d’être était de satisfaire ses désirs.

Je passais des heures à masser ses pieds, à embrasser ses talons, à nettoyer chaque centimètre de son corps si elle le désirait. Lorsqu’elle s’asseyait sur son trône, je devais rester à genoux à ses pieds, prêt à exécuter la moindre de ses volontés.

  • Que ressens-tu ? » me demanda-t-elle un jour en caressant ma tête.

 

  • Du bonheur, Maîtresse.

Elle sourit.

  • C’est ainsi que doit vivre un bon objet.

J’en vins à l’adorer comme une déesse. Chaque souffle qu’elle prenait, chaque mouvement de son corps était une bénédiction.
Ma seule crainte ? Qu’elle se lasse de moi.
Alors, chaque jour, je me surpassais pour être un meilleur objet.

Il y a quelques mois, j’étais un jeune homme normal. Aujourd’hui, je ne suis plus rien d’autre qu’un esclave comblé.
Le monde extérieur n’existe plus. Seule Maîtresse, ma voisine dominatrice compte.

Et je souhaite à chaque homme de connaître le bonheur absolu d’être brisé et reconstruit selon le désir d’une femme.
Je vivrai et mourrai pour elle.

Fin.

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