Mon épouse se réveilla une heure plus tard, me donna un baiser sans rien dire et se leva pour aller prendre une douche. Je me levai peu après et me dirigeai vers la salle de bain.
Elle était sous la douche, resplendissante.
Ma queue durcit de nouveau.
Sous la Douche : Plaisirs Brutaux et Ordres Exigeants
Elle rit en la voyant.
- Il va falloir la soulager cette pauvre petite!, dit-elle en frottant ses seins superbes. Tu peux le faire devant moi si tu veux, ce serait amusant!
Son air malicieux en disait long, elle avait envie que je me branle devant elle. A cet instant, je n’imaginais pas que nous prenions encore un chemin particulier. Je n’avais pas de raison de refuser. Aussi, je commençai à branler cette queue, avide de cracher après ces ébats furieux.
A peine avais-je commencé qu’elle déplaça sa main de son sein vers sa chatte et commença, elle aussi, à se caresser. Ensuite, elle m’interpela de nouveau, en coupant l’eau de la douche.
- Viens te mettre à genoux devant moi et lèche moi en te masturbant !
Je m’approchai, m’agenouillai, et ma langue adora son clitoris tandis que ma main s’affairait sur ma queue.
- Et ne crache pas avant que j’aie pu jouir !
Ainsi, je ralentis ma masturbation, déjà sur le point de jouir tant le goût de sa chatte me remplissait de désir. Je la mangeais avec avidité, en pleine bouche, conscient de l’absence de douceur, ayant vécu son brutal assaut. Ainsi, je m’appliquais à lui donner aussi la brutalité qu’elle semblait aimer.
De fait, elle jouit rapidement, inondant encore mon visage et déclenchant enfin ma propre jouissance. Je giclai dans la douche. Un peu de sperme coula sur sa jambe et ses pieds.
Elle reprit rapidement ses esprits.
- Ne laisse pas ta semence souiller mon corps ! lèche là !
Le ton se voulait amusant, mais le râle avec lequel elle exprima cette volonté n’avait rien d‘amusant.
Obéissance Absolue : Une Leçon de Discipline dans la Salle de Bain
Il s’agissait d’un ordre pur, bestial, comme commandé par son sexe qui me pénétra jusque l’âme. Sans même que je décide quoi que ce soit, ma langue déjà léchait sa jambe et ses pieds. Elle poussa un long soupir. Je sentis que son corps à nouveau se contractait, elle venait de jouir à nouveau.
Elle se tourna sans un mot, puis elle se doucha, tandis que je me relevais.
Je pris la serviette et lorsqu’elle sortit de la douche, je commençai à la sécher doucement. Elle se laissa faire.
Ensuite, elle me prit la serviette et m’invita à me doucher moi-même. Elle sortit de la salle de bain mais lança juste avant de sortir :
- Range et nettoie tout avant de sortir. La salle de bain, comme les toilettes, doivent toujours être impeccables.
Il n’y avait pas trace de sourire sur son visage, mais une étrange lueur dans son regard qui me rappela ce côté bestial que je découvrais en elle depuis peu.
Je pris ma douche et rangeai tout ce que je voyais, nettoyant comme je pouvais.
Elle revint alors que je finissais, vêtue juste d’une nuisette affolante et jeta un œil circulaire dans la salle de bain.
- Ce n’est pas une salle de bain, ça ressemble à une porcherie. Douche et lavabo doivent être nettoyés avec cette éponge et ce produit, lavés, puis rincés, puis séchés avec l’éponge très essorée. Le linge qui traine doit être dans cette corbeille. Les serviettes doivent être pliées, pas jetées n’importe comment. Le miroir doit être lavé à l’eau très chaude puis séché avec ce microfibre qu’il faut ensuite rincer à l’eau brulante et étendre. Enfin le sol doit être lavé avec cette serpillère et ce produit. Lavé à l’eau très chaude, deux fois puis rincé en ayant changé l’eau, puis séché au maximum avec la serpillère très essorée pour éviter les traces. Et le tout à quatre pattes, ça va plus vite et c’est mieux fait qu’avec un balai ! Tu fais tout ça maintenant et je repasse dans 30 minutes.
Avant même que je puisse réagir, elle avait disparu.
Premiers Pas d’un Soumis : Discipline et Punition sous Son Regard
Je n’étais pas sûr d’avoir tout enregistré tant elle m’avait surpris. Ma nouvelle vie de soumis commençait, avec jouissances superbes et corvées réelles. Ainsi, je commençai par la douche, le lavabo, puis le linge, les serviettes, le miroir. Je m’apprêtai à frotter le sol à quatre pattes lorsque son visage apparut dans l’encadrement de la porte.
- Je t’ai laissé 40 minutes mais ce n’est pas encore assez… si encore c’était bien fait !! Regarde les traces sur la paroi de douche, sur le miroir et les serviettes, plier ne veut pas dire empiler, sinon ça ne sèche pas ! Sers-toi quand même un peu de ton cerveau ! Recommence ! Tout !
Ces derniers mots étaient lancés avec cette voix rauque que je reconnaissais maintenant, celle d’une femme qui est excitée par son pouvoir !
- Je te laisse de nouveau 20 minutes, ça devrait aller plus vite. Il y a moins à faire. Dans tous les cas, je veux te faire comprendre que mes instructions doivent être écoutées et respectées. Tu seras donc puni. Si dans 20 minutes, j’ai encore quelque chose à dire, la punition sera doublée. Crois-moi, tu vas comprendre que je ne plaisante pas !
Son regard brulant me pénétra, et me glaça. Je savais que son sexe était détrempé, ses seins gonflaient, ses mains tremblaient un peu. Je sentis que ces mots la transportaient au bord de la jouissance. Elle savait que j’acceptais les termes de notre accord et que je subirais la punition qu’elle m’infligerait. Je savais que cette punition serait très douloureuse. Et pourtant, je la regardais avec un profond respect, une admiration indéfectible et je ne trouvais rien d’autre à dire que « Merci ».
Ce simple mot la sortit de sa transe. Elle cligna des yeux, me sourit et me lança
- Dépêche-toi!
Châtiment d’un Soumis : La Cuillère de Bois et Son Emprise
Je m’activai et recommençais tout, à l’affût de la moindre trace.
Je finissais le sol lorsqu’elle revint.
- Bien, c’est mieux. Pas parfait, mais mieux. Tu n’auras donc qu’une punition simple pour que tu te souviennes de bien écouter quand je parle et de t’appliquer à faire ce que je demande ! Suis-moi petit soumis!
J’étais à quatre pattes, toujours nu, la serpillère encore à la main que je déposais dans le sceau. Sur l’instant, je faillis la suivre à quatre pattes mais je me relevais et la suivais debout.
Dans la cuisine, elle me fit face.
- Mets-toi derrière la chaise et penche toi en avant, prend les bords de la chaise avec les mains et ne la lâche pas. Je ne veux pas entendre de cris, j’ai horreur de ça. Tu peux gémir, geindre, pleurer si tu veux, mais pas crier !!
Elle prit une cuillère en bois, la tint par la partie plate, utilisant la queue longue et fine sur moi.
Le premier coup m’atteint au milieu des fesses. Je fus surpris par la douleur instantanée et la force du coup. Je laissais échapper mon souffle et plissais les yeux, espérant retenir les larmes qui me venaient presqu’immédiatement. Elle attendit quelques secondes et envoya un second coup qui me prit à la base des fesses, irradiant dans mes jambes ! j’expulsais à nouveau l’air, tout l’air de mes poumons dans un cri silencieux.
J’osai un regard vers elle, elle avait les yeux fixés sur mes fesses, sans doute barrées de deux traces rouges sombres. Je la sentais ailleurs. Sa respiration était presqu’haletante, ses cuisses serrées, ses mains blanchissaient tant elle tenait fortement la cuillère. Tout son corps était en tension extrême, son visage rouge, ses lèvres presque blanches. Elle était un sexe vivant, en désir absolu, en besoin vital de jouissance.
Souffrance d’un Soumis : Douleur et Dévotion sous Ses Coups
Le troisième coup fût ajusté sur le haut des fesses, encore vierge, mais je n’eus pas à attendre les coups suivants qui s’abattirent depuis le haut des fesses jusqu’au creux poplité avec force et rapidité. Elle ne tenait plus, elle devait finir avant de crier sa jouissance. Moi je pleurais à chaudes larmes, en râles silencieux, le corps tout aussi crispé qu’elle mais dans une transe de douleur que je n’avais jamais connue. Mon sexe était recroquevillé, mes pensées délirantes se raccrochaient juste à sa jouissance à elle, au plaisir indicible qu’elle ressentait tandis qu’elle usait du pouvoir me faire mal, me dresser à sa convenance.
Puis elle s’arrêta. Essoufflée, les yeux hagards, le cœur battant. Ses bras s’affaissèrent, elle avait joui, j’en était sûr, pendant que je n’étais que douleur.
Je restais sans bouger, le tête baissée, honteux de mes larmes, heureux malgré tout de lui avoir offert ce plaisir qu’elle n’avait jamais connu.
Elle posa la cuillère et alla se coucher. Je ne sais ce qui se passait dans sa tête à ce moment, peut-être la honte d’avoir éprouvé du plaisir à battre son mari soumis, peut-être la joie de vivre enfin comme elle a toujours souhaité vivre, peut-être un mélange des deux.
Je restais sans bouger pendant un bon quart d’heure. Digérant cette douleur qui aujourd’hui est devenue une compagne familière. Moi aussi, j’étais perplexe et partagé entre l’envie de tout arrêter et de partir, l’envie de lui donner ce qu’elle désirait, l’envie de la voir jouir encore tant elle est belle ainsi.
Tendre Réconfort pour le mari soumis : Une Nuit d’Apaisement après la Punition
Je finis par aller aussi me coucher.
Une fois installé dans le lit, elle se retourna vers moi et posa un baiser sur mon front en disant doucement
- Bonne nuit mon amour, je suis fière de toi, tu n’imagines pas à quel point.
Je restais sans voix tant cette phrase était inattendue et surprenante.
Les douleurs s’estompèrent enfin et je m’endormis.
A suivre