Deshumanisation d’un homme soumis (8)

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Deshumanisation d’un homme soumis (7)

Dans la pénombre, je m’aperçus que j’étais enfermé avec des hommes qui s’aperçurent de ma présence. Ils étaient tous à quatre pattes. Un jeu de barres en fer reliant leurs poignets et chevilles les empêchaient apparemment de se redresser ou de se toucher. Leurs mains étaient enfermées dans des boules d’acier, leur anus plugué, leur visage enfermé dans des cagoules de cuir, bouche ferée. Leur queues grandes et grosses n’étaient pas en cage mais affichaient toutes une érection vigoureuse. J’étais, le seul homme soumis, ici à avoir la bite racornie dans une cage trop petite.

 

Perte totale de mon humanité

homme soumis

L’un d’eux vint vers moi et me renifla partout, surtout le cul. Puis il se mit derrière moi, les mains rendues infirmes par les boules d’acier sur mes épaules et m’encula avec force et détermination.

Il allait vite, sa queue était très dure et mon pauvre anus martyrisé par les décharges électriques trouvait là une nouvelle douleur. Je me voyais pris par cet inconnu et je pleurais, nerveusement à bout. Il jouit rapidement mais fût remplacé par un autre, puis un autre et enfin le quatrième. Tous m’honorèrent de leurs bites énormes. La bave coulait des cagoules, leur bouche sans doute entravée ouverte et se répandait sur mon dos.

Je bougeais enfin, avisant un endroit où l’herbe était plus haute et me couchais.

Je m’endormais en pissant. Incapable de bouger, je dormais à coté de ma pisse.

Dans la nuit, je sentis quelques coups. Un des hommes commença à me donner quelques coups de poings. Je me remis à quatre pattes et eus droit à un nouvel assaut.

Je me rendormais et ne fût importuné à nouveau qu’au matin. Dès que le soleil se leva, les quatre vinrent à nouveau m’honorer. J’étais encore hagard de la nuit et de la journée précédente. Aussi, je me contentais à nouveau de pleurer sur mon humanité, perdue pour de bon.

Une femme vint me chercher et me doucha au jet, sans même me demander si j’allais bien.

Puis je retraversai la bâtisse et fût réinstallé au même endroit que la veille. J’étais sûr de ne pas survivre à une nouvelle journée. Il était très tôt, j’aurais droit à toutes les urines chargées du matin.

Un homme soumis, obéissant jusqu’à l’avilissement extrême!

Lorsqu’elle installa le tube dans mon cul, la femme eut un petit rire et lança un:

  • On a eu une nuit coquine à ce que je vois !! sale vicieux ! Ces hommes qui t’ont enculé cette nuit sont sous viagra permanent et ne peuvent se toucher les pauvres. Ils doivent apprendre à baiser autant de fois qu’on leur demande et aussi longtemps qu’on le souhaite. Ce sont des bulls. Ça te fera du bien de dormir avec eux enfin, dormir, façon de parler.

 

Les électrodes à peine en place, elle profita de mes services et même si j’avais l’impression d’avoir tout bu, mes couilles se réveillèrent tout à fait en sentant la première décharge de la journée.

Je pleurais à chaudes larmes mais réussis à ne pas crier. J’étais devenu un homme soumis, obéissant jusqu’à l’avilissement extrême. Je la léchais pour laisser cette chatte plus propre que lorsqu’elle me fut confiée. Même si je souffrais et ne me sentais pas capable de boire toute cette pisse, je ne me révoltais pas contre ce rôle. C’était mon rôle. Ma vie. Le reste de ma vie.

Les chattes s’enchaînèrent, les décharges aussi, les culs à lécher, les gifles, je pissais sans discontinuer. L’odeur de la pisse m’envahissait. Je n’en sentais finalement même plus le goût.

L’affluence se calma en milieu de matinée. J’essayais de reprendre mes esprits et de pisser autant que je pouvais, ma vessie en perpétuelle limite d’explosion.

L’envie de vomir permanente me reprenait. L’activité reprit, avec plus de cul à lécher. La docteure vint plusieurs fois et me tâta le ventre. Elle revint encore et me fit une piqûre dans les fesses pour « aider tes reins pauvre poulette ».

Je sentis au bout d’un moment mon ventre moins gonflé et je pissais davantage.

Je ne sais comment je pus tenir jusqu’au soir. Mais je tins et retrouvais mes compagnons de nuit en pleine forme. Je me fis encore enculer. Une femme regarda la scène en souriant tandis que je pleurais encore.

 

Un nouvel homme soumis, attaché non loin de moi

Je tins une semaine complète, pas plus d’une dizaine de décharges par jour maintenant. Mon rythme était bon, j’avalais sans fermer la bouche. Je ne laissais échapper que quelques gouttes.

En fin de semaine, une autre « chose » fut attachée non loin de moi, dans la même position et avec les mêmes accessoires. Je fus donc moins sollicité les jours suivant, regardant le pauvre homme soumis subir les mêmes tourments que moi. Certaines femmes, cependant, avaient déjà leur préférence et venaient vers moi d’un pas décidé, surtout celles qui se faisaient en plus lécher le cul. Sans doute étais-je plus doué que d’autres à vénérer un anus.

Ce nouvel homme soumis dormait aussi dans l’enclos. Aussi, je pus passer deux nuits tranquilles, les bulls préférant la nouveauté.

Le samedi, je fus emmené voir la docteure qui m’examina et renouvela certains traitements.

  • Ta Maîtresse a appelé. Elle te félicite pour tes progrès.

La phrase courte m’emplit de fierté. Mais la docteure reprenait déjà.

  • Comme tu avances bien, on va te laisser jusque début d’après midi aux chiottes mais l’après midi tu feras une pause.

 

Doux moment que d’entendre cela…

  • Tu vas commencer à sucer les autres sous merdes, il faut que tu progresses ! Et Ils t’enculeront aussi, les bulles, c’est bien, mais quelques petits assauts de nuit, ce n’est pas assez. C’est bien pour la déshumanisation mais pour l’entrainement, bof. Donc tu iras te faire prendre et sucer de 14h à 18h puis tu reprendras la pisse jusque 23h.

Mon nouveau programme des réjouissances

homme soumis

Mon enthousiasme fût douché. Sucer les queues des autres sous merde me remplit de désespoir. Mais homme soumis j’étais, chose je devenais.

Je repris ma place comme urinoir-lèche-cul jusque 14h et fus emmené dans une dépendance où, à quatre pattes sur un banc, je fus attaché.

Un premier soumis vint se placer devant moi, la queue devant ma bouche, molle et sale. Je reçus quelques coups de cravache et lui aussi, il prit sa queue et la mit dans ma bouche que j’avais ouverte. Je commençais à sucer, le goût sur envahit ma bouche, pire que l’urine. Sa mollesse ne passait pas. Il recevait en permanence des coups de cravache sur les tétons et les fesses, pas étonnant. Mais alors que j’essayais de m’appliquer pour qu’il durcisse, une autre queue se présenta à mon anus et me perfora sans ménagement. Elle était grosse et bien dure celle-là. Mes larmes coulèrent.

  • Le dernier à cracher sera sévèrement puni. Et toi, s’il jouit plus vite dans ta chatte que dans ta bouche, tu devras sucer les bulls toute la nuit !

Je m’appliquais, suçais sans relâche tandis que je me faisais défoncer. La queue dans ma bouche commença à peine durcir et lâcha lamentablement quelques gouttes de sperme mêlé d’urine.

  • Et ben tu vois que tu peux encore cracher même impuissant vieille merde.

L’homme que je suçais semblait tout heureux et lâcha un

  • oui Maîtresse. Merci Maîtresse

Elle sourit et lui répondit

  • Allez, on va remettre sa petite cage et on réessaiera dans deux ans !

Il se mit à pleurer mais ne dit rien.

 

Au service des autres hommes

Un autre prenait déjà sa place tandis que le premier me remplissait enfin de son sperme. Je l’entendis quelques minutes plus tard crier sous les coups de cravache. Mais pour l’heure une queue énorme se présentait devant moi que j’eus du mal à mettre en bouche. Une autre entrait dans ma « chatte », bien ouverte, je ne ressentis pas de douleur extrême.

Je n’ai jamais été bi, ni attiré par les hommes. Me retrouver ainsi à devenir vide couilles par mes deux orifices n’était pas un rêve, même inavoué. J’étais dégouté, mais encore soumis. Le goût du sperme était pire pour moi que la pisse de mes Maîtresses.

Je suçais à grand peine cette grosse queue alors qu’elle grossissait encore en devenant plus dure. Mes mâchoires me faisaient mal, mon cul me brûlait. Le temps ne passait pas, la cravache me rappelait le rythme quand je fatiguais.

Je fus enfin inondé dans ma bouche et faillis m’étrangler. J’avalais à grand peine et reçus l’ordre de bien essorer puis de continuer à sucer. L’homme se plaignit mais reçu de douloureux coups sur les tétons et je continuais. Sa queue ramollissait et je voyais bien que mes caresses étaient des tortures. Au moins, il avait joui. Je savais que je ne jouirai sans doute plus jamais. Mon cul aussi fût empli de sperme.

De nouveau utilisé comme toilette

Baisé comme une chienne à l’abattoir, suceuse sans relâche et je savais qu’après, je redeviendrais chiotte jusque tard dans la nuit avant de me faire à nouveau prendre par les bulls. Des larmes coulaient, comme si mon humanité s’écoulait avec elles.

Je n’étais finalement pas triste, fatigué, écœuré, oui, mais triste ? non, je ne crois pas. Je devenais cette chose comprenante destiné au plaisir et au service des femmes. Un esclave Gynarchique vieux et presque inutile mais à qui on offrait une chance de servir pendant quelques années. Servir enfin celles qui devraient gouverner le monde.

Je suçais.

Je suçais et la queue redevint grosse, et la queue cracha mais encore je suçais. Il pleurait et cela dura, queue molle et douloureuse. Ainsi, il ne cracha plus, ne grossit plus. Il fût sévèrement cravaché, je l’entendis pleurer. Mais une autre queue déjà devant ma bouche. Une autre dans ma chatte…

 

Enfin l’heure de retourner dans mes toilettes, d’être toilette vint. On me détacha et je ne pus m’empêcher de vomir une partie du sperme ingéré.

La docteure encore fût la première à venir se vider dans ma bouche, la pisse rinça le goût pâteux du sperme. Fatigué, je reçus plus de décharge que le matin.

 

Encore vivant mais pour combien de temps?

homme soumis

Pendant cinq heures, je bus la pisse des Maîtresses, lécha leurs culs.

Puis je retrouvais les bulls, l’odeur de sperme de mon cul sembla décupler leur ardeur et je fus pris plusieurs fois par chacun. L’un d’eux essaya de forcer ma bouche, mais je sus résister.

Un jet d’eau froide me réveilla. Dimanche. Quelle importance ? le planning était le même. Je retrouvais les mêmes chattes et leur pisse matinales goûteuses, les mêmes culs puis les mêmes bites se présentèrent devant et derrière. Puis lundi, puis mardi, puis toute la semaine.

J’étais vivant encore, mais mon cerveau semblait endormi. Mon ventre surtout me faisait mal, je passais mes journées à pisser. Ma queue ne faisait aucune tentative d’érection. Je chiais du sperme.

La docteure m’examina encore, me refit des piqûres.

  • Tu tiens, c’est bien. Ta chatte est bien meurtrie mais elle se remettra. Tes reins encaissent pour l’instant. Tu serais mien, je crois que je te ferai faire un petit traitement pour que tu aies de belles loches, bien lourdes, je pense que ça t’irait bien. Ta Maîtresse aime les couilles qui trainent au sol, moi ce sont les seins… chacun son petit plaisir. Bon, tu as encore bien progressé. Ton avilissement est presque total. Un vrai rat d’égout.

Après une nouvelle semaine très difficile, le retour auprès de ma Maîtresse

 

Elle me sourit, il n’y avait pas de méchanceté dans ces mots. Gynarchiste, pour elle et toutes celles qui étaient ici, les hommes étaient inférieurs, certains plus que d’autres, c’était l’expression de la nature. Je faisais partie du troupeau des « E », un être minable mais qui avait la chance de servir.

Il me fallait tenir encore une semaine.

Je tins.

La docteure fût la dernière que je vis à la ferme. Elle me permit de longuement lécher son énorme cul que je finissais par apprécier. Peut-être un jour lui appartiendrais-je…

Vint l’heure de retrouver ma Maîtresse, urinoir parfait, suceuse de bite émérite, chatte ouverte aux hommes et lécheur de cul patenté. Mes compétences de « E » avaient, comme me l’avait dit ma Maîtresse, significativement augmenté tandis que mon humanité devenait diaphane.

 

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1 réflexion au sujet de « Deshumanisation d’un homme soumis (8) »

  1. Aprés un tel traitement, sa maîtresse et ses amies vont pouvoir profiter d’une chiotte parfaite.

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Dominatrice expérimentée,  Cultivée et cruelle, sorcière perverse, recherche homme soumis docile obéissant, à dresser ou amateur de fessées magistrales et punitives …