Je reprenais le train dans l’autre sens, le plug avait repris sa place, presque trop petit pour tenir. Ma chatte devenait plus souple et ouverte, bonne pour le service. Mes couilles s’accommodaient de leurs 900g, ma queue n’était déjà plus que l’ombre d’elle-même. Le collier était à mon cou comme un symbole fort de ce que je devenais. Ma Maîtresse m’accueillit comme on accueille un meuble de retour de restauration, sans un mot. Je n’étais même plus un homme soumis.
A peine déshabillé, je vins me placer à ses pieds.
- Tu as bien profité de ce stage, le rapport que j’ai reçu est bon. Je pense qu’en à peine trois semaines, somme toute assez tranquilles, tu as su acquérir des compétences d’urinoir, de lèche cul, de suceuse de bite et ta chatte est maintenant bonne à prendre. J’ai modifié ton profil dans la base du Cercle et tu es désormais en phase 1.
Elle posa les yeux sur moi, ni fière, ni souriante. Elle regarda sa propriété sans état d’âme, satisfaite sans doute du résultat, mais sans rien montrer.
Homme soumis en phase 1 dans la base du Cercle
C’était dans l’ordre des choses. Il était normal que je fasse le maximum pour être apte à servir le plus rapidement possible.
- Dans cette nouvelle phase, tu es désormais considéré comme utile. Cela signifie que lorsque tu marches dans la rue, entres dans un magasin, rentres chez toi, toute personne du Cercle peut te contacter par téléphone, t’interpeler de vive voix et te donner des ordres. Elle te bloque alors dans la base le temps qu’elle souhaite. Si l’usage dépasse deux heures, le système me demande une validation puisque tu m’appartiens. Tu n’as donc pas à te poser de question, tu obéis. Un « E » n’a pas l’intellect pour réfléchir, c’est un homme soumis, dressé pour obéir.
Elle se tut un instant, laissant ses paroles couler en moi et imprégner mon cerveau, comme elle savait si bien le faire.
- Tu as passé déjà quatre semaines en éducation, une avec moi et trois à la ferme. Il te reste deux semaines de libres, nous allons renforcer tes capacités pour les tâches ménagères, sans négliger le reste bien sûr. Désormais, tu seras mon urinoir unique. Lorsque mes soumis amants viendront, tu les suceras. Ils te prendront et tu nettoieras mon sexe et leur queue après qu’ils m’aient fait jouir. Tu passeras tes soirées à lécher mon cul. Le reste du temps, tu feras le ménage, la lessive, la vaisselle, le repassage, de 5h au réveil jusque minuit. Tu viendras me réveiller vers 7h en te glissant doucement dans ma chambre et en me léchant l’anus avec douceur. Quand je te chasse, tu vas préparer mon petit déjeuner. Ensuite, tu viens boire mon urine matinale et tu retournes à tes tâches. N’oublie jamais de remercier une femme qui te fait don de son urine !
D’homme soumis à objet
Encore, un instant de silence. Mon univers devenait limpide et simple, comme il sied à l’objet que je devenais.
- De ce que je vois, tes couilles sont descendues d’un bon centimètre. Nous passerons à 1kg200g cet après midi et nous mettrons un plug de taille supérieure. Pour ta queue, on attendra encore un peu avant de réduire la taille de la cage. Maintenant va travailler. Nettoie les toilettes, la salle de bain puis la chambre, à fond !!
Je m’activai, instantanément, allant aux toilettes pour les nettoyer à fond. Avais-je des états d’âme après toutes ces paroles ? Je ne saurais le dire. Je me souvenais du passage à 1kg200g pour mes couilles. Aussi, je savais que j’allais souffrir. Cependant, je n’imaginais pas une seconde me plaindre ou me révolter. Ma Maîtresse souhaitait voir mes vielles couilles pendre bien bas. Qui étais-je pour aller contre ce souhait? Je lui appartenais et cela emplissait toute mon âme, mon esprit et donc mon corps qui lui appartenait.
Elle m’appela une fois dans la matinée pour que je lui serve d’urinoir. Pas une goutte de n’échappa et après l’avoir léchée pour bien nettoyer son sexe, je la remerciais de ce don. C’est vrai que j’avais vraiment progressé. Aucun écœurement, pas de toux.
Elle ajouta 300g de poids à mes testicules et un nouveau plug vint ouvrir davantage ma chatte. Je gémis un peu, elle disait « couiner comme une petite truie ». Je couinais donc un peu, mais accepta ces nouvelles contraintes car inhérentes au plaisir de ma Maîtresse, seule loi en vigueur dans mon univers désormais.
Puni plusieurs fois dans la semaine
La journée passa. Mes muscles étaient fatigués et mon dos me faisait mal. Mes couilles pleuraient à cause de leur écrasement. Le soir, je retrouvais avec plaisir ce cul vénéré et en retrouvais la saveur âcre. Une dernière pisse avant que ma Maîtresse ne se couche puis je fis encore quelques corvées avant moi aussi de dormir quelques heures.
Je reçus quelques corrections dans la semaine car je n’avais pas assez bien fait.
Je pus sucer deux de ses amants soumis. L’un d’eux avait une queue hors norme et mes deux orifices souffrirent encore un peu. J’apprenais aussi à lécher les couilles de mes supérieurs pour les remercier de me faire don de leur queue et de leur sperme.
La semaine passa ainsi, 19h de travail par jour, 5h de sommeil. Un bon litre de pisse tous les jours.
Dimanche, ma Maîtresse reçut une visite en fin de matinée. J’étais dans les toilettes à nettoyer et je crus reconnaître la voix de la visiteuse. Ma Maîtresse m’appela bientôt et je reconnus la docteure qui s’était occupée de moi à la ferme.
Je lui baisais les chaussures.
- J’ai vu que tu l’avais passé en phase 1, il bat des records de vitesse ton rat.
- Oui, rapide et doué, je dois le reconnaitre. Sa déshumanisation est fulgurante… A chaque nouvelle étape il me surprend. Il a toujours eu ça en lui… quel imbécile de n’en avoir pas profité avant…
- Dommage que tu n’aimes pas qu’ils aient des seins, il serait vraiment pitoyable avec de belles loches !
Elles rirent toutes les deux. Je m’imaginais avec de gros seins pendant et n’y voyais ni bien, ni mal, ni honte, ni fierté autre que celle de satisfaire ma Maîtresse.
Visite de la « docteure »
La docteure m’offrit son urine et son énorme cul à lécher tandis qu’elles conversaient, ma tête quelque peu écrasée, mes couilles offertes.
J’étais assez heureux de retrouver le goût de cet énorme cul. Il en fallait peu pour me rendre heureux finalement.
La semaine suivante fût identique. Je m’habituais à toutes ces tâches, et considérais que servir d’urinoir ou de lèche cul me permettait de faire une pause et d’être en contact avec ma Maîtresse, de la sentir, la goûter, la satisfaire directement. Une fois, elle me demanda de la faire jouir de ma langue. Je savourais ce moment comme une récompense infinie.
Le dimanche vint, la fin de ma période à plein temps. Elle m’appela vers 17h. Je vins me positionner à ses pieds, comme il convenait.
Fin de ma période à plein temps
- Ta période ici à plein temps est terminée. Conformément à ta demande initiale, tu seras autorisé à retourner au travail dès demain. Je pense que tu t’apercevras rapidement que cette position est très inconfortable pour toi, de passer d’homme à sous merde, de porter au travail cage, poids et collier en sus de ta boucle d’oreille et de tes tatouages… mais c’est ton problème.
- Moi, je ne souhaite pas avoir de chien à mi-temps. J’ai donc déclaré ta vacance sur la base du Cercle. Cela signifie que tu es sans propriétaire. J’ai confirmé tes heures de travail autorisées, de 9h à 18h du lundi au vendredi. En dehors de cette plage horaire, tu es à disposition de tous membre du Cercle. Comme tu es en Phase 1, je pense que tu seras sollicité pour des actions de base. Tu verras, ça ne me concerne pas. Si j’ai besoin de toi, je sais que tu es appliqué et bien formé, je t’appellerai.
- Une fois rentré chez toi, les caméras doivent rester branchées. Elles sont reliées à la base du Cercle et comme tu es sans propriétaire, tous les membres du Cercle peuvent les regarder quand ils le souhaitent. Je te conseille de ne pas reprendre de mauvaises habitudes et de vivre comme une sous merde. Manger par terre, te laver à l’eau froide, ne jamais glander autrement qu’à genoux au coin les mains sur la tête… Maintenant dégages!
Jeté par ma Maîtresse comme un vulgaire kleenex!
Je recevais tous ces mots comme des coups de poignards. Après six semaines, pendant lesquels j’avais trouvé ma place dans l’univers, tout s’effondrait. Mon cerveau sans doute avait volontairement effacé cette fin de période et j’étais conditionné à faire ce que je faisais tout le reste de ma vie. Je me retrouvais orphelin de Maîtresse. Seul, abandonné. Elle m’avait jeté comme on jette un kleenex après s’être mouché dedans, sans un regard, sans une parole aimable. Objet jeté…
Je me retrouvais dans la rue puis chez moi. Je me mettais nu et au coin, à genoux, mains sur la tête, j’avais besoin de me raccrocher à ce qui me restait de ma vie d’homme soumis.
Sub75014, merci pour ces textes inspirants. Je vous propose de lire mes propres textes (Vanessa, une serie de 9 episodes pour l’instant publies sur Dominamag), en partie autobiographiques. Je serais enchante que nous puissions echanger tous deux sur nos ecrits. Ovales, 75007
J’ai bien sûr lu la série Vanessa que je suis depuis le début, bravo!! beaucoup d’esthétique, c’est très appréciable. Nous échangerons par email… je suis un peu sous l’eau en ce moment… Merci pour ce commentaire et vos histoires!
Scénario intelligent, libéré par sa maîtresse, il va pouvoir multiplier les expériences au services de dominatrice inconnues. J’ai hâte de lire les suites.
Merci pour ce commentaire, heureux que cela vous plaise.
Merci de continuer votre historique.
Son parcours est passionnant et me trouble.
À vous lire pour d’autre chapitre aussi passionnant.
Bonjour Alain,
je n’avais pas prévu d’aller plus loin, mais il semble que cela plaise à quelques personnes, je vais donc travailler sur le sujet… Merci pour votre commentaire
les tâches ménagères ne m’inspirent pas trop. Par contre, urinoir et lèche-cul pour dames me combleraient.
Vos récits sur Dominamag sont super, j’ ai moi même les boules très pendantes et recherche une Maîtresse.
Le récit déshumanisation d’un homme soumis est super, Moi même j’ aime aussi avoir les couilles très pendantes et boire le divin nectar d’une Maîtresse.
Soubrette à votre disposition.
Merci Cazaux pour ces encouragements