Deux Maîtresses dominatrices et l’ex professeur soumis (14)

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Le samedi, comme convenu, j’arrivai chez Maîtresse Julie. Maîtresse Elsa était déjà sur place. Les Maîtresses dominatrices m’invitèrent à m’assoir.

Surpris de ne pas avoir à me déshabiller et me mettre à quatre pattes, je m’assis dans le fauteuil tandis que les deux Maîtresses dominatrices s’assirent face à moi dans le canapé.

Revoir le lieu de débauche où j’avais subi les pires outrages me rendit craintif.

Maîtresse Elsa prit la parole :

  • Je sais que tu te soumets en tant qu’homme et je sais aussi que les travestissements te déplaisent au plus haut point. Néanmoins, Julie et moi, sommes avides d’expériences et nous avons décidé, exceptionnellement, de te féminiser.

Je les regardai incrédule. En effet, j’assumais d’être tout ce qu’elle ferait de moi, même un chien. Cependant, me déguiser en femme, ne me plaisait vraiment pas. Ce n’était même pas le sentiment d’humiliation qui me venait à l’esprit en premier, mais celui du ridicule.

  • Mais nous allons essayer de bien faire les choses. Ainsi, nous n’allons pas de te déguiser, mais de te travestir pour que ce soit réaliste et que tu te transformes le plus possible. C’est la raison pour laquelle je t’ai dit de venir si tôt.

J’avais du mal à avaler ma salive, leur imagination n’avait aucune limite.

  • Pour ce faire, nous allons te préparer consciencieusement, et nous ferons de notre mieux pour que tu plaises à nos invités, que tu sois une belle salope !

Découverte du programme de la soirée

Maîtresses dominatrices

Là c’était trop, le puzzle se mettait en place progressivement, le temps de préparation, me transformer en pute pour des invitées qui allaient probablement se moquer de moi, m’humilier, se servir de moi comme soubrette.

Ma résistance était vraiment mise à rude épreuve.

  • C’est un peu comme samedi dernier, les invités doivent repartir heureux!
  • Heureux ?, dis-je spontanément
  • Oui heureux, tu as bien entendu, des invités heureux et pas des invitées heureuses.

J’ai dû blanchir car Maîtresse Julie eut ce petit rictus sadique que je lui connaissais, et elle ajouta :

  • Tu te souviens de Vincent j’imagine ?

Les deux Maîtresses dominatrices se regardèrent avec un large sourire complice.

  • Oui Maîtresse, dis-je déjà à bout de force.
  • Et bien réjouis-toi!, dit-elle ironiquement. Il va venir ce soir, accompagné de deux amis, tous les
    trois homos, non pardon, l’un d’eux est bi !

Mon énergie était en train de quitter mon corps, j’étais abattu. J’allais devoir jouer les salopes toute une soirée pour exciter trois mecs devant mes Maîtresses dominatrices. Je n’osais même pas imaginer les conséquences de leur excitation.

Début de ma transformation en femme

Maîtresse Elsa résuma :

  • Donc, oui, le spectacle avec Vincent nous avait beaucoup excitées, et nous nous sommes dits que le
    multiplier par trois serait délectable pour nous !
  • En plus, tu n’es plus puceau, tu peux en satisfaire plusieurs maintenant !, s’esclaffa Maîtresse Julie.

J’eus envie de fuir, réellement, tout lâcher, reprendre ma vie d’avant, tranquille. Mais je savais aussi que mes fantasmes ou mes idées perverses me rattrapaient à chaque fois que j’essayais de les taire, et que d’ici quelque temps je donnerais à nouveau n’importe quoi pour les revivre. Alors je me résignai.

  • Viens dans la salle de bains, on va commencer par te raser les jambes, le torse est quasiment imberbe, c’est déjà ça !

Inconsciemment, j’essayais de m’efféminer mentalement pour me mettre dans le rôle que j’allais jouer, même s’il ne me plaisait pas et si séduire des mecs me dégoûtait plutôt qu’autre chose.

Après les jambes, ce fut la raie des fesses, mes fesses étant sans poils, puis les testicules et le bas ventre. Ensuite, lorsque les Maîtresses soulevèrent ma verge pour me raser, ce contact eut un effet immédiat dont elles se sont amusées bien sûr.

  • Attends ce soir pour bander, ça plaira certainement à tes amants !, dit Maîtresse Elsa

Mes amants … elles avaient le don pour me mettre mal à l’aise, pour me mettre en condition. Bien sûr, je dus raser mon visage de près.

Habillé puis maquillé par mes deux Maîtresses Dominatrices

Ensuite, je dus mettre, sans culotte, cette mini-jupe en jersey que j’avais portée la semaine passée. Avec, j’enfilai des dim-ups noirs, et enfin des escarpins à talons. Décidément, Maîtresse Elsa connaissait tout de moi, même les tailles de mes vêtements et ma pointure !

Après, les Maîtresses me mirent des faux seins, un soutien-gorge, et un chemisier noir assez transparent.
C’était difficile à vivre, je me sentais de plus en plus, travesti.

Enfin, ce fût la séance maquillage. Les Maîtresses dominatrices étaient appliquées et joyeuses, comme des petites filles qui jouaient à la poupée.

Les faux ongles avec le vernis à ongles allongeaient mes mains et les rendaient plus fines, plus féminines.

Le rouge à lèvres eut un réel effet de féminisation sur moi. et Enfin, la touche finale fut une perruque de cheveux châtains, mi-longs, très naturels. Je ne pensais pas qu’une perruque pouvait être aussi réaliste.

Ensuite, les Maîtresses, apparemment très satisfaites de leur travail, me dirent de me regarder dans le miroir.

J’eus vraiment un choc, la transformation était vraiment réussie. Bien sûr on voyait quand même que j’étais un homme. Cependant, avec mes traits fins, le maquillage et la perruque faisaient tout à fait illusion.

Quant au reste, j’étais bien sur un peu trop large d’épaules, mes jambes trop musclées et mes mollets n’étaient pas ceux d’une femme, loin s’en faut, mais j’essayai de ne pas y voir de ridicule.

  • Alors, tu es belle non ?, demanda Maîtresse Elsa.

 

  • Oui Maîtresse, dis-je en rougissant.

 

  • Viens dans le salon !

Elles s’assirent et me demandèrent de marcher, de tourner sur moi-même. J’appris à marcher sur une ligne droite comme le font les mannequins qui défilent, je me pris un peu au jeu.

Complimenté pour ma transformation réussie

Les compliments des Maîtresses dominatrices m’aidèrent à ne pas me sentir trop ridicule.

  • Une fois de plus, nous sommes fières de toi. Tu te dépasses et tu te féminises de façon convaincante, mais il va en falloir un peu plus encore quand les garçons seront là, dit Maîtresse Elsa.

 

  • Oui Maîtresse, que puis-je faire pour m’améliorer ?, dis-je avec des accents de sincérité pour montrer ma bonne volonté.

 

  • Même ta voix s’est adoucie, c’est super Monsieur Rollin!, me complimenta Maîtresse Elsa.

 

Elle utilisait volontairement mon nom pour me rappeler adroitement l’homme que je fus et la salope que j’étais devenue.

 

  • Tu vas devoir être un peu allumeuse. Je veux dire par là, être souriante, charmante, tactile, chaleureuse. En effet, je veux que les garçons se fassent plaisir. Je veux qu’ils passent une soirée inoubliable, et que tu les satisfasses pleinement. Surtout, tu dois leur donner l’impression que tu es heureuse et que tu aimes ça. C’est-à-dire que tu n’es pas ce soir le soumis qui est contraint d’obéir. Tu es une amie un peu salope qui se prête volontiers aux désirs des uns et des autres. Est-ce que tu comprends ce que je veux dire ?

 

  • Oui Maîtresse, ils feront ce qu’ils veulent de moi et ils penseront que j’aime ça, dis-je, déterminé.

Et Maîtresse Julie ajouta :

  • Ça fait plaisir à entendre, mais l’heure tourne. Ils seront là dans une demi-heure. Alors, il est temps pour toi d’aller vérifier que ton hygiène est irréprochable. Pendant ce temps, nous allons sortir tout ce qui concerne l’apéritif pour que tu puisses nous servir.

Vérification de mon hygiène

Je partis vérifier mon hygiène mais j’avais déjà pris soin, avant de venir, d’aller aux toilettes et de me laver en profondeur. Aussi, je fis semblant de me laver en faisant couler l’eau, pour passer un peu de temps seul dans la salle de bains et me préparer psychologiquement.

En effet, il n’y avait pas que ce rôle à jouer. Je devais surtout me préparer à avoir des rapports physiques avec des hommes, avec des corps poilus que je n’aimais pas, avec des fesses qui me répugnaient, avec des sexes qui m’inspiraient une certaine perversité mais certainement pas l’immense plaisir que j’éprouvais en léchant une femme.

Et je me souvins de Vincent et de ses baisers fougueux qui me dégoûtaient. Et si ces hommes étaient moches ou gros ? Et s’ils étaient barbus, comment aurais-je la force de les embrasser ?

Maîtresse Elsa vint me sortir de mon questionnement inutile et me rassura sur un point que je n’avais même pas envisagé :

  • Nous avons oublié de te dire que nous avons établi des lignes rouges avec Vincent et ses amis : pas de brutalité, pas de scato et petit cadeau de ma part, pas d’anulingus à donner.

 

  • Oh merci Maîtresse, dis-je précipitamment,

Maîtresse Elsa pu lire un immense soulagement dans mon regard.

Du coup, en évitant l’insurmontable, j’eus l’impression que tout le reste, pourtant difficile, était réalisable en prenant sur moi.

Une dernière surprise pas très agréable : le plug anal!

Cependant, une autre surprise m’attendait, moins agréable !

  • Mais nous allions oublier quelque chose, déclara Maîtresse Julie, avec un plug anal dans la main.

 

  • C’est pourtant vrai !, répondit Maîtresse Elsa.

Maîtresse Elsa me fit courber l’échine et mettre ma tête entre ses jambes pour que je ne bouge pas. Maîtresse Julie me mit un doigt lubrifié dans le cul, puis enfonça le plug progressivement.

C’était désagréable mais je ne bronchai pas !

Evidemment, Maîtresse Julie ne put s’empêcher d’être crue pour me rabaisser :

  • Voilà, comme ça, ton trou va s’agrandir et ce sera plus facile tout à l’heure pour te faire enculer par tous les mecs.

Un frisson d’inquiétude me parcourut tout le corps.

La sonnerie de la porte retentit, et mon cœur fit un bond dans ma poitrine.

Les Maîtresses me laissèrent pour aller les accueillir.

J’entendis la voix grave des messieurs et mes Maîtresses qui leur souhaitèrent la bienvenue. Je me regardai dans le miroir pour me donner confiance. Je me mis en condition pour être cette femme joyeuse et coquine qui allait les exciter, j’étais bien maquillée. Les cheveux me rendaient vraiment féminine, et même cette fausse poitrine faisait illusion.

Les amis s’installèrent dans le salon, les Maîtresses aussi, il ne manquait plus que l’apéritif.

Présentation aux trois amis de mes Maîtresses dominatrices

Maîtresse Elsa m’appela :

  • Sylvia, viens nous rejoindre!

Je ne savais pas que j’avais déjà un prénom, je respirai un grand coup et me mis en scène.

Tous les regards convergèrent vers moi et les réflexions simultanées des messieurs furent positives :

  • Humm, pas mal ! Sexy !»

Je souris franchement, à la fois soulagé de leur plaire, de ne pas être ridicule, et désireux d’être la personne joviale que je me devais d’être pour mes Maîtresses.

Je souris franchement, à la fois soulagé de leur plaire, de ne pas être ridicule, et désireux d’être la personne joviale que je me devais d’être pour mes Maîtresses.

Puis les présentations commencèrent :

  • Voici Sylvia, déclara Maîtresse Elsa.

Ensuite, Maîtresse Julie prit la parole :

  • Sylvia, tu connais Vincent, mais je te présente Victor et Thomas.

Victor était roux, une grosse barbe qui couvrait amplement un visage plutôt agréable avec des yeux clairs. Il avait un embonpoint certain. Onn sentait le bon vivant, mais je frémis intérieurement en me disant que j’allais certainement devoir l’embrasser.

Thomas, lui, était grand, svelte, châtain clair, sans barbe ni moustache, plutôt bel homme, et ses yeux brillants indiquaient qu’il me convoitait déjà.
Je continuai à leur sourire, puis je pris l’initiative de venir leur faire la bise pour coller au scénario qui m’avait été décrit.

Parfait dans mon rôle pour le plus grand plaisir de mes Maîtresses dominatrices

Je lus la surprise et la satisfaction dans le regard de mes Maîtresses.
Je me dirigeai d’abord vers Vincent en ondulant des hanches, chaque pas sur la même ligne droite. Je lui souris, puis je lui fis deux bises tendres et appuyées sur chaque joue.

Ensuite, d’une voix douce, je lui demandai:

  • ça va Vincent ?

Il me répondit :

  • Mais oui ma belle, toujours quand je te vois ! Même si tu as bien changé depuis la dernière fois ! Perso tu me plais autant en homme qu’en femme. Je suis sûr qu’on va bien s’amuser !

Quelques flash-back me revinrent en mémoire. Je me dis que nous n’avions pas la même conception de l’amusement, mais je devais tenir mon rôle, ne pas trop penser.

Ensuite, je m’approchai de Victor et lui fis une bise sur ses joues couvertes de poils. Il fit de même en me mettant une main aux fesses.

Enfin, je vins saluer Thomas qui ne me laissa pas le temps de lui faire la bise. Il attrapa ma joue et ma nuque de sa grande main et me fit un bisou sur les lèvres en me regardant intensément.

J’en fus troublé…

  • Allez, va nous chercher l’apéritif!, déclara Maîtresse Elsa.

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1 réflexion au sujet de « Deux Maîtresses dominatrices et l’ex professeur soumis (14) »

  1. BONSOIR MOI C EST PASCAL 61 ANS CELIBATAIRE JE SUIS DE TRIBEHOU MANCHE POUR ETRE SOUMIS

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