Mes deux Maîtresses Dominatrices avaient accepté de me sortir pour que je fasse mes besoins. Maîtresse Julie prit la laisse, accompagnée de Maîtresse Elsa, et me tira vers l’extérieur. Il faisait doux. Les senteurs du soir étaient agréables, mais je ne voulais pas que ça s’éternise.
Heureusement, Maîtresse Julie me détacha :
- Allez, va faire tes besoins !
Humiliation Extrême : Sous le Regard des Maîtresses Dominatrices
Je ne me fis pas prier et j’avançai rapidement à quatre pattes vers le buisson le plus proche. Cependant, je fus soudainement arrêté dans mon élan, à quelques mètres de mes Maîtresses Dominatrices, par la voix de Maîtresse
Elsa :
- Stop ! Arrête-toi là ! Où allais-tu comme ça, hein mon chien ? Tu cherchais un buisson ? Tu crois qu’un chien est pudique peut-être ?
Et les deux Maîtresses Dominatrices rirent en cœur.
- Fais-là, devant nous, sous nos yeux, je pense que le spectacle va nous distraire !
J’étais tétanisé, je sentais leur regard sur mes fesses. Comme un spectateur extérieur, je visualisais la scène : elles, debout, habillées, jolies, le sourire aux lèvres, scrutant mes fesses. Pendant que moi, j’étais accroupi, honteux, pitoyable, poussant devant elle.
Je ne me sentais plus comme un homme. Cependant, je ne devais pas réfléchir, je devais reprendre immédiatement mon rôle de chien. M’identifier comme tel au plus profond de moi était la seule façon d’endurer cette extrême humiliation.
Il s’agissait de la pire que j’avais connue, et probablement la pire au monde !
- C’est bien long pour une envie pressante ! Allez, pousse, fais-nous voir ton gros caca !, s’esclaffa Maîtresse Julie.
Ses mots m’achevaient intérieurement mais je n’en pouvais plus de me retenir. Je devais me lâcher, oublier leur présence, et en finir avec cette déchéance.
Alors je commençai à pousser. Il ne fallut pas longtemps pour que mon anus laisse apparaître ma grosse crotte qui sortit progressivement, comme pour faire durer le plaisir de mes Maîtresses qui avait cessé de rire. Cependant, elles regardaient attentivement, jouissant de leur pouvoir.
- Si on m’avait dit à l’époque du lycée, que Monsieur Rollin serait un jour mon chien et qu’il chierait sous mes yeux !, se moqua Maîtresse Elsa.
Soumission Absolue : Au Service des Maîtresses Dominatrices
Bien sûr j’avais intégré ses paroles humiliantes, mais je restai concentré sur ce que j’étais devenu. Je poussai une deuxième fois, quand même content ,de pouvoir me soulager.
Une fois terminé, je grattai le sol avec ma main pour recouvrir mes excréments puis je revins aux pieds de mes Maîtresses Dominatrices.
Maîtresse Julie, rattacha ma laisse, et je fus emmené dans la salle de bain.
- Lave-toi et reviens à nos pieds dans le salon!
Je fus soulagé de ne pas rester sale, et après une bonne douche, je revins à leurs pieds.
Mais à peine revenu à leurs pieds, je dus me remettre au travail.
- Ça m’a inspiré de voir notre chien faire ses besoins, faut que je fasse les miens maintenant ! Allez, on y va, on va voir si tu es aussi efficace qu’Elsa le prétend !
J’attendis un bon moment devant la porte et je me demandai pourquoi elle prenait autant de temps. J’eus la réponse lorsqu’elle ouvrit la porte. Une odeur forte embaumait les lieux, et Maîtresse Julie était dans la même position que Maîtresse Elsa auparavant. Elle était bien cambrée, les fesses sortant un peu de la cuvette, de façon à ce que je puisse faire mon travail sans être gêné par les rebords du WC.
Mais quelle ne fut pas ma surprise en découvrant le cul de Maîtresse Julie. Il était sale au plus haut point, des traces sur toute la longueur de sa raie. Il y avait même un petit morceau qui obstruait encore son anus.
Épreuve Ultime : Devenir le Papier Toilette des Maîtresses Dominatrices
Je ne comprenais pas comment elle avait pu se salir à ce point, mais l’explication ne se fit pas attendre.
- Je ne doute pas que tu aies été efficace avec Elsa, mais moi je voulais savoir si tu pouvais être efficace dans une situation extrême, Alors, j’ai pris un peu de caca entre mon pouce et mon index et je me suis volontairement salie. Si tu relèves ce défi et que je suis aussi propre qu’Elsa, tu seras définitivement déclaré apte à devenir notre papier toilette en toute occasion ! Alors applique-toi !
Ce fut infiniment plus difficile car quand je nettoyais le bas de sa raie, proche de son sexe, mon nez était au niveau de son anus,. Je devais lutter pour ne pas me salir moi-même, sans parler de l’odeur. Cependant, je mis tout mon cœur à l’ouvrage. Je salivai copieusement pour rendre ma langue plus humide et léchai en appuyant fortement afin de faire disparaître toutes les traces.
Quand je nettoyai son anus, je dus en avaler un peu. J’avais déjà mangé un peu du caviar de mes Maîtresses. De plus, je savais que j’en étais capable dès lors qu’il s’agissait de petites quantités, pas comme j’avais pu le voir dans certaines vidéos ou le « toilet slave » ingurgitaient des quantités incroyables d’excréments. Ceci était pour moi abominable et ne me tentait pas le moins le moins du monde !
Toujours est-il que je poursuivis le nettoyage de Maîtresse Julie en enfonçant ma langue dans son cul à de nombreuses reprises, le plus profondément possible, avec ferveur (même si j’étais moins passionné qu’avec Maîtresse Elsa).
Ses « humm » semblaient indiquer qu’elle était satisfaite, et quand elle prit un morceau de papier pour vérifier qu’elle était bien propre, je fus complimenté.
Sadisme et Soumission : Les Jeux Cruels de mes Deux Maîtresses
Nous sortîmes des toilettes pour revenir de salon et Maîtresse Julie s’adressa à Maîtresse Elsa :
- Tu avais raison, un excellent papier toilette, et pourtant je lui avais réservé une petite surprise !
- C’est-à-dire ? Avec toi je crains le pire !, dit Maîtresse Elsa
- En fait, j’en ai pris entre mes doigts et je m’en suis étalé partout copieusement.
- Rooo Julie, t’es vraiment sadique, et il a réussi ?
- Il a mis du temps mais je suis nickel ! Alors c’est confirmé, chez moi non plus, plus de papier toilette !
- Remarque je ne suis pas surprise , dit Maîtresse Julie, Ce que tu ne sais pas, c’est que pour l’entraîner, j’ai décidé un jour de lui remplir la bouche de ce que je j’avais fait, une belle grosse crotte. Je lui ai scotché la bouche et il a dû lutter toute la nuit pour avoir la bouche vide à mon réveil !
- Ah je ne savais pas, en fait je suis une petite joueuse comparée à toi !
- Il est vrai que je ne suis pas trop scato, sauf en petites quantités, mais ce jour-là je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ai eu un sursaut de sadisme. J’ai eu envie qu’il se dépasse, qu’il souffre en silence et que ça dure longtemps, très longtemps. Il m’implorait du regard, ses yeux étaient larmoyants. Il rougissait en déglutissant et retenait à chaque fois des hauts le cœur. Je me suis même masturbée en le regardant souffrir. Puis je me suis endormie, et le lendemain matin, sa bouche était vide !»
- Ah oui, c’est du lourd quand même, tu ne t’es pas vantée de ta cruauté !
Récompense Humiliante : Les Caresses de mes Deux Dominatrices
Maîtresse Elsa se contenta de répondre par un large sourire et me tapota les flancs en me disant:
- Brave bête, t’aime ça hein, c’est bon de lécher le cul sale de tes Maîtresses !
Ensuite, elle commença à me caresser le ventre en passant sa main par en dessous, puis elle me déséquilibra volontairement afin que je me couche sur le dos.
Et elle continua à me caresser le ventre tout en me disant que j’étais un bon chien, que j’avais fait un gros caca, que j’étais heureux d’être caressé.
- Hein t’es heureux mon chien ?!
Je compris que je devais être plus démonstratif. Aussi, je mis mes mains comme les pattes d’un chien, poignets pliés. Ensuite, je sortis la langue et commençai à haleter.
Du coup, elle me caressa la tête, le cou, la poitrine, le ventre, pas délicatement mais exactement comme on caresserait un chien. Ensuite, elle me tapota le bas ventre, le sexe, les couilles en répétant que j’étais un bon chien.
Sans volonté de m’exciter, elle prit mon « service 3 pièces » à pleine main comme un paquet, et le secouait de gauche à droite et de droite à gauche, comme si elle jouait avec, si bien que je ne pus retenir une érection.
- Julie, tu ne veux pas le récompenser, il a bien travaillé non ?
- Oui bien sûr, comment ?
Et comme elle l’avait déjà fait dans le passé, Maîtresse Elsa lui donna les indications :
- Tu retires ton jean et tu te rassois en allongeant une jambe, il fera le reste…
Je pris sa jambe entre les miennes tout en restant à genoux, je gardai les mains au sol, je la regardai dans les yeux tout en tirant la langue et en haletant exagérément,
Extase et Tendresse : La Soumission aux Maîtresses Dominatrices
Ensuite, je me mis à donner des petits coups de reins tout en frottant mon sexe sur son tibia, comme un petit chien en rut.
- J’adore, c’est vraiment super excitant, dit-elle.
Submergé par l’excitation mêlée de honte, mes halètements se firent plus sonores. Ma langue tirée me faisait baver outrageusement. Mes coups de reins s’accéléraient, et dans un râle retentissant, j’éjaculai sur sa jolie jambe en des jets si forts que l’un d’entre eux atteint le haut de sa cuisse.
Je tombai d’épuisement et posai ma tête sur Maîtresse Julie, une joue sur ses cuisses. Elle ne dit rien mais caressa ma tête avec une infinie douceur, pas comme on caresse un chien, mais comme on caresse son amoureux. J’en fus tellement ému que mes yeux se firent humides.
Après ce moment hors du temps, Maîtresse Julie essuya sa jambe, se leva, me détacha et m’aida à retirer toutes mes protections. Ensuite, je fus autorisé à rejoindre ma couche dans le débarras.
Maîtresse Elsa me souhaita une bonne nuit avec une voix douce et un regard plein de bienveillance et de tendresse. Maîtresse Julie me souhaita aussi une bonne nuit mais ajouta que demain je ne serais plus leur chien mais leur esclave sexuel.
Je n’y réfléchis même pas, je m’endormis avec le souvenir des caresses de Maîtresse Julie et le regard de Maîtresse Elsa lorsqu’elle me souhaita une bonne nuit. J’étais comblé.
A suivre
