Au service de ma femme dominatrice
Lorsque je lave les instruments de ma femme dominatrice et de son amie, j’en profite également pour me faire une toilette. Mon visage a été souillé comme jamais et ce n’est que le début. Je ne peux pas dire que j’ai oublié ce que Viviane m’a introduit dans l’anus, mais j’arrive à en faire abstraction. Ainsi, je ne me pose même pas la question de la fuite et de ce fait, je m’aperçois d’une certaine lâcheté dont elles savent très bien tirer parti.
Ensuite, je vais directement à la cuisine et pour adoucir leurs humeurs éventuelles, je prends soin de bien présenter le plateau de café en y ajoutant une petite coupelle de gâteaux trouvés dans un des placards. Je vais vers la véranda et constate qu’elles se sont toutes deux rhabillées et m’attendent tranquillement autour du salon de jardin. J’ai de la chance que celui-ci soit vaste. A ce niveau-là, on peut plutôt parler d’un parc. Dès que je me penche pour poser le plateau sur la table, je ne manque pas se sursauter quand Amélie glisse subrepticement ses doigts sur la raie de mes fesses.
-Continue ton service mon mignon, il ne faut pas t’interrompre pour si peu !
Je m’emploie donc à la tâche et elle de continuer à descendre pour venir lentement jusqu’à mes testicules. Ce qui provoque encore une érection comprimée ! Elle s’attarde sur ma bourse qu’elle enserre ensuite.
Revanche pour ma femme dominatrice
-Tu sais que cela fait un moment que je te regarde toi et ta façon de traiter mon amie. Tu récoltes ce que tu as semé. Je te trouve bien foutu et j’ai toujours eu des arrières pensés à ton égard. Je ne l’ai pas caché à Viviane. Elle m’a dit que tu terminerais, un de ses quatre dans mon lit. Je ne pensais pas que j’aurais en plus les pleins pouvoirs sur toi. Mais nous verrons ceci plus tard. Viviane ? Tu voulais prévenir Damien de la prochaine étape je crois ?
-Oui ma douce. Tu vois Damien, nous sommes animées tout comme toi de pulsions que ton comportement a dirigé vers un certain sadisme. Hors, nous ne sommes pas méchantes de nature. Mais tout se paye ! J’apprécie ton « sens du devoir », mais je pense que tu seras vite dépassé, aussi j’ai décidé de garder les services de la Jolie Madiha que tu avais choisie pour les tâches ménagères. Tu n’as jamais réussi à la mettre dans ton lit car sous le même toit que moi, cela représentait un risque. Moi j’y suis parvenue !… Et sans que tu ne voies rien apparemment à la tête que tu tires quand je t’annonce cela !?… Qu’est ce qui te surprend le plus ? Le fait que je sois bisexuelle ou que ce soit Madiha qui le soit ? …
Je sais que tu tu t’es bien gardé de faire des allusions à Amélie, mais la pauvre Madiha en a subi beaucoup et quelques attouchements avec des menaces de licenciement si elle ne se taisait pas. Le moyen de pression sur elle était facile car tu sais qu’elle a besoin de ce travail pour subvenir aux besoins de sa famille restée à Agadir. lorsqu’elle travaillera ici, tu seras son second et donc sous ses ordres à elle aussi.
Fin de matinée tranquille
Je ne réponds rien à tout ça. D’ailleurs qu’aurais-je pu dire pour ma défense ?
-Bon, je vois que tu comprends et acceptes car qui ne dit mot consent. Tu as de la chance avec Madiha, car tu lui plaisais bien sans ton humour lourdaud. En guise d’excuses, tu vas passer un entretien avec elle et tu feras bien sûr tout ce qu’elle te demandera. C’est bien compris ?
Ce ton ne souffrait d’aucune ambiguïté quant à la réponse à rendre. J’acquiesce et ensuite ma femme dominatrice m’invite à m’asseoir à table avec elles et boire le café. Je suis complètement déstabilisé. Elles rigolent énormément et j’ai du mal à suivre les divers conversations. Je suis dans un état second.
La fin de matinée se passe tranquillement et elles m’aident même à préparer le repas (sage décision aux vues de mes talents de cuisinier…). Nous mangeons également dans la véranda et je m’occupe du service. Je n’ai pas fini de servir le café qu’on sonne à la porte.
-Tu peux aller ouvrir, c’est ton rendez-vous de cet après-midi qui arrive et oui tu y vas comme ça si tu avais dans l’idée de poser la question.
Arrivée de Madiha, la femme de ménage
La peur me saisit à nouveau. Ce qui m’attendait m’était revenu à l’esprit à la sonnerie, mais j’en avais oublié « ma tenue »… Je me dirige sans empressement vers l’entrée et ouvre la porte en prenant soin de rester caché au maximum derrière. Madiha se tient la avec ses longs cheveux ondulés noirs et ses deux perles d’yeux noirs également, remplis de malice en me voyant. Elle porte une très longue robe ample noire arrivant à ses chevilles avec un décolleté très discret, des bas nylons sans doute et de magnifiques escarpins noires à talons haut.
-J’ai failli attendre, cela risque de se payer !
Elle parle très bien français, mais son accent ne laisse pas de doute quant à ses origines. Elle entre et tandis que je referme la porte, elle me claque les fesses,
-Ouh ! Je sens qu’on va passer un bon moment ensemble. Quel cul !
Au service de Madiha
Sitôt terminée sa remarque, elle se dirige vers le salon. Je la suis tant bien que mal avec mes chaînes à mes pieds. Ensuite, je l’avertis qu’elles sont dans la véranda et s’y rend prestement. Je les rejoins pour les entendre se dire bonjour poliment, quand ma femme lui tend une clé une laisse pourvue d’un collier de cuir :
-C’est la clé d’emprisonnement de son sexe et le collier que vous m’aviez demandé Madiha. Le reste des jouets et ustensiles est dans la chambre que vous avez aménagée.
Un sourire entre les deux femmes et :
-Merci madame, j’en ferais bon usage.
Elle se retourne vers moi et me place le collier et moi de me laisser faire.
-A quatre pattes mon petit chien !
Je ne cherche même plus à comprendre et m’agenouille. Elle m’entraîne aussitôt dans le couloir des chambres en tirant sur la laisse et m’emmène ainsi dans une pièce que l’on réserve aux invités.