Début de ma soumission
Mon histoire d’étudiant soumis commence ce soir là, un samedi de septembre pour être précis. La matinée a été consacrée à un devoir de quatre heures sur un sujet de philosophie. A midi, nous sortons tous du lycée et nous attardons pour discuter un peu. C’est Emilie, la fille la plus enjouée de la classe qui propose une sortie le soir-même. Son caractère surprend toujours autant que son physique. Grande et costaud, elle arbore une poitrine opulente et une silhouette toute en formes qu’elle ne cache pas. Son visage, marqué de cicatrices d’acné qu’elle camoufle sous son fond de teint, est encadré de cheveux blonds ondulés. Ses yeux bleus respirent la malice et elle ne rate jamais une occasion de faire rire et de détendre l’atmosphère. Rendez-vous est donc fixé, le soir à 21h, sur la place de la Comédie, près de la fontaine des Trois Grâces.
A cette époque là, j’habite un appartement situé à une dizaine de minutes à pied du point de rendez-vous. C’est sans me presser que je m’y rends, vêtu assez simplement d’un jean et d’une chemise légère pour ne pas trop souffrir de la chaleur encore présente en ce mois de septembre. Une dizaine de personnes sont déjà là. Je reconnais Emilie qui me fait un grand sourire. Marine, Ada, Marie, Carole, Marina, Pauline, toutes sont là. Un seul autre garçon est présent : Ludovic. Il ne me fera pas concurrence, tout le monde connaît son homosexualité, affichée au grand jour.
Soirée entre étudiants !
Notre groupe d’une dizaine de jeunes en quête d’évasion se dirige vers un bar musical d’une rue attenante à la place de la Comédie : le Barberousse. Il s’agit d’un bar auquel on accède en descendant une volée d’escaliers. La pièce unique est tout en longueur, étroite, bordée d’un comptoir d’un bout à l’autre. La décoration a pour thème la piraterie et on y boit surtout du rhum arrangé, acheté en bouteille à 50F. Le bar est vite rempli et il faut se faire une place dans ce long couloir pour rester groupé.
Très vite, les bouteilles s’enchaînent, dans la pénombre musicale. Les fumées des cigarettes d’un temps où il était encore permis de fumer dans les bars s’élèvent et ce cocktail de nicotine, d’alcool et de musique suffit à faire oublier les premières semaines de labeur.
Je ne suis pas grand danseur. Je déteste carrément cela. Mais dans un groupe composé essentiellement de filles venues pour cela, il devient vite difficile de ne pas danser quand l’alcool termine de lever nos dernières inhibitions. Corps à corps, nous dansons et buvons des heures durant. Je me sens bien et ne pense plus à la tonne de travail demandé pour la semaine à venir. Vers minuit, Emilie me demande d’approcher. Elle m’explique qu’elle ne va pas tarder à rentrer avec Silva, sa colocataire. Elles habitent ensemble dans un appartement derrière l’opéra. Elles ne veulent pas rentrer seules et veulent que je les raccompagne. L’appartement et le bar étant assez proches, j’aurais tout le temps de revenir si je le souhaite.
Fin de soirée avec 2 amies !
Nous partons donc tous trois et remontons à la surface où l’air de la rue en cette fin d’été nous fait frémir. Sur le trajet, peu de monde. Nous arrivons devant la porte d’un petit immeuble, le trajet n’a duré que cinq minutes. Emilie m’invite à monter pour « prendre un dernier verre », histoire de me remercier de les avoir galamment escortées. La nuit est encore jeune, j’accepte ne sachant pas encore que cette acceptation va changer beaucoup de choses pour les deux années à venir.
L’appartement est au troisième étage. Il y a une cuisine, une seule chambre pour Emilie et un salon qui comporte, outre un canapé, un second lit une place. Le salon sert de chambre pour Silva. Silva est tunisienne. 1,55m, la peau mate, un corps délicieusement en rondeur, jusqu’à son visage poupin et ses yeux d’un noir profond. Des cheveux ondulés très noirs lui tombent sur les épaules. Elle ne parle pas souvent, très timide et discrète mais sourit d’un bouche splendide à chaque instant.
Émilie nous verse à chacun un verre de vodka-pomme. A ce stade de la soirée, j’aurais dû limiter ma consommation d’alcool, mais à ce stade de ma jeunesse, l’envie d’expérimenter l’emporte sur la raison. Tout en buvant, alors que nous sommes tous trois manifestement ivres, la conversation dérive vers l’amour et le sexe. Emilie ne s’est jamais cachée d’être une fille peu farouche, embrassant et couchant avec de nombreux garçons. Elle les utilise pour « vivre sa jeunesse » comme elle dit et n’hésite pas à nous raconter des détails sur les lieux insolites ou les pratiques avancées qu’elle a pu réaliser avec certains d’entre eux.
Encore puceau !
Silva, sous l’effet de l’alcool, répond aux questions d’Emilie et reconnaît en riant fort ne pas avoir connu le sexe. Puis c’est mon tour d’être questionné. J’aimerais partir maintenant, éviter l’embarras de dévoiler ma virginité. Pourtant l’alcool me cloue sur le canapé du salon et me délie vite la langue. Je n’ai jamais rien fait d’autre que d’embrasser deux filles.
–Voilà, j’en étais certaine! Il est puceau ! Ca se voyait trop ! : s’écrie Emilie en s’esclaffant. Remarque, avec le nombre de filles dans la classe et la moitié des garçons qui sont homos, ça va pas durer c’est sûr !
Elle nous ressert un nouveau verre que je m’empresse de porter à mes lèvres en riant pour cacher ma honte.
– Silva aurait bien besoin d’un mec en ce moment, hein Silva ? Si on le remerciait de nous avoir raccompagnées ?
Assise à côté de moi, Emilie pose la main sur ma cuisse et remonte vers mon entrejambe d’une main sûre. Mon sexe gonfle et elle s’en rend compte en souriant. Elle ouvre la braguette de mon pantalon et me demande :
-Tu peux choisir laquelle d’entre nous te fera du bien. Celle que tu choisis va te faire une bonne branlette, tu l’as bien mérité ! Tu n’as même pas cherché à rejoindre les autres au bar…
Etudiant soumis et fétichiste des pieds !
C’est le moment où jamais. Je retiens la main d’Emilie. J’explique à mes deux hôtes mes penchants d’étudiant soumis, sans pour autant rentrer dans les détails de mon fétichisme des pieds. Silva s’en amuse, Emilie a l’oeil qui brille.
-Changement de jeu ! tu vas choisir celle de nous à qui tu vas faire du bien !! lance-t-elle dans un fou rire difficilement contrôlé.
Je ne sais plus où me mettre. La situation m’échappe complètement. Emilie me pousse à choisir en riant : Silva ou elle ? Devant mon hésitation, elle choisit pour moi. Ce sera Silva. Elle lui offre un moment de plaisir, une première expérience pour la remercier d’être une bonne colocataire. Je proteste que je n’ai choisi personne, mais à ce moment là, c’est la vodka qui laisse s’exprimer ce que nous refoulons chaque jour.
-Allez, ne fais pas le timide. C’est une expérience de plus pour toi, avec une très belle fille. Ecoute mon conseil, carpe diem. Sais tu si une telle occasion se reproduira un jour ?
Emilie prend le contrôle de la situation !
Elle n’a pas tort. Combien d’occasions gâchées au lycée, de filles que je n’ai pas abordées par peur d’être refoulé… Comme en transe, je me lève du canapé, contourne la petite table basse où était posés les verres et me poste devant Silva, assise sur le lit. Elle semble aussi incrédule que moi. C’est Emilie qui donne l’impulsion. Elle appuie doucement sur mon épaule et je me retrouve à genoux devant la belle Tunisienne. Elle porte un tee-shirt jaune, un jean et des converses.
Emilie veut que les choses aillent vite, mais Silva reste immobile, souriant toujours. Je ne sais ce qu’elle pense.
-Enlève ses chaussures !
L’ordre est beaucoup plus sec que ce qui précède. Je défais les lacets, et extrait les pieds de Silva de leur cocon. Elle est pied nu. Ses pieds sont beaux, petits, bien soignés. Elle ne porte pas de chaussettes.
-Silva, aide le un peu, enlève ton pantalon !
Elle ouvre sa ceinture et déboutonne son pantalon, puis se lève pour le faire glisser à ses pieds. Je suis là, à genoux devant Silva, ma tête à quelques centimètres de sa culotte blanche. Elle baisse la tête et me sourit, puis ses deux mains se glissent sous l’élastique de la culotte et la font glisser à ses pieds. Elle s’en dégage puis se rassied devant moi.
Face au sexe d’une femme pour la première fois !
Pour la première fois, je fais face au sexe d’une femme. Il est dans son état le plus naturel, non épilé, couvert d’une toison de poils très sombres, luisants et frisés.
Ses cuisses sont charnues et légèrement moites. Je reste immobile dans cet ultime instant, celui qui sera mon dernier d’innocence.
-Tu attends quoi !? Vas-y, elle attend son soumis ! : lance Emilie.
N’ayant aucune expérience en la matière, en une époque où le porno sur internet n’existant pas encore, je me lance. J’introduis ma langue au bas de cette fente noire et je remonte d’un coup vers le haut, en appuyant profondément et je reproduis ce geste plusieurs fois de suite. J’ai l’impression d’être un animal, lapant son lait et je me dis que je fais vraiment n’importe quoi. Mais contre toute attente, Silva soupire d’aise. Elle quitte sa position assise pour s’allonger sur le lit, ses pieds seuls touchant le sol. Je sens l’odeur de son sexe, de sa transpiration, tout cela m’enivre.
-Ne t’arrête pas ! Elle aime ça tu vois !
Premier cunnilingus !
Alors je continue, sur le même rythme mécanique, de haut en bas. Les précisions anatomiques de l’entrée du vagin ou du clitoris me sont inconnues à ce moment là. La chance du débutant, la persévérance peut être… Après de longues minutes, Le ventre de Silva est pris de tressaillements et sa respiration se fait plus saccadée. Elle approche ses doigts de son clitoris et me demande de rentrer ma langue le plus profondément possible. Je m’exécute et après quelques instants, elle jouit. Elle retrouve sa position assise et presse d’une main ma tête contre sa vulve en soupirant.
Emilie est rayonnante et nous félicite tous les deux. Mais ce n’est pas fini, nous annonce-t-elle. Elle veut offrir à Silva un petit bonus, car, dit-elle, on ne sait jamais quand une occasion de représentera.
Ainsi, elle lui demande de se rallonger sur le dos et de remonter ses jambes sur le bord du lit. Ensuite, elle prend ma tête et m’approche alors de l’anus de Silva qui s’offre devant moi. Elle n’osera pas. Je viens d’être utilisé pour donner du plaisir à sa colocataire, elle n’osera pas me demander cela.
-Lèche lui le cul. Commence tout doucement autour, puis dessus et après tu mets ta langue dedans.
Fin de ma première expérience d’étudiant soumis !
J’hallucine. Je veux protester. Elle se fait plus douce et caresse mes cheveux. Silva a la tête posée sur un coussin et se remet lentement de ses émotions. Emilie me rassure, rien de tout cela ne sortira jamais de cet appartement. C’est juste un moment, une expérience.
Alors je lèche, comme je n’aurais jamais cru en être capable. Ma langue se promène autour de l’anus Silva. Le goût est étrange : mélange de sueur et de l’odeur si caractéristique de cet endroit de l’anatomie. Je bande fort et mon excitation vainc les dernières réticences. Je lèche avec passion le cul de Silva, pendant de nombreuses minutes. Puis Emilie me demande d’arrêter. Elle annonce la fin des hostilités et demande à Silva de se rhabiller. Elle me propose de dormir sur place.
Je refuse et rentre à pied chez moi. Je n’ai pas de souvenir du trajet retour d’une vingtaine de minutes.
Arrivé chez moi, je m’allonge habillé sur le lit et me réveille dans la matinée, très tard.
J’ai très mal à la tête, ma bouche est sèche et un étrange goût y persiste…
J’aime beaucoup le reveil 😉
Vivement la suite merci d’avance
J’adore !
merci