Esclave de la femme que j’aime mais aussi de son amie…
Les journées suivantes se ressemblaient. J’étais devenu un véritable esclave, pas seulement un homme soumis. D’après ma Maîtresse dominatrice, un esclave est la propriété de quelqu’un alors qu’un homme soumis non. Il s’agit juste d’un trait de caractère.
Avec le nouveau contrat de soumission rédigé par ma conjointe, J’avais des restrictions et des obligations au quotidien. Ainsi, je devais faire les tâches ménagères, les courses et m’occuper d’elle. Cependant, la chose la plus compliquée pour moi était de rester en cage de chasteté pendant 15 jours. C’était tout nouveau pour moi. La difficulté se ressentit au bout de 5 jours, d’autant plus que ma Maîtresse dominatrice s’habillait plus sexy qu’avant !
Mais le résultat pour elle était excellent. Ainsi, jamais auparavant, je me serais occupé du linge ou d’autres tâches ménagères. Maintenant, je devais laver ses petites culottes. Le plus étrange dans tout ça, c’est que je commençais à adorer ça !
Homme soumis en cage de chasteté
Les premiers jours en cage de chasteté se passèrent assez facilement. Cependant, après quelques jours, je sentis une douleur au niveau de mes bourses qui ne demandaient seulement qu’à être libérées.
Presque un soir sur trois, cela dépendait de l’humeur de ma Maîtresse, celle-ci m’attachait sur une chaise de manière à ce que je ne puisse bouger aucun membre. Ensuite, elle entamait un strip-tease des plus sensuels autour de moi. Jamais, elle ne m’avait fait ça auparavant alors que nous étions ensemble depuis 4 ans.
Cela aurait dû me réjouir. Cependant, le fait de ne pas pouvoir toucher son corps qui se promenait autour était réellement frustrant. De plus, cela était couplé à la douleur au niveau de mon sexe enfermé en cage de chasteté. Je la suppliais d’arrêter son strip-tease alors qu’avant je l’aurai supplié d’en faire un ! Elle prenait mon sexe encagé et l’enfournait entièrement dans sa bouche imitant une fellation et malheureusement je ne ressentais aucun plaisir.
Intenses douleurs causées par la cage de chasteté !
Arrivé à la deuxième semaine, les douleurs au niveau de mon penis et de mes bourses s’intensifiaient. J’allais au travail avec ma cage de chasteté. Ainsi, je pensais, sans arrêt à ma femme et cela diminuait ma concentration. Le soir en rentrant à l’appartement, ma journée n’était pas finie. L’homme soumis que j’étais devenu, devait m’occuper de sa Maîtresse dominatrice, enlever ses chaussures lui faire un massage, lui servir un apéro et lui allumer la télé. Ensuite, je préparais le repas du soir. En la servant, elle voyait que je me tortillais de douleur mais elle ne faisait rien pour autant.
Chaque soir, j’attendais au pied du lit tout nu ma petite femme pour savoir si j’avais le droit de dormir dans le lit avec elle ou à ses pieds sur le parquet. Ayant une maîtresse aimante, elle me laissait quand même souvent dormir dans le lit avec elle. Ainsi, je dormais seulement par terre quand je faisais du mauvais travail.
Un soir, elle remarqua mes bourses qui avaient gonflées considérablement, ce qui expliquait mes douleurs. Elle me fixa droit dans les yeux et me fit un sourire de victoire.
Homme soumis au service de sa copine !
Ensuite, elle m’ordonna de me mettre sur le lit et sur le dos. Elle prit le temps de se déshabiller. Totalement nue, elle m’enjamba et tenta de faire pénétrer mon penis dans son vagin. Logiquement, mon penis encagé ne tenait pas puis ma maîtresse me fit:
-C’est dommage pour toi, je comptais utiliser ton sexe pour une fois….. Tant pis !
Elle monta sur mon visage puis enfonça mon nez dans son vagin en bougeant son bassin de haut en bas. Après un long instant, elle eut son orgasme tant recherché. J’ai cru que cela ne finirait jamais. Puis, elle conclut en souriant:
-Tu vois, même avec ton petit nez, j’ai un orgasme, alors que ta petite bite n’arrive même pas à tenir en moi !
Son travail fini, elle me jeta du lit comme un malpropre et m’ordonna de récurer l’appartement. Pourquoi ? Je le saurai certainement bientôt. Elle termina par un tendre « je t’aime » qui sortait du fond coeur.
Exténué, le lendemain matin, ma Maîtresse me fit une confidence:
-Une amie va venir ce soir. Je lui ai parlé de toi et de ta transformation en homme soumis. De plus, je lui ai expliqué tout ce que tu faisais à la maison. Elle aimerait en faire autant avec son homme. Elle va donc s’entraîner avec toi. J’espère du coup que l’appartement est nickel !
Sa copine veut aussi un homme soumis !
Une amie ? D’accord, j’espère juste ne pas la connaître sinon je ne saurais pas où me mettre ce soir. Et puis son amie n’a jamais dominé son homme, cela devrait donc se passer en douceur !
Ce soir là, on arrivait au bout des 15 jours de chasteté en plus. Ainsi, je pensais plus à ma délivrance qu’au dîner de ce soir. A 19h, j’avais préparé l’apéro. Ma copine avait hâte que son amie arrive. Elle était excitée, ce qui me faisait un peu peur.
Enfin, nous entendîmes la sonnette de l’entrée retentir, son amie était arrivée. Ma maîtresse lui ouvrit toute heureuse, puis la fit entrer dans le salon. J’étais à genoux avec un caleçon pour ne pas effrayer son amie. Quand elles arrivèrent dans le salon, j’étais tout boulversé. Il s’agissait d’Elodie, une amie en commun. On se connaissait très bien, même trop bien pour qu’elle me voie dans cet état.
Cependant, Elodie elle, ne semblait pas choquée. J’imagine que ma copine l’avait déjà mise au parfum de ce qu’elle me faisait subir. Agenouillé devant elle, elle me fixa yeux dans les yeux avec un sourire plein d’ambition. Ma maîtresse décida de casser la glace:
-C’est comme ça que tu dis bonjour à Elodie ?
Je me mis à ramper et à embrasser les pieds de notre amie. La dernière fois que je l’avais vue, je m’étais amusé à faire des blagues misogynes (second degré) lors d’une soirée.
– C’est un homme soumis comme lui là que je veux : dit Elodie.
-ne t’inquiète pas tu l’auras ! Il ne m’a pas été difficile de le dresser et puis tu vas voir ce soir tout ce qu’il peut faire. C’est simple, tu as une envie de quelque chose, peu importe ce que c’est, il te comblera. Si ce n’est pas le cas, tu le punis, comme un chien.
-J’adore l’idée ! J’ai hâte de commencer avec lui puis ensuite avec mon copain. Si seulement j’avais su ça avant !
Conseils pour transformer un homme en homme soumis !
Ce dialogue entre ces deux femmes me faisait peur. Je voyais qu’Elodie n’avait pas avoir froid aux yeux malgré son manque d’expérience.
Ensuite, je servis l’apéritif. J’eus le droit de boire un coup avec elles. Nous discutâmes tous les 3. J’étais gêné d’être en petite tenue. Ensuite, Elodie me posa quelques questions:
-Comment as-tu fais pour en arriver là ? Que me conseilles-tu pour réussir à faire de mon copain un homme soumis, enfin plus précisément un esclave ?
Je lui dis que s’ils s’aimaient vraiment tous les deux, la moitié du chemin était déjà fait. Ensuite, j’ajoutai que beaucoup d’hommes adoraient que leurs femmes prennent le dessus. Il fallait juste jouer de son charme et laisser de moins en moins de liberté à un homme soumis. De plus, il fallait prendre cela comme un jeu. Enfin, je la réconfortai en lui disant que Max, son copain, avait une nature assez soumise, car il m’en avait fait la confidence.
Elle était contente de que je venais de lui dire, elle but son verre de vin rouge cul-sec puis me donna un premier ordre.
-Lèche les semelles de mes chaussures !
L’amie de ma copine me donne un premier ordre !
Je me mis à la tâche sans me poser de question. Quelle femme ! Elle apprenait quand même vite ! Ses semelles étaient sales et poussiéreuses. Après quelques minutes, elles étaient comme neuves et Elodie inspecta le travail:
– C’est vraiment trop bien, dès qu’on veut que quelque chose soit fait, et bien c’est fait ! Rien à dire ! Mais ça m’excite un peu trop, ça me démange en bas.
-eh bien sers toi-en, il est à tes pieds, il n’attend que ton ordre, utilisé pour ce que tu veux tu as carte blanche : dit ma maîtresse à Elodie.
-Parfait ! Tu vas me lécher la chatte pendant tout l’apéro alors ! Et puis enlève moi ce caleçon !
-D’accord c’est comme tu veux :lui dis-je.
Je reçus de suite une CLAQUE !
-Alors déjà, tu me vouvoies, je ne suis plus ta pote et ensuite tu m’appelles madame Elodie.
-oui madame Elodie !
Une première claque…
Je m’exécutai donc. Ma cage de chasteté était visible. Les deux femmes commencèrent à glousser pendant que je travaillais à assouvir les pulsions de madame Elodie.
Mon sexe était tellement rouge ! Ma maîtresse expliqua à Elodie que ça faisait 15 jours que je n’avais pas joui. Elle ajouta que cela devenait compliqué pour moi. Aussi, elle avait décidé de me faire « cracher la purée ce soir ». J’étais tellement heureux d’entendre ces paroles.
– Ce sera aussi l’occasion pour toi de voir la motivation que peut avoir un homme quand il veut jouir ! : dit ma maîtresse.
Après le dîner, les choses sérieuses commencèrent pour moi.
Ma maîtresse ouvrit le cadenas pour enlever ma cage de chasteté. En moins de 10 secondes, mon pénis se raidit à son maximum. Les deux femmes avaient l’air comblé en voyant le résultat. Elodie me prit sauvagement par les cheveux et me colla la tête au niveau de ses fesses.
-Je veux que tu me laves le cul. Allez lèche !
Elle n’avait vraiment pas froid aux yeux. Je me disais qu’elle avait vraiment ça dans le sang. Cependant, je ne réfléchis pas plus et je me mis à laver son cul avec envie. Auparavant, j’aurais beaucoup réfléchi avant de me décider à poser ma langue timidement entre ses fesses. Mais ma libido était tellement forte !
-Tu vas ensuite baiser mes jambes avec ton penis, toujours en me lavant le cul ! Attention si d’ici 30 secondes, tu n’as pas joui, on va devoir prendre les choses en main !
Je m’appliquais mais c’était difficile pour moi de me concentrer à lécher son cul et de baiser ses jambes. J’étais trop excité pour faire de bons va-et-viens entre ses jambes serrées. Et malheureusement, je n’arrivai pas à jouir au bout de 30 secondes. Elle se retira en se moquant de moi, puis ma femme prit le relais pour la punition.
Puis une autre punition pour l’homme soumis
Elle me chopa par le cou pour me relever, et me mit un coup de pied dans les « bijoux de famille », me faisant tomber par terre à cause de la douleur.
-si tu n’arrives même pas à t’en servir, je ne vois pas pourquoi t’en aurais ! Tu n’y vois pas d’inconvénient si je te les latte du coup ?
Je la suppliai de ne pas le faire en lui baisant les pieds et lui disant de ne pas le faire que je l’aimais. Elodie voyait en direct l’ampleur du pouvoir que possédait la femme sur moi ce qui l’excitait encore plus.
-J’ai envie de lui donner la fessée, donne le moi : dit Elodie.
Elle me mît sur ses genoux et m’infligeât une bonne dizaine de fessées toutes sévères. Je criais de douleur. Mes fesses étaient toutes rouges.
Les deux femmes s’excitaient de plus en plus et s’amusaient de cette situation. Elles s’embrassèrent. Je n’ai jamais vécu un moment aussi érotique de ma vie.
-Allez on passe aux choses sérieuses. Allonge toi par terre, on va retirer toute la pression que tu as en toi : me dit ma maîtresse de mordillant ses lèvres.
Allongée par terre, ma femme rentra mon penis en elle, c’était trop bon, mais elle ne fit aucun mouvement. Elodie se mit à genoux sur ma tête et elles s’embrassèrent encore toutes les deux, mais je ne pouvais pas voir ce beau spectacle.
Orgasme ruiné mais soirée extraordinaire !
Elodie remplaça ma femme en rentrant mon penis en elle mais elle ne fit aucun mouvement non plus. C’était frustrant et je bouillonnais d’impatience à ce moment là. Elles se relayèrent plusieurs fois, jusqu’à ce qu’elles entament, chacune leur tour, une fellation du tonnerre.
Elles s’arrêtaient à chaque fois au bord de l’orgasme et me disaient que je devais être patient mais je ne tenais plus.
Le faisant exprès, ma femme me branlait et s’arrêtait à un point de non retour. Je ne pouvais plus me retenir. J’ai lâché tout ce que j’ai pu. Je n’ai jamais eu un orgasme aussi ruiné de toute ma vie.
Les deux femmes riaient et se félicitaient de leur victoire. Elodie était toute tremblante de bonheur, elle se disait qu’elle pouvait avoir cette vie là.
Ma femme me remit, aussitôt, ma cage de chasteté et me félicita même pour ces deux semaines. Elle ajouta qu’elle était heureuse d’être avec moi. En fait, subir tant de choses pour la femme qu’on aime me parut anodin mais ce n’était peut être pas le cas pour tout le monde.
Il se faisait tard. Elodie avait bien bu et nous avions décidé qu’elle devait rester dormir. Il y avait peu de place dans notre petit appartement, alors ma femme décida que si Elodie était d’accord, elle dormirait avec elle dans le lit et moi sur le canapé.
C’était une soirée tellement extraordinaire pour moi, que j’étais toujours aussi excité que la veille. Peut être cela est dû à mon orgasme ruiné. D’habitude, après avoir lâché, j’étais moins intentionné et avait envie de dormir mais là, j’avais envie de continuer la soirée. J’ai donc décidé de les rejoindre dans la chambre pour dormir à leurs pieds plein de rêves dans la tête.
Chapitre précédent : La cage de chasteté : jeune homme soumis, une première expérience (2)
Tres excitant de m’imaginer dans une cage et d’etre À la merci de deux dominatrices.
Comment ne pas désirer en arriver à ce niveau de soumission même si être désavoué à ce point, jusqu’à ce niveau auprès d’amis me semble complètement inaccessible psychologiquement…
A voir si un jour, on peut en arriver jusque là !