Maitresse Margot, organisation de la nouvelle vie du soumis (6)

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Après cet épisode, les choses s’étaient un peu calmées sans vraiment changer de registre. Une fois Maîtresse Margot rassasiée, elle avait ôté les menottes de Pierre, son nouveau soumis, et son plug, au grand soulagement de celui-ci.

Elle avait par ailleurs donné la permission à Pierre de s’habiller. Il avait dû revêtir une paire de bas blancs, une petite jupe d’écolière et un corset que recouvrait un chemisier blanc. Aux pieds, une paire de ballerines. Il avait aussi été affublé d’une ridicule perruque rousse, avec une coupe au carré. Pas de culotte!

En revanche, elle était allée chercher une paire de pinces à linge dont elle s’était servie pour maintenir la jupe de Pierre levée à l’arrière. Ainsi, son derrière nu était disponible en permanence, vulnérable aux coups de la cravache qui n’avait pas quitté Maîtresse Margot depuis l’interlude précédent.

Suivant les instructions de cette dernière, Pierre avait rangé ses affaires dans la chambre. L’exercice avait été parsemé de quelques coups de cravache sur le séant de Pierre, encore endolori du traitement qu’il avait reçu la veille.

Maîtresse Margot avait insisté pour que Pierre tienne sa cellule de soumis parfaitement propre et rangée à tout moment, sans quoi il lui en coûterait.

Nouvel emploi du temps concocté par Maîtresse Margot

Ensuite, ils s’étaient attaqués à son emploi du temps. Une fois qu’elle en avait plus su sur les obligations extérieures de Pierre, Maîtresse Margot avait tranché :

  • Bien. Les cours à la faculté ne semblent pas poser de problème particulier. Ils ont lieu à des horaires réguliers, et dans la journée.  Je te veux ici dès que tu as la possibilité de rentrer, tous les jours. Dès que tu rentres, tu abandonnes tes habits de tous les jours et tu mets ton collier et les vêtements de soumis que je t’imposerai. Compris puceau ?
  • Oui Maîtresse!
  • Par contre, ton petit boulot va me poser problème. Il te prend beaucoup trop de temps pendant tes week-ends. Entre ça et les tâches ménagères que je vais t’imposer, tu risques de ne pas pouvoir tenir. Pourquoi l’as-tu pris ?
  • Maîtresse, c’est parce que ma bourse d’étude ne me suffisait pas à payer mes frais!
  • Maintenant que tu es nourri et logé gratuitement, tu n’en as plus besoin. Cette activité est incompatible avec ta nouvelle vie. Tu vas quitter ce travail.
  • Bien Maîtresse, dit Pierre à contrecœur.

Pour lui, ce travail à mi-temps représentait plus qu’un simple gagne-pain. C’était un symbole de sa liberté, de son indépendance. Pierre n’avait jamais eu besoin de quiconque pour se débrouiller, et il en était fier, même si ses désirs les plus profonds avaient toujours crié la soumission.

C’était une contrainte réelle, au-delà du monde des fantasmes, sur laquelle il n’avait pas compté. Mais il connaissait les règles de sa nouvelle vie. Dès qu’il en aurait l’occasion, il quitterait son emploi au cinéma, pour se consacrer intégralement à sa Maîtresse.

  • Tu me remercieras plus tard, puceau. Les tâches que j’aurai à te confier te seront bien plus plaisantes que ce petit boulot.

Préparation du dîner

Ils avaient fait le tour d’un certain nombre de nouvelles contraintes que Pierre aurait à observer. Ensuite, Maîtresse Margot avait décrété qu’il était l’heure d’aller préparer le diner. En effet, le soir s’installait paisiblement.

Pierre l’avait suivie dans la maison principale, toujours accoutré en uniforme d’écolière. Sur place, Maîtresse Margot lui avait tendu un petit tablier qu’il s’était empressé de revêtir.

  • Tu sais cuisiner, puceau ?
  • Pas très bien Maîtresse!
  • Tu apprendras… de la manière douce, ou forte s’il le faut!

Sur ces mots, Maîtresse Margot avait abandonné sa cravache et s’était emparée d’une longue et large cuillère de bois.

  • Celle-ci ne sert pas à faire la cuisine. Du moins, pas directement. Puceau, penche-toi sur le plan de travail !
  • Oui Maîtresse, avait une fois de plus dit Pierre en abaissant son ventre contre la surface carrelée.

Ainsi positionné, avec la jupe encore relevée par les pinces à linge, ses fesses étaient à la merci du sadisme de Maîtresse Margot.

  • Je vais te donner de la motivation pour être bien concentré pendant ton premier cours de cuisine. Retiens la leçon, et dis-toi que si tes performances culinaires me déçoivent, tu auras droit à bien pire ! Compte les coups, puceau !
  • Oui Maîtresse, glissa Pierre un peu inquiet.

La mémorable fessée qu’il avait reçue la veille était encore visible sur son arrière-train, et la douleur ne l’avait pas quitté.

soumis

Punition surprise et non méritée pour le soumis!

 

Le premier coup s’abattit sur sa fesse gauche.

  • Un Maîtresse, fit Pierre en serrant les dents.
  • Deux, Maîtresse, dit-il encore en sentant la large cuillère lui meurtrir, cette fois-ci, la fesse droite.

Maîtresse Margot avait, apparemment, décidé de ne pas être spécialement cruelle. La douleur était là, présente, mais les coups n’étaient pas extrêmes. En fait, ils étaient dosés avec exactement assez de forte pour être un peu plus douloureux qu’excitants, tout en restant extrêmement excitants. Décidément, cette Maîtresse était une experte !

  • Sept, Maîtresse… Huit Maîtresse, articula Pierre qui respirait un peu plus fort désormais.

Comme lors de sa fessée d’hier, la correction de ce soir augmentait petit à petit en puissance. Les fesses de Pierre commençaient à le cuire, et il avait désormais du mal à ne pas gémir un peu.

Arrivé à quatorze, sa volonté céda « Aille, Quatorze Maîtresse …. Ouuhhh, Quinze Maîtresse ».

De l’oreille, il surprit un petit gloussement de Maîtresse Margot. Elle avait atteint son but, le faire gémir !

La leçon s’arrêta à vingt.

  • Dix coups par fesse. Comme ça, pas de jalouse. Alors, qu’est-ce qu’on dit à sa Maîtresse ?
  • Merci Maîtresse, avoua Pierre, qui, étrangement, était réellement reconnaissant pour cette punition non méritée.

Dîner à table avec sa Maîtresse! Quelle belle surprise!

Maîtresse Margot vint s’installer derrière lui alors qu’il était encore penché contre le plan de travail. Ses mains vinrent à la rencontre du fessier tuméfié de son soumis, puis commencèrent à en explorer la surface.

  • Mmmhh, quelle délicieuse chaleur tu dégages, puceau. Et quelle belle teinte rose vif ! J’aime que tes fesses soient ainsi. Une belle chaleur bien vivante, une belle couleur saine. Tu sais que tu as de très belles fesses mon puceau ?
  • Merci Maîtresse , déclara Pierre, flatté.
  • Ne me remercie pas trop vite. J’aime beaucoup fesser les belles fesses. Tu risques de souvent goûter mes châtiments. J’espère pour toi que tu aimes la douleur. Maintenant, au travail !

Il avait suivi les instructions de Maîtresse Margot durant la demi-heure qui suivit. Lorsque la coupe des légumes ne convenait pas, ou lorsqu’il mettait trop de temps à trouver tel ou tel ustensile, un vigoureux coup de cuillère sur l’une de ses fesses lui rappelait comment être plus assidu.

Il avait aussi dressé la table dans le salon, toujours sous les ordres de sa vigilante Maîtresse.

Contrairement à ce à quoi il s’attendait, ils avaient dîné normalement, à une table. Il n’avait pas été contraint à manger à genoux ou sur le sol, comme il aurait pu se l’imaginer plus tôt. Les repas semblaient être des moments de détente dans la dynamique qui s’installait entre eux.

Confidences de Maîtresse Margot sur sa vie pendant le dîner!…

 

Maîtresse Margot s’était, au cours du dîner, confiée plus en détail sur son style de vie et les raisons qui lui permettaient de le vivre.

  • Vois-tu puceau, ta cellule de soumis était, il y a de nombreuses années, celle de mon mari. Dieu le garde!

Un voile de tristesse passa fugitivement devant ses yeux noirs profonds. C’était donc ça !

  • En plus d’être un mari aimant, c’était un excellent soumis, dévoué, affectueux. Un accident me l’a ôté il y a désormais 8 ans. Nous n’étions mariés que depuis 3 ans.

Ces révélations mettaient Pierre mal à l’aise. La tristesse rémanente de Maîtresse Margot était palpable, et tout à fait opposée à l’entrain et à la joie de vivre qu’elle rayonnait habituellement.

Bêtement, Pierre ne put que répondre

  •  je suis désolé, Maîtresse!

Cela semblait la phrase standard de ce genre de situation, même si Pierre n’avait jamais vraiment compris pourquoi.

« Ne le sois pas, mon puceau. De l’eau a coulé sous les ponts. Et je vis désormais la vie que je souhaite. Mon mari avait une situation très confortable. Je sais que tu t’es posé la question de tout ceci », dit Maîtresse Margot en embrassant le vaste salon d’un geste du bras.

…et quelques indices sur sa nouvelle vie de soumis!

  • Il était négociant en vin, né d’une très bonne famille. De fait, en me quittant il m’a laissé de quoi vivre confortablement, sans problème matériel, pour le restant de ma vie. Après une longue période de convalescence, j’ai décidé de reprendre un soumis. La cellule était vide et fonctionnelle. En fait, tu es le troisième « locataire » de cette cellule. Deux autres soumis t’ont précédé. Ils sont chacun resté un an. Cette fois-ci, j’ai décidé d’étendre la durée à deux ans, afin d’être sûre d’avoir affaire à un soumis motivé. Tu es, en revanche, le premier puceau à venir vivre ici. J’ai longtemps rêvé de soumettre un puceau. Tu auras à m’assister au quotidien pour certaines choses. Vois-tu, j’ai fait de mes désirs une profession. Je reçois régulièrement des soumis pour dressage. Souvent, ce sont des hommes de très bonne situation, voire des hommes puissants et célèbres. Tu serais surpris de savoir combien de célébrités locales aiment se faire dominer ! Il arrivera que tu aies à m’assister lors de certaines séances. J’organise aussi parfois des soirées à thème ici même. Cette maison est beaucoup trop grande pour moi. Tout l’étage supérieur est aménagé en donjon. Sans vouloir me vanter, je n’ai jamais vu un donjon qui égalait le mien. Il sert de salle de jeu lors de ces grandes soirées. Samedi soir prochain, il y en a une de prévue. Tu feras le service avec les autres soumis. Ce sera l’occasion de te présenter aux Maîtresses les plus en vues de la ville !

Le rouge monta aux joues de Pierre ! Il allait être exposé en tant que soumis puceau à une foule d’inconnus dans moins d’une semaine !

  • Ta frayeur est palpable, mon puceau. Ne t’inquiètes pas, tout se passera très bien. Je suis sûr que mes invités vont t’adorer. Et puis, tu n’as pas à avoir honte de ton pucelage ici.
  • Bien Maîtresse!, bredouilla Pierre encore sous le choc. Serait-il à la hauteur lors de la vraie situation ?

De toute façon, Maîtresse Margot avait tranché, et ne lui laissait pas le choix de Quelle vie ce serait !

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