Il était 19h et je me trouvais dans ce bar en bas de mon bureau, et en fort belle compagnie. En fait, c’est Anna qui m’avait suggéré ce break. C’était une très jolie femme brune, élancée, qui s’habillait assez classiquement en tailleur et chemisier . Elle était arrivée en tant qu’assistante en compagnie de notre nouvelle directrice que tout le monde appelait « Madame » car à vrai dire, mis à part son nom, on ne nous avait pas dévoilé son prénom. Elle nous avait d’ailleurs demander de l’appeler ainsi.
Madame était tout aussi jolie qu’Anna, mais inspirait plus de crainte, de respect . Etait ce du à son habillement plus strict, plus sombre ? Etait ce le fait qu’on n’avait aucun échange avec elle ? Ce soir là je ne le savais pas encore mais l’ai bien vite appris.
Conversation avec Anna dans un bar autour d’un verre
J’étais donc dans ce petit bar au décor assez branché, ou raisonnait une musique un peu électro . Cela faisait presque 1 heure que nous nous y trouvions. Anna était passée à mon bureau et nous avions discuté de choses et d’autres, du travail, des loisirs et au bout d’un moment elle m’avait proposé de finir cette conversation autour d’un verre.
Elle parlait peu d’elle et toutes mes questions pour en savoir plus sur elle se retournaient en une autre question sur moi. J’étais assez flatté car j avais l’impression qu’elle voulait tout savoir sur moi, mes gouts, ma vie en dehors du bureau, ce que j’aimais chez les femmes. Parfois ses questions devenaient assez intrusives, sexuellement tendancieuses, et dans ces cas là une lueur de malice semblait éclairer ses yeux.
J’avais l’impression de boire plus qu’elle et au bout d’un moment, elle me prit la main et me dit :
- suis-moi !
Comment résister ! J’étais sous le charme.
Elle m’emmena vers les toilettes et me poussa coté femmes. Avant qu’une quelconque remarque ait pu sortir de ma bouche, elle me fit entrer dans une cabine qu’elle referma prestement et commença à m’embrasser langoureusement, sa langue prenant la mienne au piège.
Dans les toilettes pour femmes, à la merci d’Anna!
Ses mains étaient intrusives. En un éclair, je m’étais retrouvé la chemise ouverte et mon pantalon sur les chevilles avec un sexe en érection. Je n’avais qu’à peine eu le temps d’ouvrir son chemisier et de dégrafer son soutien-gorge. C’était un moment délicieux. Pendant qu’une main jouait des va et viens avec mon pénis, l’autre me massait les fesses.
Elle me retourna et passa derrière moi sa main caressant ma poitrine tandis que l’autre continuait à jouer avec mon sexe. Alors que j’étais face à la cuvette, elle me poussa violemment et je ne pus éviter la chute qu’en posant mes mains sur la chasse d’eau. Je me retrouvais dans une position assez bizarre, penché en avant, incapable de me relever car Anna appuyait sur ma nuque, et incapable de bouger une jambe avec ce foutu pantalon sur les chevilles. Peut-être que si je n’avais pas bu autant j’aurais pu réagir, mais là, la boisson avait anéanti toute velléité.
Anna avait maintenant cessé de me caresser et je l’entendais prendre quelque chose dans son sac. Dès que j’essayais de me relever, elle me repoussait et je me retrouvais dans la même position. Je décidais de ne plus résister
Elle reprit ses caresses, une main sur mon sexe tandis que l’autre passait sur mes fesses. Ses doigts devinrent plus intrusifs. Ils s’étaient aventurés dans ma raie et commençaient à me masser l’anus. Je sentis un liquide froid et Anna commença à m’enfoncer un doigt en faisant quelques va et viens puis 2 doigts.
Recruté par Anna pour être le larbin docile de sa patronne!
Elle se pencha sur moi, me bâillonna et me susurra à l’oreille
- Madame m’a demandé de trouver du bétail frais pour qu’elle puisse s’amuser. Elle veut un cheptel de larbins dociles assez conséquent. Je t’ai identifié comme une petite lopette intéressante pour elle. Tu sais ce qu’on fait au bétail quand il est jeune, on le marque. Rassures toi je ne vais pas te tatouer. Ton tatouage, cela va être cela.
Un autre objet plus volumineux que j’identifiais comme un gros plug commença à s’introduire.
- laisse-toi faire! Sois un bon larbin docile! De toute façon, tu ne peux plus bouger.
J’entendis à ce moment la porte des toilettes s’ouvrir et plusieurs femmes discuter ensemble.
J’aurais aimé pouvoir ne serait ce que gémir à travers mon bâillon, mais la peur du ridicule de la situation me força à subir sans broncher. Imaginez si nous étions surpris. Que pourrais-je dire. « Excusez moi je suis dans vos toilettes car une femme désire me violer «
Anna prenait plaisir à faire quelques va et vient avec le plug et soudain l’enfonça brutalement jusqu’à la garde. Je tressautai mais impossible de faire le moindre bruit. Elle entreprit alors de me masturber de plus en plus vite. Au bout d’un moment, à bout de résistance, je commençai à jouir.
Un plug, comme signe d’appartenance à Madame!
Lorsque toute ma semence fut sortie elle me dit :
- ce plug tu devras le garder en permanence. C’est ton signe d’appartenance à la toute puissance de ta nouvelle maitresse. Nous ferons des contrôles réguliers . Si d’aventure nous ne le trouvions pas bien enfoncé, alors tu peux t’attendre à passer un sale moment et te chercher un nouveau travail. Et crois-moi tes références seront si désastreuses que personne ne voudra de toi. Tu m’as bien compris ?
Comme je ne répondais pas de suite, elle fit à nouveau quelques allers et retour des plus rapides au plug en l’enfonçant tellement fort qu’il me semblait qu’il était entièrement en moi.
- je n’ai pas entendu petit larbin docile. M’as-tu bien compris ?
Je secouai la tête en signe d’acquiescement.
Elle poursuivit :
- -Ok et si tu es bien sage, obéissant comme un bon larbin docile et que tu ne commets aucune faute alors peut-être que tu auras quelques moments de plaisirs.
Sur ces paroles, elle sortit de la cabine alors que les autres personnes étaient déjà reparties.
Acte de résistance, retrait du plug!
J’hésitais entre retirer le plug et obéir. J’optais pour la seconde solution. Après tout, au bout d’un certain temps, je n’avais plus de douleur et ressentais même un certain plaisir peut-être lié a l’excitation.
Apres avoir remonté mon pantalon et m’être rhabillé, je sortais des toilettes lorsque je sus que j’étais seul.
Anna était partie. Je me dirigeais vers la sortie d’un pas mal assuré et avec l’impression que tout le monde me regardait et se doutait de ma mésaventure.
Le lendemain, au réveil, la question de ce plug trottait dans ma tête. Je l’avais retiré dès que j’étais rentré chez moi et je me demandais ce que j’allais faire ce matin là pour me rendre à mon travail. Fallait il le remettre ? y aurait il un contrôle systématique dès le premier jour ? Je décidais de ne pas le mettre et de l’emmener avec moi. J’aurais bien le temps de me le fourrer au cas où.
Quelques jours passèrent, sans qu’aucun contrôle ne fut fait. En observant un peu mieux le manège de mes collègues, je vis que je n’étais pas le seul à être dans le « cheptel ». Je voyais Anna passer de temps à autre avec l’un d’entre eux, et parfois à leur mine au retour je voyais qu’ils avaient désobéi et de ce fait avaient du subir une quelconque sanction.
Mais cela ne m’arriverait jamais. J’avais peaufiné ma stratégie. Le plug était dans la sacoche d’ordinateur. Si d’aventure on m’appelait je n’aurais qu’à le prendre rapidement , aller aux toilettes et le tour était joué.
Premier contrôle de Madame et ma sacoche avec mon plug a disparu!
Un matin, je venais de sortir de mon bureau et je discutais près de la machine à café lorsque je reçus un sms sur mon téléphone professionnel. Pas besoin de beaucoup de mots. « Contrôle chez madame immédiatement». J’avais compris. Je laissai mon café et me dirigeai directement vers mon bureau. Stupéfaction ma sacoche avait disparu. J’étais certain de l’avoir emmenée alors que je passais derrière le bureau pour la trouver un toussotement me fit sursauter.
Anna se tenait appuyée contre la porte, m’observant, ma sacoche à la main
- c’est ça que tu cherches? : me fit elle
Sans attendre ma réponse, elle poursuivit :
- suis moi tout de suite pour le contrôle. Allez dépêche-toi, le temps de madame est compté.
J’avais à peu près deux minutes, soit le temps séparant mon bureau de celui de madame, pour trouver une excuse. une allergie ? un oubli ? un problème médical ?
Trop tard. Anna frappait à la porte et j’entendis une voix sèche comme un coup de fouet, faire :
- entrez !
Anna me poussa à l’intérieur. Lorsque la porte fut fermée elle me fit.
- déshabille toi larbin docile! et vite. Pas que ça à faire!
Je m’exécutai sous l’œil noir et sévère de Madame. Elle m’observait silencieusement, tapotant son bureau à l’aide d’une cravache.
Lorsque je fus complètement nu, Anna me dit :
- A quatre pattes! Allez dépêche-toi!
J’obéis. Anna passa derrière moi. Elle écarta mes fesses et secoua négativement la tête .
Colère noire de Madame! Je ne porte pas le plug!
Madame entra dans une colère noire. Elle frappa violemment son bureau de sa cravache. Elle m’insultait, me demandant des explications que je ne pouvais fournir à part le fait que j’avais désobéi.
Madame regarda Anna et sans aucune parole, elles se comprirent. Anna me poussa contre le bureau et me demanda de me pencher dessus. Madame et Anna échangèrent leur place.
Pendant qu’Anna me tenait les mains, Madame me fit écarter les jambes comme pourraient le faire des policiers lors d’un contrôle. Elle commençât à me flanquer quelques fessées, puis après entreprit de jouer avec mes testicules. Elle les pressait, les frappait. Je souffrais mais ne pouvais crier. J’avais des difficultés à respirer tant la douleur montait.
Puis je sentis un liquide froid dans mes fesses. tournant légèrement la tête je vis madame qui s’était équipée d’un gode ceinture d’une taille impressionnante. En moins d’une seconde, j’avais compris ce qui allait arriver. Cependant, je pensais que, jamais, elle arriverait à enfoncer cet objet qui me paraissait si large et si long!
Anna serra encore plus fort mes poignets et je ne pouvais plus esquisser le moindre geste. Après juste m’avoir lubrifié l’anus avec deux de ses doigts, Madame commençât à me fourrer l’objet au plus profond, sans prendre le temps de me dilater légèrement afin de réduire la douleur
Ses va et viens étaient rapides. elle me limait totalement. Je souffrais le martyre. De ma position, je ne pouvais que voir le visage d’Anna sur lequel se dessinait un sourire sadique. J’entendais les « han » qui sortaient de la bouche de Madame à chaque fois qu’elle m’enfonçait son gode. L’anus me brulait, mon ventre me faisait mal. Des larmes sortaient de mes yeux.
Premier avertissement très douloureux!
Au bout d’une éternité, le mouvement cessât. Je vis Madame repasser derrière son bureau. Elle m’enfourna le gode dans la bouche en m’ordonnant de le sucer. Pourtant j’avais encore l’impression qu’il était en moi tellement j’avais été défoncé. Il entrait dans ma gorge. J’avais envie de vomir. Mais il fallait tenir.
Anna me lâcha les mains, le gode sortit de ma bouche et je me redressais. Madame me tendit un verre et me dit :
- Vas y purge toi et bois à ma santé. Tu as une minute. Sinon mon gode se chargera de t’activer.
Jamais je n’aurais cru pouvoir y arriver, mais la peur était si grande que je me mis à éjaculer assez rapidement. Verre à la main, j’entrepris de boire mon jus sous les rires et quolibets de ces deux dames.
- bien : me fit Madame
- Rhabilles toi. Ceci n’était qu’un premier avertissement. J’espère que tu l’as bien compris. Si d’aventure le contrôle suivant était négatif, je m’occuperais de toi à sec avec ce gode que tu as pu apprécier. Maintenant, tu as une minute pour déguerpir sinon je pourrais croire que tu as aimé et dans ce cas je recommencerais.
Bien vite habillé et une fois sorti, je décidais de rentrer directement chez moi . Mon dressage était bel et bien commencé. La suite allait me le confirmer.
Bonjour tres belle histoire , j’aimerai savoir si texte est réel , si c’est le cas la lopette a de la chance , a quand la suit svp
Bientot
Et la suite sera plus existante. L engrenage est parti
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Ça n’existe pas
Excellent texte qui montre bien le mécanisme infernal qui conduira cet homme à devenir le larbin et la lopette de ses deux Femmes Supérieures. En lisant ces lignes, on s’imagine à la place de l’homme et on l’envie
Et vois n avez rien vu encore