La Domination feminine au lycée
Je vais vous raconter une histoire de domination feminine qui m’est arrivée durant mon début de lycée. Je découvrais alors seulement mes penchants bientôt irréversibles vers cette poétique et renversante sexualité soumise. Le sexe fort n’était pas celui que l’on pensait, cette histoire me le tint pour dit.
J’avais pour voisine de bureau, en cette classe qui m’entourait à l’époque, une jeune fille nommée Jana. D’ordinaire timide, bien respectée de tous, elle était studieuse mais ne se mettait pas en avant plus que nécessaire. Nous n’étions ni sur l’algorithme de la vedette du lycée, ni sur la tête de turc. Un entre-deux raisonnable, sans ennemis, et aux amies fidèles. Ses cheveux, d’un châtain ondulés, étaient systématiquement attachés en une queue de cheval dans son dos, au nœud haut, donnant à sa nuque une allure très… attachante. Elle avait pour particularité, maintenant que j’y réfléchis, de ne jamais regarder dans les yeux. Elle fuyait les regards, essentiellement quand elle n’était pas parfaitement à l’aise.
Nous entretenions une amitié standard, aidée par notre rapprochement imposé de voisins de classe, ainsi que par une opposition cynique et pleine d’autodérision sur le sujet pourtant dangereux qu’est la religion. Elle croyante, moi non, le débat allait souvent ironique et plaisant à écouter par l’esprit dont nous faisions tous deux parts déjà à l’époque. Enfin, elle avait de l’esprit, j’en suis sûr. Moi ? Il faudrait lui demander, mais rien n’est moins sûr. Le tout est que j’appréciais beaucoup ces conversations et elle également.
Exposé à préparer en binôme !
Vous avez pu assimiler le cadre de notre relation de base. A cela s’ajoutait que je sortais d’une relation difficile pour un adolescent plein de fierté, et qu’elle… n’avait jamais touché qui que ce soit.
Un beau jour… très mauvais en réalité, il pleuvait plus que de raison et l’orage se faisait entendre dans la campagne de mon lycée. J’ignore pourquoi ce détail me revient et je sais qu’il ne vous intéresse pas, mais je m’en moque : c’est moi qui raconte.
Un jour étrange, donc, notre professeur de français commun nous invita (« imposa » serait plus juste) un « exposé » en binôme à préparer sur le sujet de notre choix. Non satisfaite d’un précédent rendu que notre classe lui fît, elle décida d’imposer les couples, et ne se fatigua pas plus que par le choix des tables. Me voici contraint au travail avec cet écureuil catholique (l’animal lui correspondant sûrement au visage, dans le bon sens du terme : elle était très jolie), sur un sujet surtout que nous devrions choisir à deux.
Après débat encore une fois sur la question « le grand barbu est-il tout puissant ? », nous finîmes par décider d’un autre sujet, le seul où nous avions un semblant d’accord : le théâtre. Cette histoire est aussi vraie que je vous la raconte, et si vous avez passé votre enfance à parler de téléréalité et de fumette en pensant avoir développé votre « coolitude », n’en doutez plus, le regard des personnes évoluées vous méprisait. Curieux discours pour un homme qui aujourd’hui encore cache sa facette soumise derrière un pseudo littéraire. On peut rajouter « hypocrite » à la définition de mon être, je le rangerais entre « égoïste » et « antipathique ». Quel adorable soumis je fais.
Sujet de l’exposé : le théâtre
Bref, nous voici, Jana et moi, au milieu des sphères du théâtre pour délibérer du fondement de notre présentation à venir. Dans un élan commun d’originalité, nous décidâmes de scinder notre présentation en deux parties : l’exposé et la démonstration. Le premier point fut bien vite réglé. Internet était déjà en vogue, mais les professeurs comme celui de français étaient encore immunisés à son pouvoir. Génération dorée avez-vous dit ?
Le second point pour sa part allait nous demander plus de courage. Pour un adolescent, se mettre en scène, c’est remettre en jeu son image de marque auprès de tout un public de jugement qui ne cherchera que l’abaissement d’autrui pour s’amuser ou s’élever soi-même. Notre axe de traitement du sujet était donc dangereux et nécessitait préparation. Pour ma part, j’étais déjà comédien de théâtre en troupe jeunesse depuis plusieurs années. Je n’avais plus peur de la mise en scène. De plus, j’avais bien vite fini par comprendre un point essentiel pour réussir son adolescence : L’autodérision est la meilleure façon de vaincre l’humiliation. Au lieu d’avoir peur, ris avec les autres. Tu deviendras invincible quand tous comprendront qu’ils ne peuvent pas te faire de mal. Bref, trop philosophe.
Proposition d’un jeu pour travailler la confiance
Voici le cœur de cette histoire de domination feminine :
Mon amie Jana, plus timide, n’avait pour aimer le théâtre que ses livres et sa télévision. Elle n’avait jamais joué. Déjà habitué à cette difficulté, je décidai de lui apprendre par le jeu le fondamental du jeu de comédien : la prise de confiance. Je crois avoir créé ce jour-là mon premier jeu de D/s de domination feminine sans le savoir.
– Voici les règles, lui dis-je quand nous étions dans ma chambre pour travailler. On va jeter les dés une fois chacun. Celui qui aura le plus grand nombre aura le droit d’exiger un gage de son opposant.
– Le but, me demanda-t-elle, est de gagner en confiance par l’exécution du gage ?
– Bien au contraire. Il s’agit de gagner en confiance par l’ordre et non par l’exécution. Le gage a un côté humiliant et d’accaparant. Il faut être capable de l’apprécier, c’est cela qui nous fait gagner en confiance.
– Technique de théâtre ?
– Pas du Professeur.
Liste des règles pour le jeu
Ma réponse la fit rire, et je sentais qu’elle se prenait au jeu. Elle insista cependant sur autre chose :
– Il est nécessaire d’imposer quelques règles néanmoins. Comme l’interdiction de nous confronter à quelqu’un d’extérieur, ou d’en prendre le risque.
– Interdiction de douleurs fortes, ou marques physiques.
– Pas d’argent ou toute chose matérielle de valeur en jeu.
– Interdiction de mise en danger par plaisir.
Maintenant que je me remémore tout cela, on dirait l’édification d’un contrat de soumission. A la fin de la liste, nous allions commencer le jeu après nous être bien échauffé par des idées en l’air, quand son père klaxonna pour la récupérer en bas dans la rue. Nous avions beaucoup parlé et le temps était passé bien trop vite. Elle se leva et me quitta avec un sourire de coin et quelques mots qui me laissèrent rêveur sans vraiment savoir pourquoi :
– Quand tu viendras la semaine prochaine chez moi pour finir tout cela, on jouera à ton jeu. Je crois que je vais un peu modifier les règles cependant, tu ne m’en veux pas ?
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Je me rappelle pas l’avoir Lu celle la pourtant c’est le début de ta dernière histoire c’est bizarre :/
En attente de la suite… prometteur
Un début très prometteur.
effectivement elle est partie le sourire en coin avec l’intention de modifier les règles
ok… alors vite rdv la semaine prochaine
Prometteur… et frustrant à la fois… je serai au rdv du prochain épisode !