Seul depuis plusieurs mois, me voilà au seuil d’un nouvel avenir, d’une nouvelle vie. Délocalisé à plusieurs centaines de kilomètres, de mon ancien domicile, j’ai dû trouvé un nouveau logement.
Mon choix s’est porté sur un logement en collocation. La maison est un ancien corps de ferme vieux de plusieurs siècles. Mon nouveau cocon est chaleureux avec tout ce dont j’ai besoin. Mes colocataires m’ont fait bonne impression. Le premier, Charles, a 35 ans, et il n’est pas souvent présent. Ce logement n’est pour lui qu’un couchage qu’il utilise lors de ces déplacements professionnels, quelques jours par mois. La deuxième colocataire s’appelle Lisa.
Dès le premier regard, je ne ai pas été indifférent à son charme. Lisa n’est pas très grande et plutôt forte. Ces formes affirmées ne sont qu’un prolongement de la douceur de son regard, dans lequel je regrette de ne pas avoir pu me plonger plus tôt. Lisa a posé ses bagages ici, que quelques mois avant mon arrivée, exactement comme moi, dans le but d’écrire une nouvelle page de son histoire. Nous sommes presque du même âge.
Dès notre premier échange de regard, je suis tombé amoureux d’elle. Au point que toute la semaine suivant mon déménagement, elle a occupé toutes mes pensées. La nuit, je rêvais de lui avouer mes envies de combler tous ses désirs sous son regard conquis. Le jour, je me taisais, étouffé par la peur et l’appréhension de la repousser à tout jamais.
Le soir de mon anniversaire, surprise de ma colocataire Lisa!
Le soir de mon anniversaire, pour ne pas me laisser seul, quelques collègues de travail avaient organisé dans un bar de la ville la plus proche une petite soirée.
Après en avoir bien profité, mon ami me déposa devant la maison. Relativement alcoolisé, je rentrai et vis Lisa encore éveillé et éméchée. Très rapidement, elle alla chercher des cordes ainsi qu’une boite qu’elle avait, je pense, soigneusement préparée. Ensuite, je la vis s’approcher de moi puis elle commença à attacher mes poignets au-dessus de ma tête. J’étais encore conscient mais je me sentais incapable de bouger.
En fait, j’étais comme hypnothisé. Cependant, je me souviens de l’avoir entendu dire cette phrase :
- Laisse toi aller! Je sais où se trouve ta place!
Comme j’étais en état second, je n’opposai aucune résistance et la laissai attacher mes pieds, une fois mes mains finies.
Lisa ouvra la boite et en sortit une cage de chasteté.
Ensuite, elle ajouta:
- J’espère qu’elle t’ira comme un gant !
La cage enfilée, je sentis mon sexe être stoppé dans son élan de joie. Cette sensation était des plus agréables. Je me sentais, désormais, comme dépendant des humeurs de ma Maîtresse dominatrice. Lisa prit une chaise pour s’asseoir en face de moi. Très lentement, elle monta son pied gauche le long de mon torse et vint le poser sur mes lèvres. Je ne pus m’empêcher de l’embrasser le plus sensuellement possible.
En cage de chasteté et aux pieds de ma colacataire Lisa!
Lisa mit peu de temps à réagir.
- J’aime les serviteurs dociles, et je sais aussi les récompenser. Je te conseille de ne pas me décevoir.
Avec son pied-droit, elle appuya sur ma cage qui était déjà prête à exploser. Sans un mot de plus, je compris ce qu’il me restait à faire pour satisfaire ma Déesse dominatrice. Je ne fis pas preuve de précipitation. Après lui avoir répondu un » très bien Maîtresse », je continuai le plus délicatement possible.
Après quelques minutes passées à embrasser ses divins pieds, Lisa m’ordonna :
- Sors ta langue et lèche-les à la hauteur que tu aimerais être récompensé, petite chose insignifiante.
- J’aimerais vraiment être à la hauteur, je ferai de mon mieux pour ne pas vous décevoir Maîtresse.
Ce moment, j’en avais rêvé des nuits entières ! Enfin, il m’était permis de m’occuper de jolis pieds féminins, et ce, pour le plus grand plaisir de ma Maîtresse dominatrice ! J’étais tellement heureux de la mission qui m’était confiée que Lisa le ressentit jusqu’au plus profond de son corps.
Je la sentis se délecter, peut être même plus que moi de la situation. Ainsi, je sentis son souffle s’intensifier tout en ralentissant son rythme. C’était la première fois qu’elle osait affirmer son tempérament de dominatrice. Peut-être étais-je la seule personne assez docile avec qui elle avait pu extérioriser ses plus profonds fantasmes. Lisa était de plus en plus excitée.
Elle ôta ses pieds de mon visage et regarda quelques secondes ma cage en se caressant en même temps.
- Je crois que tu mérites de goûter mon jus. En effet, tu as bien débuté à ta place de serviteur.
Réalisation de tous mes fantasmes avec ma colocataire dominatrice!
Lisa se leva de la chaise puis se tourna. Je vis ses fesses se rapprocher sensuellement de mon visage pour venir le recouvrir complètement. Ses fesses étaient imposantes et une fois bien appuyées, je ne pouvais plus respirer convenablement.
Je sentis le jus de Lisa abonder sur ma langue, ainsi que des gémissements commencer à se faire entendre. Ses fesses s’appuyaient de plus en fort quand, avec ma langue, je sentis son petit bijou s’engouffrer du bout jusqu’à la base de celle-ci. Son clitoris frémissait.
- Hmmm, je crois que tu vas devenir mon jouet. Tu as l’air de comprendre comment une Maîtresse doit être traitée. »
Elle leva ses hanches pour me laisser reprendre une inspiration et lui répondre.
- Merci, Maîtresse, ma seule récompense est de vous voir satisfaite. Ma jouissance se cache non loin la vôtre.
Le langage corporel de Lisa ne me trompait plus. Je sentais ses hanches appuyaient encore plus fort secondes après secondes. Sa respiration devenait de plus en plus primaire. Ma déesse dominatrice était sur le point de jouir et comme dans mon grand fantasme, je n’étais que l’outil de son exaltation la plus profonde. Entre murmures et paroles affirmés, Lisa m’ordonna de continuer.
J’accentuai ma volonté et quelques secondes après, Lisa s’abandonna. Je sentis son corps prendre le dessus sur sa volonté. Sans son extase un flot jaillit de son vagin, de même qu’un cri qui me sembla aussi libérateur qu’intense. Son corps ralentit comme trop occupé à gérer ce flot d’extase pour en accumuler de nouveau.
Ses petites lèvres se décollant de ma bouche, Lisa n’avait qu’en tête qu’une seule chose : affirmer son tempérament de lionne en quête d’extase. J’étais fier d’être sa proie et compter bien me laisser aller à mon sort.
Ma jouissance après celle de ma Déesse Dominatrice!
Elle se leva retourna vers sa boite et y sortit un double gode. Elle le posa et vint me détacher pour m’ordonner de m’allonger. Lisa reprit ses cordes avec un sourire qui en disait long sur sa perversion. Ensuite, elle vint m’attacher de sorte à ce que mes jambes soient bien écartée et en l’air.
La main de Lisa vint lubrifier généreusement son outil ainsi que mon orifice avant de commencer à l’insérer en moi. Lisa n’avait pas connaissance que je m’étais entraîné seul bien avant notre rencontre, et ainsi, je reçus avec facilité son présent.
Ce fut presque une jouissance de sentir quelqu’un au plus profond de moi et ma nouvelle Maîtresse dominatrice l’avait ressentit. Elle ne tarda pas à enfourner à son tour la deuxième partie du jouet en son antre. La première pénétration ne fit que relancer tout le désir à peine enfoui en elle. Lisa ne tarda pas à prendre la cadence qui lui permettait d’alimenter ses envies.
Je la sentais comme si ce gode n’était que le prolongement naturel de son extase. Voir Lisa sous cet angle était synonyme de paradis. Son énorme poitrine se balançant à mesure de ces mouvements de hanches. Elle était parfaite, encore plus au plus profond de mon âme.
Désormais, la « chose » de ma nouvelle Maîtresse Dominatrice!
Ce ne fut qu’à ce moment là, que je me rappelai que j’étais encagé depuis plus d’’une heure. En effet, même si mon sexe m’avait rappelé à plusieurs reprises qu’il était restreint, j’avais oublié ma chasteté imposée. Je compris que mon destin de soumis était scellé.
Le plaisir de ma Maîtresse dominatrice était pluis important que le mien. Et ce, malgré ma faiblesse d’homme!
Même si le plaisir de ma Maîtresse occupait mes pensées, mon corps, lui subissait les vas et viens de ma chère Lisa. Ma cage se balançait me rapprochant lentement de la satisfaction ultime. J’avais toujours rêvé d’être vidé encagé. Ce fantasme allait se réaliser. Je prévins Lisa qui un sourire au coin de la bouche alla encore plus profondément en moi et agrippa ma cage la serrant dans sa main. Mes yeux se fermèrent. Je pensais enfin être récompensé de mon obéissance quand Lisa se penchant en direction de mon oreille me susurra quelques mots :
- Tu es ma chose désormais, et je veux que tu penses à moi toute la nuit. Tu vas aller te coucher dans ton lit avec ta cage. Réfléchis bien à comment me satisfaire! Peut être seras-tu récompensé un jour?
Malgré tout le respect que j’avais pour Lisa, j’étais très frustré. Cependant, sans rechigner, je m’exécutai et la laissai seule.
A suivre