Ma nouvelle dominatrice, ma voisine lesbienne (6)

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Ma nouvelle Dominatrice, Ma voisine lesbienne (5)

Ma vie a donc suivi une nouvelle routine. Lorsque je rentre le soir du travail, j’attends patiemment que ma terrible voisine, ma nouvelle Maîtresse Dominatrice, me fasse signe, ce qui arrive désormais quotidiennement. Elle s’est mise en tête d’expérimenter un traitement sur moi dont elle rêvait depuis longtemps, c’est du moins ce qu’elle a fini par
m’avouer.

Sous l’Emprise de la Cage : Une Soumission Obsédante

Dominatrice

Mon petit oiseau est constamment en cage depuis que je lui ai juré fidélité, ce qui devient de plus en plus frustrant comme vous pouvez l’imaginez. Mon désir et mon excitation ne cesse de me travailler à tel point que c’est devenu une véritable obsession. J’ai toutes les peines du monde à me concentrer au travail ou dans mes rares moments de liberté.

Mon entrejambe est devenu un véritable supplice tant l’envie de me soulager est grande. Cela fait un mois que je suis sous cage et je n’ai pas eu une seule occasion de me masturber ni même d’avoir la moindre érection. Je n’ai évidemment jamais osé me plaindre auprès de ma Maîtresse Dominatrice, connaissant déjà sa réponse.

  • Alors comment apprécies-tu ta nouvelle vie ?, m’a-t-elle demandé un soir avec un étrange sourire malicieux.

Elle ne fait pas toujours d’effort pour me recevoir. Il n’est pas rare de la voir en pyjama ou leggings lorsqu’elle m’ordonne de procéder à mes tâches ménagères.

Cependant, ce jour-là, elle avait enfilé une robe flottante particulièrement sexy qui mettait en valeur sa lourde poitrine. Ses jambes gainées de nylon noir crissaient à chacun de ses pas. Perchée sur ses escarpins, avec son chignon et ses lunettes, elle était particulièrement excitante et elle le savait.

  • N’est-ce pas trop difficile d’être en cage ?, a-t-elle continué.

Répondre le contraire aurait été stupide.

  • Si maitresse, avec votre permission, j’aimerais me soulager.
  • Nous allons faire mieux que cela. J’aimerais voir à quel point un homme peut être rendu fou d’excitation. Tu seras mon cobaye. J’ai bien peur que tu n’aies pas le choix hélas.

Le Rituel Cruel : Supplice sous Contrôle

A partir de ce jour, elle me soumit à un nouveau régime.

Elle me fit d’abord passer une visite médicale par l’une de ses amies médecin pour s’assurer qu’aucun problème cardiaque ne viendrait perturber ses projets.

Étant en pleine santé, elle entreprit de me donner du Viagra lorsqu’elle donnait rendez-vous à l’une de ses esclaves. Cela arrivait deux ou trois fois dans la semaine. J’en comptais trois, ses poupées à torturer comme elle aimait les appeler. Il y avait Cindy, la petite blonde BCBG potelée que je connaissais bien désormais mais aussi Ariana, une black affolante au postérieur énorme et Jessica, une femme enfant toute petite mais à la poitrine spectaculaire.

Ma Maîtresse Dominatrice aime particulièrement travailler les seins de ses jouets.

Lorsque l’une de ces trois jeunes femmes lui rendait visite, elle avait souvent l’obligation, en guise de soumission, de s’occuper de moi. Le rituel était toujours le même. Ma Dominatrice m’enfermait dans une camisole de cuir intégrale,
jambes et bras serrés, sans pouvoir faire le moindre geste, tête cagoulée, allongé sur un banc muni de roulettes qu’elle pouvait déplacer comme elle le désirait.

Sous l’effet du Viagra, l’excitation était déjà intolérable. Cependant, ma voisine décidément perverse ordonnait à ses poupées de me lécher les couilles et mon sexe emprisonné pendant au moins une heure. Autant vous dire que le supplice était intolérable.

Tourments Vibrants : Supplice et Frustration

Parfois, elle leur demandait d’utiliser un vibromasseur qu’elle me passait sur les couilles ou le gland toujours sous cage bien sûr. Durant tout ce temps, j’étais bâillonné, la culotte de l’esclave roulée en boule dans ma bouche.

Autant vous dire que je n’en finissais pas de me tortiller et de gémir ce qui semblait beaucoup amusé madame. La petite Jessica était la seule qui semblait prendre du plaisir à me tourmenter. Il fallait voir avec quelle passion et quelle énergie elle gobait mon sexe emprisonné tout en me malaxant les couilles.

Dominatrice

Une fois ses esclaves congédiés, souvent madame se servait de moi comme siège, venant s’asseoir sur mon visage mais sans jamais me donner accès à son intimité. Je n’avais droit qu’à son fond de collant et sa culotte en dessous. Elle appréciait je pense de sentir le souffle chaud de mon excitation entre ses cuisses. Elle bougeait parfois dans un lent mouvement de va et vient sur mon nez.

Cela pouvait durer longtemps lorsqu’elle regardait un film ou une série. Il n’était pas rare que je sente une humidité évidente transpirer au travers de ses sous- vêtements jusque sur mon visage ce qui ne faisait que renforcer ma frustration et mon excitation.

Cage Cruelle : Un Mois de Tourments Inachevés

Elle m’infligea ce traitement durant un mois entier, un mois à être régulièrement excité à mort par ses esclaves, à servir de siège ou de repose- pied pour ma maitresse sans que rien ne vienne me soulager.

Oh bien sûr, mon sexe ne manquait pas de suinter abondamment mais jamais je n’ai eu l’occasion d’éprouver un orgasme libérateur.

Madame décida de changer ma cage. Elle opta pour un modèle possédant de larges rainures qui permettaient d’avoir plus facilement accès à mon gland. Je l’ai moi-même mis en place sous sa surveillance, installé sous une douche froide pour m’empêcher d’avoir une érection.
Les tourments reprirent de plus belle ensuite, ses esclaves ayant pour mission de me chatouiller le gland à l’aide de pinceaux durant des séances interminables, un vibromasseur coincé sous mes testicules.

Je n’en pouvais plus.

Ce qui semblait grandement réjouir ma terrible voisine.

Combien de temps cela allait-il durer ?

A suivre….

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Dominatrice expérimentée,  Cultivée et cruelle, sorcière perverse, recherche homme soumis docile obéissant, à dresser ou amateur de fessées magistrales et punitives …