Madame, ma nouvelle Maîtresse dominatrice, ne m’a pas menti, le tablier ne manque pas de m’irriter le gland à chacun de mes mouvements. Je m’oblige donc à faire la vaisselle en évitant le plus possible de bouger. Je me débarrasse rapidement du tablier pour faire le ménage dans le reste de l’appartement. En effet, Madame ne m’a pas ordonné de le conserver pour cette tâche.
Très excité par les soupirs étouffés de la soumise
Alors que je passe le balai dans le couloir, je ne manque pas d’entendre la soumise gémir derrière la porte fermée de la chambre, J’entends des soupirs étouffés plus précisément. Cependant, je ne sais dire s’ils expriment du plaisir ou de la souffrance. Une chose est certaine, cela ne manque pas de m’exciter. Cependant, une fois de plus, mon début d’érection est vite interrompu par cette maudite cage de chasteté.
La chambre de Madame est la dernière pièce à laquelle je m’attèle. Je m’y attarde bien plus que les autres. En effet, j’ouvre la grande armoire et admire ses jupes, robes et chaussures. Il y a des corsets et même une magnifique paire de bottes montantes lacées sur le devant, de quoi me faire terriblement fantasmer.
La porte de la pièce dans laquelle Madame est occupée à torturer sa soumise s’ouvre soudainement. Je sursaute puis referme, rapidement, l’armoire. En effet, je ne veux pas être pris en flagrant délit d’espionnage puis je me remets au travail.
Madame apparait alors dans l’encadrement de la porte, perchée sur ses hauts talons.
- J’ai besoin de toi, dit-elle sèchement, pose le balai et suis-moi!
Je m’exécute sans discuter et la suis jusque dans la chambre, pièce que je connais déjà pour l’avoir vu depuis mon balcon.
Attaché à un banc, à disposition de ma voisine dominatrice
J’y découvre la jolie soumise aux couettes blondes, allongée. Elle a les bras liés aux poignets et aux coudes, tendus au-dessus de sa tête et reliés au barreau du lit. Ses fesses reposent sur le bord du sommier et ses chevilles solidement fixées à chaque pied maintiennent ses jambes gainées de bas en position de grand écart. Son sexe rasé est rouge vif d’avoir sans doute été vigoureusement fouetté. Elle est muselée par un énorme bâillon boule profondément enfoncé dans la bouche.
Elle me regarde entrer, effrayée.
- J’ai achevé de la punir, dit Madame, mais comme elle a accepté de toucher ton horrible gland, je voudrais quand même la récompenser. Le problème vois-tu, c’est que Jessica est une femme fontaine. Elle a donc la fâcheuse tendance à tout me saloper quand je la fais jouir. Tu vas donc te rendre utile. Allonge-toi sur le banc là-bas.
Je découvre un banc étroit, monté sur roulettes.
Je m’y allonge, jambes serrées, les bras le long du corps. Il est globalement à ma taille si bien que mes pieds ne dépassent pas.
Madame a tôt fait de passer des sangles de cuir, me fixant les chevilles, les cuisses ainsi que le torse au banc. Elle m’attache ensuite les poignets sous le banc, me les serrant dans des sangles que je n’avais pas vues. Enfin, elle me place un bâillon ouvert entre les mâchoires, me maintenant la bouche terriblement écartée.
Obligé d’avaler la cyprine de la soumise qui vient de jouir
Ensuite, je la vois partir fouiller dans un meuble à tiroirs dans le fond. Elle en sort un entonnoir en plastique transparent et m’enfonce l’embout dans la bouche. Il n’est pas énorme heureusement. Je parviens à le tolérer.
Après, elle fait rouler le banc de manière à placer ma tête à la verticale de la soumise, du moins de ses parties génitales.
Je comprends, donc immédiatement ce qui va suivre. Je ne sais si je dois m’en réjouir ou m’en inquiéter.
Madame s’empare ensuite d’un vibromasseur qu’elle allume. L’engin émet un doux vrombissement. Elle le pose sur le clitoris de sa soumise tout en la masturbant vigoureusement à l’aide de ses doigts.
Les gémissements reprennent mais plus doux cette fois-ci. D’où je suis, je peux voir les jambes remuer de plus en plus fort, tout comme le fessier de la soumise qui se soulève au rythme de la main de sa Maitresse dominatrice.
Cela dure et dure encore. Les cris montent, de plus en plus ,dans les aigus et ce qui devait arriver arriva, la soumise finit par exploser de jouissance.
Exploser c’est le mot puisqu’un spectaculaire jet de cyprine se déverse dans l’entonnoir. Madame n’avait pas menti, la dénommée Jessica est bel et bien une femme fontaine. Elle ne s’arrête pas là, les jets continuent par saccades à chaque accès de jouissance.
Acceptation de la proposition de devenir le soumis de ma perverse voisine
Je n’ai d’autre choix que d’avaler en me dépêchant de déglutir sous peine d’être noyé par la quantité, de quoi grandement amuser Madame qui m’accorde un regard moqueur.
Je n’ai pas vraiment le temps de goûter le suc de la demoiselle. Ainsi, je n’y prends aucun plaisir tant j’ai peur d’avaler de travers.
- J’en doutais, me lance Madame, mais tu peux te rendre utile finalement. Je vais te garder à mon service je pense car j’aurais d’autres tâches à te confier. Et peut-être même que je pourrais prendre plaisir à t’avoir comme souffre-douleur. Je n’ai pas l’habitude de torturer les hommes mais j’ai plein d’idées qui me viennent en te regardant. Nous verrons si tu seras capable de les supporter. Es-tu prêt à tenter l’expérience ?
Je lui réponds par l’affirmative en hochant la tête.
J’ai peur bien sûr, cette femme est incroyablement perverse.
Mais n’est-elle pas la Maitresse dominatrice dont j’ai toujours rêvé ?
A suivre…