La soirée continue! Les trois inconnues reviennent vers moi. J’entends un bouchon de champagne qui saute. Madame fait le service. Maitresse, dont c’est la première expérience en tant que dominatrice m’enlève les menottes et me traine à genoux devant le canapé .
Début d’une longue séance de domination
Elle s’assoit et m’ordonne de lui baiser les pieds, puis de les lécher. Commence, alors une longue séance de domination! Les ordres fusent :
- pied droit ,… talon , …avale mes orteils!
Elle enfonce son pied dans ma bouche. Je suffoque au milieu des rires.
- Pied gauche!
Et ça recommence pendant qu’Elles sirotent leur champagne.
- Occupe toi de Princesse!
Celle-ci est déjà plus à l’aise. Ses ordres s’enchainent sèchement. Elle n’aura aucune pitié pour moi. Ce sera même peut-être la pire. Elle a l’enthousiasme de la débutante dominatrice! Je termine avec Madame qui m’expédie assez vite.
- Les filles, je vous propose qu’on fasse un petit jeu. On va donner une chance à ce minable.
Cette proposition reçoit un accueil enthousiaste de la part des deux amies. Madame apporte une carafe d’eau et deux coupes en plastique.
- Voilà esclave, tu vas te mettre à genoux et tendre les bras! Je vais poser les coupes remplies sur tes mains. Si tu tiens quinze minutes sans les renverser, on arrête là. Je te ramène et tu auras ta bonne note. Sinon (rires des copines!), tu recevras vingt-cinq coups de martinet de chacune d’entre Nous ! Tu as compris ?
- Oui Madame , j’ai compris.
Maitresse et Princesse s’approchent avec les coupes pendant que Madame verse un mélange par terre, là où seront mes genoux . Je m’agenouille dessus et les coupes sont posées avec précaution.
Puni pour avoir fait tomber les coupes de champagne
Je comprends de suite que je ne vais pas résister très longtemps. Mes genoux me piquent et me brûlent très vite. Elles le lisent sur mon visage qui se crispe .
- T’as mis quoi avec le riz ?
- Du gros sel, c’est fou comme c’est douloureux !
Elles rient de mes efforts et font semblant de m’encourager. La douleur devient insupportable. Je commence à bouger mais je m’efforce de résister. Ainsi, j’entre dans leur jeu.
En effet, cela les amuse de me voir souffrir. Aussi, elles retardent l’échéance et le moment de la punition, cependant en vain! Ma défaite n’en sera que plus humiliante. Finalement, les coupes sont tombées!
- T’as perdu, tu seras puni !
Elles me font lever puis elles me remettent les menottes qu’elles relient à une petite chaine, accrochée au plafond. Mes bras sont levés au maximum.
Mon corps est exposé au milieu du salon. Je touche à peine le sol. Cette position va vite devenir inconfortable. La douleur sera le maitre mot de cette soirée. Elles sont retournées sur le canapé pour jouir du spectacle du soumis qui attend, résigné et apeuré, son châtiment. Elles reprennent du champagne, l’ivresse qui les gagne va encore plus les exciter.
- Bon , Fabienne , on est chez Toi, à toi l’honneur !
Honneur à l’apprentie dominatrice pour commencer la punition!
Madame vient vers moi avec un martinet.
- Pas beaucoup de lanières , et en cuir. C’est ce qui fait le plus mal!
Je ne sais pas à qui est destinée cette précision? A Princesse pour l’informer? Ou à moi, pour augmenter ma peur?
Madame tourne autour de moi , sourire aux lèvres.
- On ne veut pas t’entendre. Si tu gueules, on te met un bâillon.
Je reçois une gifle, comme à chaque fois qu’Elle s’adresse à moi. Elle fait durer l’attente et me caresse avec les lanières.
Sclack !Premier coup violent sur les fesses! Je ne peux m’empêcher de crier. Des rires retentissent.
- Ta gueule!
Puis de nouveau, l’attente, un véritable supplice chinois …
Et soudain une rafale de coups s’abat sur les fesses, le dos et les épaules. Je ressens une brulure atroce à chaque coup. Aussi, je me suis mordu les lèvres pour ne pas crier.
Ensuite, après une courte pause, le martinet cingle mon sexe et mes testicules. Je n’ai pu que me tortiller de façon ridicule sans rien pouvoir éviter et là, je hurle, ce qui fait bondir Maitresse .
Aucune partie du corps épargnée par la punition!
Elle se lève, ôte sa culotte puis en plaque le fond sur mon nez. Je sens une odeur âcre d’urine fermentée! Elle crie dans mes oreilles,
- Sens ma culotte pauvre merde! sent là bien! Cela fait deux jours que je la porte pour cette soirée et pour toi! Ouvre la bouche!
Elle retourne la culotte sur l’envers et l’enfonce.
- Vas-y gueule maintenant!
Des Rires fusent de nouveau. Madame est priée de recommencer au début, l’esclave ayant désobéi aux ordres. Aucune partie du corps n’est épargnée sauf le visage.
Princesse prend la suite sans hésiter. Elle a bien suivi la démonstration. Posément, elle m’administre une bonne flagellation et ne retient pas ses coups. Mon corps n’est que douleur: peau bouillante, crampes de partout, demi étouffement, …
Et Maitresse n’a, même pas encore commencé, et il s’agit de la plus musclée et la plus brutale. La suite est infernale. Maitresse frappe de toutes ses forces. Chaque coup est plus douloureux que le précédent. Mon entrejambe est sa cible préférée. Je ne cherche même plus à tenter d’esquiver les coups.
Cette dominatrice impitoyable exulte quand Elle voit les larmes qui coulent sur mon visage. Je sanglote de douleur et de honte. Elles m’ont brisé, complètement brisé, jusqu’au fond de moi. Ensuite, Madame défait les menottes et me tire brutalement vers un fauteuil. Enfin, elle ôte mon bâillon et me fait à moitié allonger devant.
Prêt à être l’esclave de toute femme dominatrice
Elle s’assoit puis relève son tee-shirt jusqu’ à la taille et, finalement, tire ma tête contre sa vulve.
- Lèche mon sexe esclave! Ainsi tu dois me remercier de t’avoir puni. Lèche mon sexe de Femme! Lèche ta Maitresse dominatrice!
Elle me plaque contre son intimité. Le nez dans sa toison brune, je respire une odeur forte d’urine et de sueur. Elle, aussi, s’était préparée pour cette soirée! Malgré la douleur et les yeux encore pleins de larmes, malgré cette odeur écoeurante, je m’exécute.
Madame guide mes mouvements. Ainsi, elle remue de temps en temps son bassin pour une meilleure sensation. Soudain, une digue lâche au fond de moi, ma nature de soumis se révèle et m’envahit d’un coup. Je suis à ma place entre les cuisses de cette Femme. En effet, après m’avoir battu sans pitié, elle exige que je la lèche, à genoux. De plus, elle m’humilie par son absence volontaire d’hygiène.
A ce moment précis, je me rends compte que toute Femme qui le désirera pourra faire de moi son esclave. Je suis pris de frénésie par cette « révélation ». Aussi, je redouble d’ardeur, la léchant à pleine langue, m’introduisant à l’entrée de son vagin, stimulant son clitoris.
Gode vivant pour Maîtresse dominatrice
Elle me guide avec des ordres brefs.
L’étau de ses cuisse m’emprisonne brutalement. Elle fait aller son bassin contre mon visage, m’étouffant. Puis Elle pousse quelques gémissements.
Quelques instants après, elle me repousse du pied.
- Dégage! A Vous les Filles !
- Tu sais Christelle, si ça te dérange de faire ça devant Nous, tu peux aller dans la chambre d’amis. Moi aussi ça me gênait un peu au début. Maintenant, c’est un vrai plaisir de montrer comment je me sers de ce gode vivant !
Princesse m’entraine alors vers la chambre d’amis mais Elle laisse la porte ouverte. Je dois m’agenouiller devant un lit assez haut. Elle ôte sa culotte, relève son tee-shirt et s’installe face à moi, cuisses écartées sans la moindre pudeur.
Je ne suis plus un homme. En fait, je suis devenu juste un esclave dont le regard ne compte pas. Je n’existe pas à ses yeux .
- T’as de la chance, moi y a que depuis ce matin que j’ai pas fait ma petite toilette ! Je saurai pour la prochaine fois !
Elle rit de sa « plaisanterie » et me presse sans attendre contre son sexe.
- Applique toi ou tu seras puni!
Je m’exécute docilement, avec application. Ainsi, je savoure l’honneur qu’Elles me font d’être un instrument au service de leur plaisir. Je suis fasciné par la beauté et la supériorité du sexe féminin. Grâce à Elles Trois, je suis devenu le serviteur dévoué de ce temple sacré: le sexe de LA Femme. Le plaisir de Princesse est plus « liquoreux » que celui de Madame. Mon visage est bientôt trempé d’un mélange de salive et de cyprine. Je lèche et j’avale avec reconnaissance son nectar de déesse. Enfin, Princesse se laisse aller à quelques petits cris de plaisir .
Au coin de la pièce, mains sur la tête!
Elle me ramène au salon, un large sourire aux lèvres.
- Il t’a donnée satisfaction on dirait?
- Oui , c’était pas mal, il s’est appliqué.
Des rires fusent.
Elles me font mettre à genoux dans un coin de la pièce, mains sur la tête. Maitresse m’a de nouveau enfourné sa culotte dans la bouche.
à suivre