Prof soumis à son étudiante dominatrice (17) : partie BDSM

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partie BDSM

Présentation des participants

Maîtresse Caroline nous attend sur le pas de la porte de l’appartement pour cette partie BDSM.

-Dépose les sacs à la cuisine, tu rangeras plus tard, ensuite tu nous rejoins au salon !

Je m’exécute et rejoins Maîtresse Caroline au salon. Je marque un temps d’arrêt. La table basse a été enlevée, laissant un bel espace libre au milieu de la pièce. Les deux livreurs sont assis chacun dans un fauteuil, Maîtresse sur le canapé. Et à côté d’elle, Maîtresse Chloé. Ennia est à genoux aux pieds de Maîtresse Caroline, nue, portant seulement son collier de chienne, tenue en laisse par ma Maîtresse. La présence Chloé et d’Ennia me fige. Je devine ce qui va m’arriver, enfin ce que je vais devoir faire, je l’accepte… mais je pensais que Maîtresse Caroline serait seule.

-Alors ma petite bonniche, on hésite ? Viens là, immédiatement !

J’approche, regard baissé. J’obéis, c’est tout. Je suis mort de honte, j’ai peur, mais je suis excité. La cage remplit parfaitement son office et contient un début d’érection plus que douloureuse. Je suis une pute, une chienne en chaleur… je suis devenue cela. Ou peut-être l’étais-je depuis toujours, sans le savoir.

-Alors…. elle s’est montrée coopérative ma bonniche ?

Présentation du soumis esclave

Le petit livreur prend la parole:

-Elle aurait pu mieux faire…. hein Marc ? : dit-il en s’adressant à son partenaire black.

-Ouais c’est sûr… elle voulait pas ouvrir les cuisses. Une vraie pucelle. La cage, c’est pour l’empêcher de se branler c’est ça ?

Il semble toujours ne pas en revenir que ma queue soit encagée. Maîtresse Caroline m’humilie encore plus, avec un grand sourire.

-Oui, sans la cage, cette chienne bande en permanence et ne pense qu’à se toucher. Une vraie salope qui a le feu au cul. D’ailleurs, tu devrais leur montrer ma pute. Allez, caresse toi, montre leur que tu as envie de cul…. excite nos invités. Vous allez voir, c’est une vraie truie en chaleur !

Dans un état second, j’obéis à Maîtresse Caroline, en évitant soigneusement de croiser le regard d’Ennia. Maîtresse Caroline a raison. Je suis une salope qui ne pense qu’au cul. Je remonte lentement ma jupe en latex sur mes hanches. Le grand black, celui qui s’appelle Marc, laisse échapper un sifflement…

-Wouah, elle est entièrement rasée… c’est une vraie pute dites donc !

Début de la partie BDSM

Je caresse l’intérieur de mes cuisses, j’ouvre mon cul à pleines mains et je le présente aux invités, je joue avec les pinces sur mes tétons, ce qui m’arrache un petit cri de douleur, je donne des coups de hanches dans le vide. Ma queue me fait terriblement souffrir, serrée au maximum dans ma cage de chasteté. Maîtresse Caroline donne la laisse qui retient Ennia à Chloé et se lève pour me rejoindre. Elle déboutonne mon chemisier et commence à jouer avec les pinces, plus durement que je ne le faisais…

-La chienne est très sensible des tétons. Son dressage est loin d’être terminé. Comme nous en avons convenu Messieurs, vous allez m’aider à l’éduquer. Elle n’a encore jamais sucé de queue, et son cul de pute ne s’est jamais fait baiser par une vraie queue de mâle. Elle est à vous. Vous pouvez l’utiliser comme vous voudrez. Et faites la bien couiner cette salope, ça nous excite à mort !

Le grand black a sorti sa queue, plus qu’imposante, et se branle lentement en me regardant. C’est le premier à m’adresser la parole :

-Viens là ma salope, tu vas me montrer ce que tu sais faire avec ta bouche, allez, viens sucer ta première queue. Une belle queue de black, t’en as de la chance hein ?

Première fellation au grand black

Je m’approche lentement, et je me mets à genoux. Son gros gland luisant me révulse et me fascine à la fois. Personne ne parle, comme si l’instant était solennel.

-Plus vite, suce moi sale pute. Je sors ma langue et l’approche lentement de sa hampe. Je donne de petits coups tout le long, je lèche délicatement son gland pendant qu’il continue à se branler. Mais il n’a visiblement pas envie que je prenne mon temps. Il pose sa main sur ma tête et appuie. Son gland force mes lèvres et vient de planter au fond de ma gorge

-J’ai dit suce la pute !!! »

J’ai un haut-le-coeur et je la recrache en toussant…

-Doucement, allez, encore… suce moi bien !

Je fais de mon mieux, je suce, l’enfonçant à chaque fois un peu plus loin. Je la retire de ma bouche pour lécher son gland. Il semble aimer…

-Lèche moi les couilles aussi…. t’as vu comme elles ont bien pleines… du bon jus pour toi ma salope. On va faire de toi une bonne pute à blacks, j’ai plein de potes qui vont t’adorer.

Je lèche, suce, salive le long de sa tige… Maîtresse Caroline et Maîtresse Chloé se sont rapprochées, elles me regardent faire, de près. Je me sens encore plus humilié, mais cela me donne aussi la volonté de bien faire. Pour que mes Maîtresses soient fières de moi.

-Hummm regarde Chloé comme elle aime ça. Je te l’avais dit, c’est une vraie chienne à queue. On va en faire une bonne suceuse. Faut qu’on la surveille, elle va devenir accro!

Cravaché par ses Maîtresses

Mes Maîtresses éclatent de rire, et s’amusent beaucoup lors de cette partie BDSM. Mon humiliation atteint son maximum. Je pleure de honte tout en suçant la queue de Marc qui grossit encore. Il impose le rythme avec sa main, et je le sens accélérer.  Ensuite, il jouit en grognant et je m’étouffe avec son sperme, très abondant.

Je recrache sous le coup de la surprise, et aussitôt, Maîtresse Caroline m’assène une gifle magistrale

-Sale pute, tu ne sais pas que tu dois avaler ?!!! Regarde t’en a foutu plein le parquet, nettoie immédiatement ! Chloé, je crois qu’elle a besoin de la cravache pour que cela lui rentre bien dans le crâne. Faut la motiver un peu notre suceuse… allez lèche le bon sperme, et ensuite on nettoie la queue de son homme, et on le remercie !

Sous les coups de cravache qui cinglent mon cul, je lèche le foutre de Marc, puis je le reprends en bouche. Il n’a presque pas débandé et il rigole en se moquant de mes piètres qualités de suceuse.

-Va falloir que tu t’améliores, tu suces comme une merde. On va revenir t’inquiète, tu pourras t’entrainer : dit-il en faisant un clin d’œil à son collègue. Allez, mon copain aussi il a envie. Et même si je suis black, il en a une plus grosse que moi. Et des couilles bien pleines, pas vrai Luis ?

Fellation au deuxième livreur

Luis, qui s’est branlé pendant tout le temps de ma fellation, m’attire à lui et me roule une pelle en triturant mes tétons. Il enfonce sa langue dans ma bouche, et je ne peux pas l’en empêcher. Je crois que cela me dégoutte encore plus que de sucer. J’essaie de détourner la tête.Il n’y a rien de plus humiliant pour moi. Mais Luis me tient pas les pinces, par les tétons. Face à la douleur, je ne peux que lui offrir ma bouche. Il m’embrasse longuement puis abaisse ma tête vers sa queue énorme. Je n’ai jamais vu de gland aussi gros. Sa queue est épaisse, pas trop longue mais très large. J’ai du mal à la prendre en bouche. Il me force à le sucer, s’enfonce au maximum en manquant me faire vomir à chaque fois. Cela l’amuse beaucoup.

Maitresse Caroline et Chloé y vont de leur commentaire.

-Dis Chloé, t’en as déjà vues des queues pareilles ? Moi jamais. Elle est vraiment super grosse. Notre petite truie va se faire éclater le cul dis donc…

-Ouais t’as raison, elle va bien morfler. Putain elle est géante sa queue !!! T’aime ça hein la pute, les grosses queues !!! T’es vraiment une lope à baiser !!!

J’essaie de jeter un œil vers Ennia, mais elle garde le regard baissé. Et Luis m’ordonne de le regarder dans les yeux pendant qu’il baise ma bouche. Mais il se retient de jouir.

-A quatre pattes. Marc va te préparer le cul pour que je puisse te défoncer. Si c’est moi qui commence, tu vas exploser.

Le grand black s’éclate !

Il saisit mes pinces à seins et tire pour me forcer à me relever puis à me mettre à genoux sur le tapis central. Marc s’est levé aussi. Maîtresse Caroline me lance un flacon de lubrifiant et une capote.

-Allez la pute, tu ne crois pas que quelqu’un d’autre va le faire quand même ? Tu lui mets la capote et je te conseille de bien te tartiner le cul de gel, si tu veux que ça fasse moins mal. Ils vont t’ouvrir complètement tu vas adorer !

Je tremble en enfilant tant bien que mal le préservatif sur la queue de Marc. Elle est plus grosse que le plus gros des gods avec lequel Maîtresse Caroline m’a déjà travaillé. Je m’enduis de gel, copieusement.

Tu devrais bien te doigter, et t’en mettre un max dans la rondelle.

C’est Ennia qui a parlé. Je me fige et je tourne vers elle. Maîtresse Caroline est debout à côté d’elle. Les larmes me montent aux yeux et je suis ses conseils, sans détacher mon regard du sien. Je suis anéanti, totalement. Marc trouve que c’est trop long et il vient derrière moi. Sa main sur ma nuque me force à me mettre à quatre pattes. Je sens son gland se frotter sur mon anus, et il commence à pousser. J’essaie de m’ouvrir, de me détendre. Il force et son gland m’ouvre et me pénètre. Je crie de douleur et il m’assène une grande claque sur les fesses.

-Hmmm j’adore les faire crier les putes dans ton genre… Vas y, hurle si t’en as envie. Putain ce qu’elle est étroite, c’est trop bon !!!

Suite des réjouissances !

Il fait quelques va et vient et s’enfoncer à fond d’un seul coup. Je hurle mais Luis m’enfonce sa queue dans la bouche, pour étouffer mes cris. Ils me violent. La douleur s’atténue un peu mais le plaisir n’est pas là. Enfin pour moi. Marc me baise à grands coups de reins, et il ne tarde pas à jouir une deuxième fois. Il se retire, me laissant béant, et Luis vient aussitôt prendre sa place.

-Attends ! : dit Marc.

-Remets lui du gel, tu vas voir elle est trop bonne cette salope !

Son gland est bien plus gros que celui du black. Il force mais sans réussir à rentrer. Maîtresse Caroline farfouille alors dans son sac et en sort une fiole de poppers.

-Vas y ma salope, respire un grand coup !

J’obéis, la chaleur m’envahit aussitôt, monte.. et je hurle à nouveau lorsque Luis m’empale. Maîtresse Caroline me fait sniffer encore et encourage Luis.

-Vas-y, maintenant tu peux vraiment la défoncer !

Soumis totalement humilié !

Il ne s’en prive pas. Je ne suis plus qu’un cri continu, que le string que Maîtresse Chloé a enfoncé dans ma bouche pour me baillonner peine à atténuer. Luis a saisi mes hanches et il me pilonne de plus en plus vite. Il jouit rapidement et se retire. Mon viol anal est terminé, mais pas l’humiliation. Tiré à nouveau par les pinces, je me retrouve encore à genoux. Visage ravagé par la douleur, les larmes… Maîtresse Chloé retire son string de ma bouche et Maîtresse Caroline prend la parole :

-Tu dois avoir soif ma petite pute…. Regarde le bon foutre chaud que tu vas pouvoir déguster…ouvre ta bouche et sors ta langue, allez !

Ensuite, joignant le geste à la parole, elle vide sur ma langue les deux préservatifs remplis du sperme de mes violeurs.

-Avale ! Avale tout ! Va falloir que tu apprennes à aimer ça, ce n’est pas la dernière fois que tu vas y goûter, crois moi !!

Je suis au bord du vomissement, mais j’obéis, j’avale tout comme Maîtresse me l’a ordonné. Lors de cette partie BDSM, je me sens déshumanisé. Brisé totalement.

Départ des 2 livreurs

Maîtresse Caroline prend congé des deux livreurs, non sans leur dire à très bientôt. Et qu’ils n’hésitent pas à en parler à leurs amis qui seraient intéressés.  Puis elle revient au salon et se plante devant moi.

-Ma pute…. vois ce que je peux faire de toi. Je peux t’offrir à qui je veux, te faire baiser par qui je veux. Je l’ai fait et je le referai encore, souvent. Tu es à moi. Mon objet, mon esclave j’espère que maintenant tu en as pleinement conscience. Tu es ma pute. Et si j’ai envie de te prostituer, je le fais. C’est aussi simple que ça. Mais assez pour ce soir, je crois que tu as eu ton compte. Et comme tu nous as bien excitée, t’as droit à une petite récompense.

Je me jette à ses pieds, les embrasse, les lèche avec dévotion… je pleure en la remerciant, en disant que je suis sa chienne, sa pute, sa gagneuse, qu’elle peut faire de moi tout ce qu’elle veut, que je suis à elle, qu’elle est ma Déesse, ma Divine Déesse…. Elle me repousse de sa semelle et m’ordonne de me relever. Ensuite, elle prend la clé qui pend au bout d’une chaîne, entre ses seins, et me libère de ma cage. Je bande aussitôt.

-Ennia, approche. Notre petite truie a mérité une récompense. Tu as donc 3 minutes pour le faire jouir. Si tu n’y arrives pas, tant pis pour lui. Il retourne dans sa cage et toi, je te punis comme rarement tu l’as été. Rien qu’à la cravache. Tu sais combien je peux être sévère, surtout quand je suis super excitée comme maintenant. Allez, au boulot !

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2 réflexions au sujet de “Prof soumis à son étudiante dominatrice (17) : partie BDSM”

  1. Je suis dingue de ton histoire, je la lis souvent en recommençant au premier épisode. Je ne peux pas m’arrêter et suis à chaque fois plus excité. J’en ai déjà rêvé…
    Merci beaucoup et surtout continue à écrire, c’est trop bon à vivre. Patty pour Maîtresse Caroline…

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