Rééduqué par mon épouse dominatrice, une brillante avocate! (13)

Rééduqué par mon épouse dominatrice, une brillante avocate! (12)

Déesse Jessica, mon épouse dominatrice, replonge sauvagement dans mon cul, m’arrachant le plus terrible hurlement de la soirée – au moment où Sarah apparaît à la porte derrière nous.

• Déesse Déborah, ma vessie est prête et à votre disposition.

 

• Enfin Sarah ce n’est pas le moment, tu ne vois pas que Jessica est en train d’enculer sa chienne ?

 

• C’est juste que vous m’aviez demandé de vous prévenir, Déesse Déborah.

 

• Tu vas craquer là?

 

• Oui, je suis pleine, Déesse Déborah.

 

• Ma chienne a sans doute besoin d’un rafraîchissement. Viens ici, Sarah, dit Déesse Jessica.

 

• Bien, Madame Jessica.

Au bout de ma douleur!

Je ne perçois que des fragments de la situation tant je souffre. Je vois simplement Sarah avancer lentement, à quatre pattes, jusqu’à nos deux Déesses. De toute évidence, elle s’est remplie la vessie et sa démarche est contrariée. Combien de litres a-t-elle dû ingérer pour que ce soit si insupportable ?

• Reste là, dit Déesse Déborah.

 

• Ce bijou que tu lui mets dans le cul est vraiment splendide.

 

• Oui, je l’ai fait faire sur mesure. Je le retirerai tout à l’heure, tu verras le potentiel anal de ma chienne. Et je te donnerai l’adresse si tu veux faire fabriquer le même à la tienne.

 

• En tous cas, elle a l’air d’avoir furieusement envie de pisser ? Regarde comme elle se tortille, elle est mignonne !

Déesse Déborah s’approche de Sarah tandis que Déesse Jessica continue à me violer l’anus. Je suis au bout de ma douleur mais j’encaisse les coups. En fait, je ne sens plus mes organes. Elle a frayé une voie directe qui semble remonter jusqu’à ma gorge. Déesse Déborah attrape Sarah par la laisse et l’immobilise près de moi. Sarah se tortille effectivement, manifestement son envie d’uriner est terrible.

 

Sodomisé par mon épouse dominatrice

• Je ne sais pas s’il est en état d’avaler quoi que ce soit, regarde son visage ! dit Déesse Déborah.

 

• Attends je ne peux pas le voir là, je suis bien au fond, ça coulisse du tonnerre ! Cette chienne aurait mieux fait de naître homosexuelle, elle a un cul parfait pour se faire enfiler !

 

• Il va avoir du mal à marcher demain c’est certain.

 

• Il posera un congé maladie ce n’est pas très grave… ce n’est pas comme si son travail servait vraiment à quelque chose. De toute façon j’envisage de le faire démissionner.

 

• Ce serait la meilleure chose à faire !

 

• J’en suis sûre!

 

• Et puis c’est certain qu’il y a plein de choses à lui faire faire à la maison ! Bon, en attendant ma chienne a besoin de libérer sa vessie. Attends un instant Sarah.

Tandis que Déesse Jessica continue à me limer en profondeur, Déesse Déborah repart quelques instants vers la cuisine et en revient avec ma gamelle. Elle la pose juste devant moi.

• Viens pisser un peu là-dedans, Sarah. Rien qu’un peu, tu remplis la gamelle, c’est tout ! Je te fais confiance pour ne pas mettre une goutte à côté, et pour en garder dans ta vessie.

 

• Oui, Déesse Déborah.

Déesse Déborah tire sur la laisse de Sarah qui vient s’accroupir sous mes yeux, les cuisses écartées au-dessus de la gamelle.

 

• Quelle jolie pisseuse ! rigole Déesse Jessica en me remettant un grand coup.

 

• Oui, ta chienne va pouvoir se désaltérer ! C’est ce que tu voulais non, la voir boire dans cette gamelle ?

 

• Oh oui!

Assoiffé, prêt à boire n’importe quoi!

Au même moment, Sarah commence à uriner. Le soulagement est visible sur son visage. Le champagne doré tombe lourdement dans la gamelle, provoquant quelques éclaboussures, et en quelques secondes à peine celle-ci est déjà pleine. Au prix d’un effort terrible, Sarah parvient à se contrôler, elle arrête de pisser, Déesse Déborah la congratule d’une caresse dans les cheveux.

• C’est difficile de s’arrêter hein ?

 

• Oui, Déesse Déborah, répond Sarah en gesticulant.

 

• Tu t’es très bien débrouillée ! Mais on va devoir attendre un peu pour la suite.

 

• – S’il vous plaît Déesse Déborah, je n’en peux plus…

 

• Eh non Sarah, répond celle-ci en lui mettant quelques coups de cravache sur les fesses.

Elle tourne l’objectif du téléphone vers moi.

• Nous allons voir maintenant si ta chienne est assoiffée !

Je le suis. La douleur est si intense. J’ai perdu tant de sueur que je ne rêve que de boire. Peu importe que ce soit l’urine de Sarah. À cette heure-ci, je boirais n’importe quoi. Je sens alors Déesse Jessica qui tire sur ma laisse, le gode toujours au fond de mon cul.

• Avance, chienne, tu n’as pas entendu ce que t’a dit Déborah ?

 

• Si, Déesse Jessica.

Filmé en train de boire l’urine de Sarah

J’avance à quatre pattes, la position est plus qu’inconfortable, jusqu’à me retrouver en face de la gamelle. Je plonge la tête immédiatement dedans, tire la langue. Tandis que Déesse Jessica recommence à me ramoner, j’avale tout ce que je peux. Sur le côté, Déesse Déborah me filme et n’en perd pas une miette.

• Mais elle avait vraiment soif la chienne, c’est incroyable, tu as vu ça Sarah ?

 

• Oui, Déesse Déborah.

 

• J’en reviens pas, continue Déesse Jessica. Il y a deux jours c’était un individu sans intérêt et regarde maintenant, une chienne de compétition qui avale de la pisse en se faisant enculer !

 

• C’est tout l’intérêt du dressage.

 

• Elle progresse vite en tous cas, je suis fière.

 

• Tu peux l’être!

 

• Est-ce que tu veux un peu lui faire le cul ? Je commence à fatiguer.

 

• Oh, tu m’autoriserais?

 

• Ben oui bien sûr, pour toutes les fois où tu as envoyé Sarah dans mon bureau !

 

• Avec grand plaisir alors. Je vais arrêter de filmer pour le moment.

 

Déesse Jessica, mon épouse dominatrice, refait quelques va et vient, tandis que je suis presque déjà au bout de la gamelle, puis se retire brutalement de mon cul.

• Oh la la, il est béant l’animal !

 

• Oh oui, tu l’as saccagé.

Ensuite, Déesse Déborah rentre quelques doigts dans mon cul.

• Je ne suis pas loin de pouvoir déjà y mettre une main !

 

• Et il a tout bu en plus… constate Déesse Jessica en voyant la gamelle vide.

 

• On va lui en remettre, retire ton gode, j’ai une idée.

Déesse Déborah, encore plus violente que mon épouse dominatrice?

Déesse Jessica retire son gode tandis que je sens mes chairs se contracter de nouveau doucement. J’ai la langue pendante et le visage ravagé par la douleur. Je ne suis pas sûr à ce moment-là de pouvoir subir une nouvelle sodomie, d’autant que je pressens que Déesse Déborah sera plus violente encore que ma Déesse. Repartie jusqu’à son sac, elle en revient avec un petit instrument en métal qu’elle montre à mon épouse dominatrice.

• Qu’est-ce que c’est ?

 

• Un spéculum. Pour laisser son cul béant. J’en ai toujours un avec moi, tu devrais en acheter toi aussi !

Je sens un métal froid me rentrer dans le fondement. Puis une sensation terrible, qu’on m’écartèle de l’intérieur.

• Tu vois, tu tournes la visse ici, et tu décides ensuite de la taille d’ouverture de l’anus.

 

• C’est très impressionnant.

 

• Voilà, regarde-moi ça.

 

• Son cul est de nouveau tout ouvert !

 

• Eh oui!

Déesse Déborah lui sourit et lui désigne le gode ceinture.

• Je peux?

 

• Tu vas l’enculer avec le spéculum ?

 

• Hahaha bien sûr que non ! Il est trop douillet pour ça ! Mais il faut que je soulage aussi ma soumise, tu comprends ?

 

• Ah tu veux enculer Sarah ? Je suis un peu déçue.

 

• Non plus, regarde, tu vas apprécier le spectacle.

 

• Oui mais je vais m’asseoir un peu, enculer cette chienne m’a épuisée !

 

• Mais oui, repose-toi un peu, je m’occupe de tout !

 

• Je prends ton téléphone, il y aura peut-être de jolies choses à filmer.

 

Les réjouissances ne sont pas terminées…

Déesse Jessica attrape le téléphone de Déesse Déborah et va s’installer dans un fauteuil juste en face de nous, à quelques mètres seulement. Déborah revient vers moi.

• Mets-toi sur le dos, chienne.

 

• Oui, Déesse Déborah.

Je lui obéis avec d’autant plus de plaisir que mes genoux me font atrocement mal. Je pourrais je crois m’endormir immédiatement si on me l’ordonnait. Mais ce n’est évidemment pas ça que Déesse Déborah a en tête.

• Maintenant relève ton bassin et présente ton cul.

 

• Je… oui Déesse Déborah.

Au prix d’un effort incalculable, je parviens à relever mon dos pour tendre mon cul en l’air.

• Ta chienne n’est pas très souple dis donc…

 

• Ça, c’est le moins qu’on puisse dire !

 

• Il va falloir que tu l’inscrives à une salle de sport, tu ne pourras pas longtemps abuser d’elle si elle n’est pas capable de tenir ce genre de séance!

 

A suivre