Follement amoureux d’Aline !
Les semaines passèrent à une vitesse affolante mais paradoxalement je sentais le temps ralentir, tant la vie avec Aline ne me laissait pas de repos. Tantôt nous faisions l’amour « normalement », ou « vanille », comme ils disent, chez moi à Montpellier, tantôt elle m’initiait toujours plus avant aux plaisirs de la soumission. À chaque fois que j’allais chez elle, il fallait que je me comporte comme un homme soumis. Je devais me déshabiller, ramper à ses pieds et obéir au moindre de ses caprices. Souvent, seul chez moi ou au boulot, je me disais qu’il faudrait que je me défasse d’une relation qui, à la longue, ne pouvait s’avérer que toxique.
Mais je ne pouvais pas, j’étais intoxiqué et surtout, follement amoureux. Comment expliquer ce que je ressentais ?
Aline me proposa un samedi ensoleillé de juin, de me présenter sa meilleure amie lors d’un déjeuner dans un restaurant de Fabrègues. Nous convînmes d’un rendez-vous un samedi midi. Il faisait beau et chaud, nous déjeunâmes à la terrasse du restaurant. Aïcha était une beauté brune aux cheveux bouclés, dont les yeux bruns reflétaient non seulement l’humour et un esprit vif et profond mais une sorte de mélancolie, une tristesse cachée qui m’émut sans que je pusse en discerner la cause exacte. Entre ces deux jeunes femmes si pleines d’esprit et de vivacité, dont l’intelligence pétillait comme du champagne, je me sentais comblé, ayant enfin le sentiment d’appartenir à ce monde adulte que je convoitais tant pendant mon adolescence et mes années d’étudiant.
Aïcha, la meilleure amie d’Aline
J’appris qu’Aïcha travaillait pour les services culturels de la mairie de Montpellier, menant des projets en étroite collaboration avec les musées, les théâtres, les services culturels de l’État. Elle parlait de son métier avec passion, ne cachant cependant pas les déboires qu’elle pouvait rencontrer en raison des conservatismes et des blocages des administrations diverses.
Au café, la conversation tournait autour des relations de couple et ses complexités. Gêné, je me contentais alors de proférer quelques banalités, auxquelles Aïcha me répondit d’un ton nonchalant :
-Oh ! Tu sais, Aline m’a tout raconté…
Je me sentis rougir et je regardai Aline d’un air rageur, qui me rendit mon regard avec un sourire narquois. Après avoir payé et être sorti du restaurant, nous convînmes d’aller boire un autre café chez Aline.
Aline et moi prîmes sa voiture, tandis qu’Aïcha nous suivait avec la sienne. Nous arrivâmes bientôt chez Aline. Tandis que les deux jeunes femmes entraient dans le salon, je me proposai de faire le café.
-Attends, viens avec moi, me dit Aline.
Puis à Aïcha :
-fais comme chez toi, tu connais la maison. On arrive tout de suite.
Nu, devant Aline et Aïcha !
Puis Aline m’emmena dans sa chambre et ferma la porte derrière elle.
-Qu’est-ce que tu fais ? me demanda-t-elle.
-Ben quoi ? répondis-je, je me proposais de faire le café.
-Non, mais attends, tu as oublié les règles, rétorqua-t-elle. Dès que tu franchis le seuil de cette maison, tu te fous à poil.
-Oui, mais… et Aïcha…
-Justement : tout nu, tout de suite, et tu te présentes devant elle.
-..
-Mon amour, tu n’as pas le choix… tu le sais, n’est-ce pas ?
-Oui, Aline.
-Tu veux que je sois fière de toi ?
-Tu veux lui montrer ton obéissance ?
-Alors, mets-toi tout nu et viens.
J’obéis. Je me déshabillai entièrement et j’arrivai sur le pas de la porte entre le couloir des chambres et le salon. J’hésitai à le franchir.
-Aïcha, Amaury voulait te montrer son gros zizi. Tu veux le voir ?
-Bien sûr, répondit cette dernière.
Présentation de l’esclave à Aïcha !
Aline me saisit fermement le poignet et me tira en avant dans le salon. Je me tins là, à quelques pas du canapé où Aïcha se trouvait assise, un large sourire aux lèvres, contemplant mon érection naissante.
-Mmmhh ! Pas mal ! Pas mal du tout ! Tu ne dois pas t’ennuyer, Aline. Qu’est-ce qu’il est mignon, en plus, tout nu. Et ses couilles bien lisses et bien glabres de parfait petit esclave. Et je parie qu’il a un mignon petit cul tout rebondi. Je me trompe ?
-Amaury, retourne-toi pour montrer ton cul à Aïcha, m’ordonna Aline.
Je m’exécutai, le rouge aux joues, et Aïcha continua ses commentaires élogieux. Aline se tint face à moi. Soudain, en me regardant dans les yeux, elle claqua des doigts puis tendit son index vers le sol à ses pieds. Je m’agenouillai, immédiatement devant elle, le regard baissé.
-Retire-moi mes chaussures, mon amour, me dit-elle.
Je détachai lentement la boucle de la sandale de son pied droit, puis elle leva le pied pour que je la lui retire. Je posai doucement un baiser sur son pied, puis je lui retirai son autre sandale. J’embrassai son autre pied à nouveau, une fois, puis deux. Je jetai un bref coup d’œil en arrière : Aïcha nous observait, fascinée. Aline m’ordonna de me lever et me prit gentiment par le bras, vers la table de la salle à manger.
-Viens, Aïcha, dit-elle, on va l’inspecter.
Totalement soumis à Aline !
Aline tira une chaise à elle. Elle m’ordonna de me pencher en avant en appuyant mes deux mains sur la chaise et de bien écarter les jambes.
-Plus écartées que ça, les jambes, m’ordonna-telle sèchement en me donnant un léger coup de son pied sur la cheville droite afin de l’écarter davantage. J’obéis et je me penchai en avant, prenant appui sur la chaise.
-C’est bien, mon amour, me dit-elle d’une voix douce en saisissant mes couilles dans le creux de sa main. Tu aimes que je te caresse les couilles quand je suis contente de toi, n’est-ce pas ?
-Oui, Aline.
Puis elle me caressa le dos doucement. Elles se tenaient toutes les deux derrière moi, admirant ma totale docilité. Ensuite, Aline posa ses deux mains sur mes épaules et descendit tout doucement, jusqu’aux fesses. Elle les tint bien, chacune dans une main, puis les écarta lentement, dévoilant ainsi à Aïcha mon intimité la plus secrète et la plus profonde.
-Mon amour ? me dit-elle.
-Oui, Aline ?
-Tu aimes bien que j’exhibe ton anus devant Aïcha ?
-Oui, fais-je dans un souffle.
-Dis-moi, mon amour, comment se fait-il que tu sois nu, penché sur cette chaise, avec les fesses écartées en train de montrer ton mignon petit trou à Aïcha et moi ?
-C’est parce que je suis ton esclave nu et soumis, murmurai-je. Je rougissais.
-Je n’ai rien entendu. Tu as entendu quelque chose, toi, Aïcha ?
-Non, rien du tout.
-Plus fort, mon bébé, nous n’avons rien entendu.
-Je suis ton esclave nu et soumis !
-Voilà qui est mieux !
Inspection de l’esclave par Aïcha !
Aline lâcha mes fesses, contourna la chaise, puis se plaça devant moi. Elle s’accroupit pour mettre son visage à la hauteur du mien et m’ébouriffa tendrement les cheveux.
-Aïcha, tu peux l’inspecter à ton tour.
Écarlate, je sentis les mains de la copine d’Aline se plaquer sur mes fesses puis elle les écarta brusquement.
-Tu vois son petit trou ?
-Oui, oui, répondit Aïcha. On dirait qu’il est dilaté.
-Oui, c’est un mignon petit trou très gourmand. Il connaît sa maîtresse. N’est-ce pas, mon petit esclave d’amour ?
-Oui, Aline.
-Je peux lui mettre un doigt ? demanda Aïcha.
-Franchement, Aïcha, combien de fois devrais-je te le dire ? Tu es chez moi chez toi.
-Aline, tu es vraiment trop cool. Tu sais que j’adore ça.
Aline me regarda tendrement et caressa ma joue de la paume de sa main. Je sentis le doigt d’Aïcha s’introduire lentement en moi. Je regardai Aline avec une passion fiévreuse, j’embrassai les doigts qui caressaient ma joue. Le doigt s’introduisit plus profondément et fit quelques aller-retours.
-Il aime ça, on dirait, commenta Aïcha.
-Il adore !
Je gémis de plaisir et d’excitation. Au bout de quelques minutes, Aïcha se retira et Aline me demanda de me lever. Elle me prit dans ses bras, me serra très fort et m’embrassa. Elle introduisit sa langue dans ma bouche et l’enroula autour de la mienne, en un lent baiser passionné.
-Je t’aime mon amour.
-Moi aussi, je t’aime, Aline.
Aline se recula, me lâche et m’informa que le café sera servi dans le petit salon.
Préparation du café par l’homme soumis !
Je partis donc dans la cuisine pour préparer le café. Je disposai tout sur le plateau : le petit sucrier en étain qui représentait la face du dieu indien Ganesh, le dieu éléphant, qui symbolisait la sagesse, la connaissance et les métiers de l’enseignement. Ses yeux étaient deux minuscules petites émeraudes serties dans le métal. Ce petit objet précieux représentait tout ce qu’était Aline à mes yeux : la finesse et la grâce incarnées. Je sortis ensuite les tasses et les soucoupes du service à café qu’adorait Aline car elle l’avait hérité de sa grand-mère, avec deux minuscules cuillères en argent où était gravée, en belles anglaises, une maxime latine : « Mens agitat molem », l’esprit meut la matière.
Je fis les deux cafés avec la petite machine à expresso que je venais d’offrir à Aline. Une petite goutte déborda sur une des tasses. Je l’essuyai méticuleusement. Avec Aline, j’avais appris très vite à prendre un soin extrême dans le service, à m’attacher à fond au moindre petit détail. Je savais que j’allais de toutes façons être puni mais je préférais de loin être puni pour son caprice et son plaisir, de façon totalement arbitraire, qu’en raison d’un négligence ou d’une faute. Dans ce dernier cas, j’avais toujours le sentiment de l’avoir trahie, de ne pas avoir été à la hauteur de ses exigences.
Souvenir d’une punition exemplaire
Ainsi, je me rappelai d’un soir avec Aline. j’avais fini de faire la vaisselle. Comme il se devait, je vins en informer Aline de la façon habituelle. Je me mis à ses pieds et commençai à les lui embrasser et à les lui lécher en silence, attendant qu’elle daigne m’accorder son attention. Au bout de quelques minutes, elle se leva pour aller à la cuisine pour inspecter mon travail. Je la suivis à quatre pattes et me mis à genoux à ses côtés tandis qu’elle passait au peigne fin les assiettes, les couverts et les verres qui séchaient sur le vaisselier. Soudain, elle me tendit une fourchette qui était maculée d’une minuscule tache de sauce tomate sur une de ses pointes.
-Qu’est-ce que cela signifie ? me demanda-t-elle d’un ton glacial.
Je me jetai à ses pieds en implorant son pardon. J’embrassai ses pieds avec dévotion tout en la suppliant de me pardonner.
-Ne me touche pas ! s’exclama-t-elle de façon cinglante. Ne me demande pas pardon, fais en sorte de l’obtenir ! Sur le canapé à quatre pattes et en vitesse ! Je ne veux plus t’entendre ! Plus un mot, compris ?
Je me précipitai vers le canapé, ventre à terre et m’installai dessus à quatre pattes. Je pleurais à chaudes larmes.
Aline me rejoignit quelques instants plus tard, tapotant nerveusement dans le creux de sa main une longue règle en bois qu’elle était allée chercher dans son bureau.
-Avant de me supplier de te pardonner, il te faudra implorer ma pitié, fit-elle froidement.
- sous titre
Et elle me donna un grand coup sur les fesses avec sa règle. Je poussai un cri de douleur. Puis un autre et un autre et encore un autre. Entre chaque coup et entre chaque cri, je sanglotais bruyamment, mes larmes inondaient mon visage. J’avais envie de lui dire que je l’aimais. Je sentais en moi la passion brûlante que j’éprouvais pour elle, mon corps martyrisé et mon âme désespérée n’étaient qu’amour. Mais je me retins de lui dire. Je ne le lui confessai que plus tard, blotti entre ses bras, alors que, comme à son habitude, Aline m’interrogeait longuement sur les sensations et les émotions que je ressentais au moment où elle me punissait.
Le moment où ma résistance était à bout vint enfin. Je suppliai.
-Aline, je n’en plus, je t’en supplie ! Aie pitié !
-Pas d’impératif avec moi, Amaury. Reformule ta phrase, fit-elle en me donnant un coup encore plus violent.
-Aline, j’implore ta pitié ! Je te supplie d’arrêter ! Je n’en peux plus.
-Là, c’est mieux, fit-elle en me donnant un dernier coup.
Aline me demanda de rester là où j’étais et partit avec la règle. Je restais là, à quatre pattes avec mes sanglots, mes fesses en feu et mon érection douloureuse.
Aline revint au bout de quelques instants, entièrement nue si ce n’est un gode-ceinture aux dimensions effrayantes attaché à sa ceinture. Malgré la situation, je ne pus m’empêcher d’admirer sa svelte silhouette, ses formes épanouies et la blancheur satinée de la peau de ses seins altiers.
Aline, l’impitoyable bourreau !
Elle se plaça derrière moi sans rien dire et couvrit mon anus de lubrifiant, puis elle me pénétra sauvagement, brutalement. Elle bougeait en moi de façon possessive et implacable. Bientôt, mes sanglots se transformèrent en gémissements, qui ne tardèrent pas à être à l’unisson de ceux de mon magnifique et impitoyable bourreau. Telle une vague impétueuse qui s’écrasait contre les récifs quand l’océan était déchaîné, notre jouissance prit d’assaut nos sens survoltés et notre extase simultanée explosa dans nos corps.
Une fois que nous eûmes récupéré notre souffle, Aline sortit de moi et enleva le gode, qu’elle posa sur la petite table du salon. Splendide dans sa nudité couverte de sueur, elle me regardait. Je descendis du canapé et me plaçai à genoux à ses pieds, levant vers son visage un regard implorant.
-Puis-je te supplier de me pardonner ?
Je me jetai donc une nouvelle fois à ses pieds, les embrassant et les léchant tout en la suppliant de m’accorder son pardon. Au bout de quelques minutes, elle me releva de force, me prit dans ses bras et s’assit. Elle prit ma tête sur ses genoux et me berça. J’étais pardonné. J’étais heureux.
Au service de Maîtresse Aïcha aussi !
Je m’étais remémoré cet épisode pendant que je préparais le café. Alors que le moment était venu d’aller porter le plateau dans le petit salon, j’étais donc à nouveau en érection. Cela me satisfaisait car le service serait ainsi parfait. J’entrai dans le petit salon, le plateau dans les mains et mon sexe dressé orgueilleusement offert au regard des deux jeunes femmes. Je leur adressai un chaleureux sourire et posai le plateau sur la petite table en face du canapé. D’un coup d’œil, je vis qu’Aïcha était pieds nus, sans doute sur l’instigation d’Aline. Je savais ce que j’avais à faire et j’eus un frisson de plaisir anticipé. Aline remarqua mon regard et ma réaction, aussi me dit-elle :
-Les invitées en premier, esclave.
-Oui, ma maîtresse, répondis-je.
Je devais toujours l’appeler «maîtresse » quand elle m’appelait « esclave ».
Je pris l’une des deux tasses avec sa soucoupe puis me mis à genoux devant Aïcha en la lui tendant des deux mains. Lorsque cette dernière la prit, je m’enquis de combien de sucres elle voulait et si elle souhaitait du lait.
-Une petite goutte de lait et un demi-sucre, esclave, répondit-elle.
Je les lui servis et me penchai vers ses pieds. J’embrassai chacun d’entre eux avec ferveur et lui dis :
-Merci de me permettre l’honneur de te servir, Aïcha.
-Maîtresse Aïcha, corrigea Alina. N’oublie pas quelle est ta place, esclave.
-Oui, maîtresse, fis-je. Et je me repris : Merci de me permettre l’honneur de te servir, Maîtresse Aïcha.
Récompense pour l’homme soumis
Ensuite, je répétai les mêmes gestes pour Aline.
-Merci de me permettre l’honneur de te servir, maîtresse, fis-je en lui embrassant dévotement les pieds.
-Le service est vraiment parfait, commenta Aïcha. Je vois que tu as très bien dressé ton esclave.
-Oui, en effet. Crois-tu qu’il mérite une récompense ?
-Assurément.
-Mon amour retourne-toi et mets-toi à quatre pattes pour avoir ta récompense, m’ordonna Aline.
Je m’exécutai et je me mis en position. Aline prit mes couilles dans le creux de sa main et les caressa avec langueur.
-Tu vois, Aïcha, même dans la récompense, il y a une dose d’humiliation pour l’esclave obéissant. C’est délicieux, fit-elle.
-Je te comprends, répondit Aïcha. Dis-moi, ça te dérangerait si je le récompensais à mon tour ? Elles sont toutes mignonnes, ses petites couilles épilées, j’ai envie de les dorloter.
-Bien entendu, Aïcha, fit Aline en riant. Tu ne devrais même pas te sentir obligée de me poser la question. Puis à moi : Esclave, va voir Aïcha pour qu’elle te récompense. Ce qui me ferait vraiment plaisir, par contre, c’est qu’au lieu d’adopter la position habituelle, tu te mettes en position de soumission.
En position de soumission !
La position de soumission consistait à se mettre à quatre pattes en s’appuyant sur les coudes, avec la tête et les épaules reposant par terre et les fesses très relevées, les genoux le plus écartés possible. Ainsi, l’anus était étiré et bien visible, comme une offrande, et les couilles étaient mises en valeur. Aline utilisait souvent cette position pour m’humilier, notamment avant de me sodomiser. Dans nos conversations, quel que soit le sujet abordé, Aline ne se servait jamais de sa position dominante pour m’imposer son point de vue. Si j’avais le dessus dans une conversation, elle l’acceptait de bonne grâce ; si j’avais raison, elle l’admettait volontiers.
C’était ce qu’elle appelait, non sans humour, l’éthique de la domination. Cependant, immédiatement après, elle m’ordonnait de me mettre en position de soumission devant elle. Elle me demandait qui de nous deux était l’esclave, ce à quoi je devais répondre :
« Je suis ton esclave, Aline ».
Puis elle me demandait qui de nous deux était le maître, ce à quoi je répondais invariablement :
« Tu es ma maîtresse vénérée et adorée, Aline ».
J’adorais ces moments.
Je me plaçai donc en position de soumission devant Aïcha, qui semblait ravie.
-C’est ça, la position de soumission ? demanda-t-elle à Aline.
-Oui mais l’idée n’est pas de moi, c’est une des Sœurs qui habite dans la région qui me l’a apprise lors de notre dernière réunion, avec son esclave.
-Tu fréquentes toujours les Sœurs ? demanda Aïcha.
-De loin en loin, répondit Aline. Amaury, va te chercher un café, si tu veux.
Bonjour MAITRESSE ALINE je trouve que votre soumis a beaucoup de chance de vous avoir. J’aimerai biens être a sa place. Phil