L’homme soumis seul avec Aicha !
Aline a tout à coup une voix anxieuse. Je me lève et je pars à la cuisine, curieux de la tournure que prend leur conversation et frustré de ne pas pouvoir rester un moment pour en savoir plus sur ces mystérieuses « Sœurs ».
Lorsque je reviens, Aïcha est seule, un gros joint allumé dans la main. Elle m’explique qu’elle a demandé à Aline de partir quelques instants pour parler seule à seul avec moi et elle m’invite à prendre place à côté d’elle sur le canapé. Mon sexe enfin au repos repose sur mes bourses. Elle le regarde sans aucune gêne et me demande si elle peut le toucher.
Je lui réponds avec un sourire timide :
-Je ne m’appartiens pas, dans les circonstances présentes car je ne suis qu’un homme soumis ! C’est à Aline qu’il faudrait poser la question, c’est elle qui décide.
-Elle m’a donné carte blanche, me répond Aïcha.
-À ce moment-là, je n’y vois aucun inconvénient, au contraire.
Elle me tend le joint, je le prends, et elle prend doucement mon sexe dans sa main, elle presse le gland entre son pouce et son index. Très vite, je me sens renaître, mon sexe se dresse. Elle se penche vers mon entrejambe et dépose un baiser sur mes couilles. J’en suis surpris.
-Je suis une fétichiste des couilles, explique-t-elle en me regardant dans les yeux avec un vague sourire, mais ce n’est pas pour ça que j’ai demandé à Aline de s’absenter.
Un homme soumis pas ordinaire !
Elle s’interrompt et me regarde, l’air soudain grave, tout en continuant à caresser mon sexe désormais totalement en érection.
-Nous nous connaissons à peine, poursuit-elle, je n’ai fait ta connaissance qu’aujourd’hui en fin de matinée. Je ne souhaite pas que tu puisses penser que je suis venue me moquer de toi, m’amuser à tes dépens. Tu as été humilié de plusieurs façons devant moi depuis ce matin. Et je ne veux pas que tu en conçoives quelque honte que ce soit. Tu sais qu’Aline est ma meilleure amie ?
-Oui, je sais. Elle me l’a dit. Elle n’a pas tari d’éloges à ton égard, elle t’aime vraiment beaucoup.
-Oui, et toi, elle t’aime. D’un amour fou, exclusif, passionnel. Et tu sais ce qu’elle veut faire aujourd’hui ?
-Je t’écoute.
-Elle veut me montrer à quel point tu l’aimes. Elle n’arrête pas de parler de toi, Amaury par ci, Amaury par là. Tu n’es pas n’importe qui, tu sais.
-Dans quelle mesure ?
-Tu n’es pas un faiblard, tu n’es pas quelqu’un pour qui la soumission serait une évidence. Tu es un mec qui a de la personnalité, qui ne se laisse pas marcher sur les pieds, qui est cultivé et intelligent, qui rayonne et est apprécié des gens qui l’entourent. Je me trompe ?
-En toute honnêteté, pas du tout. Pas de fausse modestie entre nous.
-Et pourtant, tu t’es complètement rendu à elle, tu t’es soumis, volontairement. Tu l’as laissée te battre, t’humilier, te faire obéir au doigt et à l’œil. Tout cela par amour pour elle. Si tu avais été un soumis ordinaire, elle t’aurait déjà lâché.
Aïcha, témoin de la soumission d’Amaury !
Aïcha lâche mon sexe et me caresse les couilles.
-Et aujourd’hui, elle va me le prouver et se le prouver à elle-même, devant moi. Elle a besoin d’un regard extérieur. Donc, elle veut que tu souffres pour elle, devant moi. Que tu sois humilié, que tu te soumettes complètement à elle, devant moi. Es-tu prêt à cela ?
-Oui, sans aucun doute.
-Alors, soyons amis, d’accord ?
-D’accord, Aïcha.
Je pose le joint dans le cendrier et je lui tends la main.
-Soyons amis.
Elle lâche mes couilles et prend ma main avec force.
-Et quoi qu’elle te fasse faire devant moi, n’en aie pas honte. Tu le fais par amour pour une personne que j’aime tout autant que toi, même si c’est de façon différente.
-Merci, Aïcha.
Aïcha commença alors à me raconter la façon dont elle et Aline avaient fait connaissance. Elles se connaissaient de vue à la fac de Montpellier mais ne s’étaient jamais adressées la parole, se croisant de temps à autre dans les couloirs. Un jour, en juin, juste après les partiels, Aïcha décida d’aller se baigner au cap d’Agde. Elle aimait contempler les corps nus aussi bien des femmes que des hommes, de gros sexes de mâles et de jolis minous fendus comme des abricots. Elle aimait aussi se baigner nue, savoir que d’autres contemplaient son corps, ses seins, ses hanches pleines, ses fesses et son sexe à la toison abondante.
Récit de la rencontre entre Aïcha et Aline
Dans un coin écarté entre Marseillan-Plage et le Cap, elle reconnut immédiatement la jeune fille qui lisait allongée à l’ombre d’un parasol, jambes écartées et genoux repliés, son mignon chaton épilé impudiquement offert aux regards des estivants. C’était « l’étudiante en philo », elle l’appelait ainsi en son for intérieur. Voyant Aïcha, l’étudiante en philo s’assit et serra les jambes. Leurs regards se croisèrent et elle fit un petit sourire à Aïcha, d’un air de dire : « Nous nous connaissons ».
Aïcha déposa ses affaires un peu plus loin. Elle étendit sa serviette, déplia son parasol et commença à se déshabiller, épiant l’étudiante en philo du coin de l’œil, discrètement. Elle eut un frisson de plaisir en retirant son string. Ensuite, elle marcha lentement vers le bord de l’eau, appréciant la caresse de la brise sur son corps nu. Elle se pencha pour prendre un peu d’eau de mer dans ses mains afin de s’en asperger la nuque, tout en se représentant mentalement l’image qu’elle devait offrir de dos. L’étudiante en philo avait-elle levé les yeux de son livre afin de contempler la nudité d’Aïcha ?
Aïcha marcha jusqu’à ce que l’eau lui arrive à la taille, puis elle fit quelques brasses. Au bout de quelques minutes, elle retourna vers sa serviette en observant l’étudiante. Cette dernière était désormais couchée sur le ventre. Sa chevelure rousse reposait sur son dos, elle avait la tête tournée de côté. Aïcha ne put s’empêcher d’admirer ses fesses rebondies. Elle s’allongea sur sa serviette pour se faire sécher. De vagues pensées érotiques traversaient son esprit. Des mains appliquant de l’huile solaire sur son dos, sur ses fesses, s’insinuant entre ses cuisses…
Aline et Aïcha très complices !
Une fois qu’elle fut séchée et que le soleil commença à la faire transpirer, Aïcha se mit en-dessous du parasol et prit un magazine. L’étudiante n’était plus sur sa serviette, elle était partie se baigner. Qui était-elle parmi les têtes des baigneurs qu’Aïcha entrapercevait à la surface de l’eau miroitant sous le soleil ? Elle revint enfin. Feignant de lire, Aïcha admira sa silhouette, ses petits seins haut perchés aux pointes roses et délicates, la courbe harmonieuse de ses hanches et son sexe épilé. L’étudiante mit ses lunettes de soleil et s’allongea sur sa serviette, une jambe repliée.
Quelques minutes plus tard, un homme sortit de l’eau à leur hauteur. Il passa entre leurs deux serviettes et les dépassa. Son sexe en érection attira immédiatement le regard d’Aïcha ; en même temps, elle vit que l’étudiante le regardait aussi, les yeux ébahis. Elles se regardèrent et pouffèrent. L’étudiante se leva et vint à la rencontre d’Aïcha.
-Salut ! s’exclama-t-elle. Tu es à la fac, n’est-ce pas ? Nous nous sommes déjà croisées ? Je m’appelle Aline.
-Salut ! Moi, c’est Aïcha. Oui, oui, je t’avais reconnue en arrivant.
-Tu viens souvent ici ?
-De temps en temps. J’aime me baigner nue.
-Moi aussi. En plus, j’aime bien mater des gros zizis. Pas toi ?
-Je viens aussi pour ça, répondit Aïcha en riant.
-Tu veux boire une bière ? J’en ai dans ma glacière, fit Aline.
-Volontiers, merci.
-Je vais rapprocher mes affaires, si tu veux bien.
-Attends, je vais te donner un coup de main.
A suivre
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