La fessée : Dressage imprévu en vacances (1)

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Rencontre fortuite avec deux ex copines

Pour changer, ma femme a voulu qu’on loue un bateau pendant les vacances. C’est une bonne idée, et si elle n’est pas dominatrice, elle dirige de fait notre couple. Nous avons donc loué un bateau.

En nous promenant à terre, nous avons par hasard croisé deux femmes de notre âge, la quarantaine. Ces dernières étaient au lycée avec moi, bien avant que je fasse connaissance avec ma femme. Nous avons engagé la conversation. Après avoir fait les présentations, nous avons échangé sur nos vies respectives. Ma femme a rapidement sympathisé avec Sophie et Camille. Nous sommes donc allés tous les quatre sur le bateau. J’ai proposé de servir l’apéritif à ma femme et à nos deux invitées surprises.

Elles papotaient dans le cockpit et j’entendis que la discussion s’orientait sur moi. Sophie et Camille disaient à ma femme qu’elles appréciaient de voir que je servais spontanément l’apéritif. Ensuite, elles évoquèrent nos années lycées. Elles comparaient mon attitude actuelle avec mon comportement de l’époque. C’est là que cela s’est corsé, car même si nous nous entendions bien, disons que je n’étais pas un élève exemplaire. Sophie a lâché comme ça dans la conversation qu’à l’époque, j’aurais certainement mérité une bonne fessée, voir même plusieurs. Et Camille d’ajouter en rigolant :

  • ah ça c’est sûr que c’est pas faux, il ne les aurait pas volées !

Au même moment, je remontai dans le cockpit avec l’apéro.

L’apéritif avec les trois femmes

fessée

 

Je voulus réagir mais avant que je n’ai eu le temps d’ouvrir la bouche, je fus surpris d’entendre ma femme s’adresser à nos invitées, toujours sur le ton de l’humour :

  • il n’est jamais trop tard pour bien faire !

J’ai répondu :

  • c’est ça oui !

J’essayai de changer le sujet de discussion en les invitant à passer à l’apéritif.

Cependant, elles se liguèrent, contre moi, comme seules les femmes savent le faire, sorte de solidarité féminine instinctive. Ainsi, elles se levèrent, me barrant le passage pour sortir, et ma femme déclara :

  • mais oui c’est exactement ça, redescend donc dans le bateau mon chéri !

Je dis :

  • tu rigoles ?

Et elle me répondit, avec son beau sourire auquel je ne sais jamais résister … :

  • mais non !

Nous voilà tous les quatre en bas, et je commençai à ne pas en mener large … Et là, j’eus, vraiment très honte, devant mes anciennes copines de lycée. En effet, ma femme me dit que depuis le temps que je l’implorais de me donner une fessée, pour voir, et qu’elle me répondait toujours que ce n’était pas son truc.  Elle ajouta que je n’allais tout de même pas me débiner maintenant qu’une occasion « en or » se présentait de manière imprévue. J’étais rouge de honte. En effet, je ne savais plus où me mettre ni quoi dire, devant mes deux anciennes copines qui rigolaient bien ! J’étais fait comme un rat.

Le fantasme de la fessée

La honte et leurs sourires m’empêchèrent de protester quand je les entendis me dire que je devais maintenant assumer mon fantasme et qu’une bonne fessée n’allait pas me tuer etc … Ma femme me dit aussi en s’approchant de moi et et en baissant doucement mon maillot de bain que ça correspondait bien à mon envie de lui appartenir ! Camille réagit en disant que comme signe d’appartenance, certaines femmes rasaient le sexe de leur homme. Je la regardai interloqué, lançant un appel au secours du regard à me femme que j’entendis répondre :

  • mais c’est une bonne idée ça!

Intimidé, je me blottis dans les bras de ma femme, qui dit :

  • allons qu’est-ce qu’il y a ? ah oui, tu as honte, tu n’es pas assez désinhibé, attends !

Elle me caressa alors les fesses, les tétons, et le sexe jusqu’à obtenir une belle érection, puis elle me fit faire demi tour en disant :

  • voilà ça y est tu vois, il ne faut pas avoir honte, ça y est ça va mieux !

Cette fois-ci, je protestai en commençant à râler et Sophie dit qu’elle me reconnaissait bien là. Ma femme, implacable, toujours souriante et sur un ton doux, scella mon sort :

  • bon allez ça suffit maintenant Camille et Sophie vont te donner une bonne fessée comme tu en rêves depuis longtemps. Ah là là les hommes toujours pareil : au moment de passer à l’action, plus personne pour assumer. Moi je serai au spectacle, et quand j’estimerai que tu auras été bien fessé et que tu seras assez docile pour ça, tu te feras raser par tes copines sous mes yeux, ce sera très bien comme ça mon chéri !

Début de la fessée par les deux ex copines

Jamais je n’aurais cru ma femme capable de faire ça. J’étais nu, elle me tenait pas le bras comme si elle venait d’attraper un chenapan, et me fit avancer vers Camille et Sophie, en donnant une petite tape de l’autre main sur les fesses. J’avançais, avec un sourire gêné, et elles me prirent à leur tour chacune par un bras. J’étais comme inconscient, elles m’ont guidé dans la cabine arrière en me disant que ça ne rachèterait pas un dixième de toutes les bêtises que j’avais faites au lycée … ma femme ajouta :

  • ah ben c’est de mieux en mieux, je crois qu’il te faut vraiment une bonne fessée en fait.

Camille et Sophie s’assirent au bord de la couchette, de biais, les jambes chacune vers celles de l’autre. Elles me tirèrent jusqu’à ce que je me retrouve allongé sur la jambe droite de Sophie et la gauche de Camille. Elles passèrent chacune leur autre jambe par dessus une des miennes et me saisirent chacune un bras plié dans le dos. Je ne pouvais plus bouger et j’ai protesté. Alors je les ai entendu me dire de me tenir tranquille, et que je n’étais pas dans la meilleure position pour exiger quoi que ce soit. Elles commencèrent à palper et à caresser mes fesses pour en prendre possession. Ma femme, postée à l’entrée de la cabine ajouta en riant franchement :

  • eh bien mon chéri si tu te voyais … tiens d’ailleurs je vais faire des photos comme ça tu te verras, et tu verras l’évolution de la couleur des tes petites fesses.

Le soumis résiste!

Camille et Sophie commencèrent à transformer leurs caresses en claques. Rapidement, ça commença à me chauffer. J’entendais ma femme prendre des photographies en faisant quelques commentaires et en encouragent mes deux « fesseuses » à continuer. J’ai commencer à vouloir résister, me retourner pour mettre fin à ma fessée, mais je ne pouvais rien faire dans cette position. Camille et Sophie répondirent en accentuant leurs prises sur mes jambes et mes bras, et en intensifiant la fessée.

Ma femme ajouta que décidément je n’étais pas encore assez docile, que la fessée n’était pas assez sévère. Puis elle précisa que d’ailleurs je ne pleurais pas alors que lorsque je lui demandais de me donner des fessée, je lui disais que je voulais finir en pleurant dans ses bras !

Je lançai un plaintif « oh non … » auquel j’entendis un enthousiaste « Oh si » à trois voix ! Je répétais « Oh non » plus fort, en ruant pour me libérer de leur emprises, mais j’aggravais ma situation. En effet, mes « fesseuses » m’immobilisèrent fermement, et après une bonne série de grosses claques, s’interrompirent pour laisser la parole à ma femme :

  • écoute mon chéri il faut savoir ce que tu veux, tu m’as parlé plusieurs fois de te dominer. Je t’ai dit que ce n’était pas mon truc et maintenant qu’une occasion se présente et que je la saisie, tu te plains ! Montre toi raisonnable, n’aggrave pas ta situation, et prends ta fessée comme un homme, courageusement !

Intensification de la fessée

fessée

 

Je répondis d’une petite voix, pas encore couverte de sanglots, que je n’imaginais pas une fessée si sévère, et que ça faisait mal. Ma femme me répondit, toujours sur sont ton doux et charmant :

  • C’est moi qui fixe la sévérité de ta fessée, si non c’est trop facile, il fallait faire attention à ce que tu demandais toutes ces fois en insistant d’ailleurs beaucoup. Maintenant tais-toi et reçoit ta fessée comme un grand garçon courageux.

 Je me sentais encore plus infantilisé, mais je n’ai pas eu le temps d’y penser car la fessée reprit de plus belle. Cette fois,  j’étais vraiment puni. Je sentais mes fesses me brûler et je voulais que ça s’arrête. Cependant, j’avais compris que protester augmenterait la sévérité, que ma femme ne visait pas une petite fessée pour rigoler. Au bout de deux minutes à ce rythme, je commençais à pleurnicher, et je sentais monter les larmes. Camille et Sophie s’interrompirent, et se tournant vers ma femme :

  • écoute !

Elle prêta l’oreille, et dit :

  • très bien, il ne manque plus grand chose, allez-y !

Elles reprirent sévèrement pendant une minute encore avant de s’arrêter à nouveau. Cette fois, je pleurais vraiment, assez en tout cas au goût de ma femme qui dit à Camille et Sophie de me garder comme ça pour l’instant, avant de s’adresser à moi :

  • alors que dit-tu de cette fessée mon chéri ? Est-elle assez sévère à ton goût, comme tu me l’a demandé si souvent ?

J’approuvais en hochant tant bien que mal la tête, dans ma position, immobilisé. Elle ajouta :

  • cette fois je crois que tu as compris ce que moi j’entends par sévère, et je crois que cette expérience est en train de me donner un certain plaisir à t’avoir à ma merci, et à obtenir certaines choses de toi, avec cette méthode que tu me disais d’employer. Tu as mis du temps à comprendre que tu avais intérêt à ne pas bouger ni protester, mais tu as finalement capitulé, c’est ce que je voulais. Maintenant vas-tu être assez docile pour la suite du programme ?

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2 réflexions au sujet de “La fessée : Dressage imprévu en vacances (1)”

  1. Malheureusement le rêve est gratuit !
    Il faut détester et avoir peur pour subir.
    Tant qu’ il y aura le souhait et le consentement, il n’ y aura jamais rien .
    Comme certains et certaines d’ entre nous, la chance ne nous aime pas .

  2. J’adore ce récit et je rêve d’être fessé ainsi à mains nues par plusieurs femmes.

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