Un jour, je fus invité à une exposition photo. Je m’en rappelle très bien car il s’agit du jour, où ma vie a changé. Jusqu’alors, je ne m’assumais pas complètement. En effet, j’ai toujours été attiré par les femmes dominantes et qui assument, complètement, cette facette de leur personnalité. Dans mon for-intérieur, je bataillais entre une sexualité vanille et une sexualité qui donne le pouvoir à la femme dominatrice. J’imaginais souvent des scénarios où je perdais complètement pied. Et puis de nouveau, je ressentais un sentiment de « honte » car j’avais l’impression d’être différent et de ne pas être dans cette soi-disant normalité. C’était mon secret intime. Voilà pour les confidences.
A ce moment là, je venais juste de me séparer de ma compagne, et ce après 15 ans de vie commune. J’étais donc célibataire mais loin d’imaginer que j’allais enfin pouvoir vivre pleinement ma sexualité, et ainsi me libérer de mon secret.
Ah oui j’oubliais, je m’appelle Pierre et j’ai 49 ans. Je suis, encore, dans la force de l’âge. Et, je vais vous raconter ma rencontre inespérée avec, Sarah.
Une beauté, nommée Sarah
Alors revenons à notre très belle exposition, de « street » photographies en noir en blanc. Tout y était : la poésie, le charme et la beauté du monochrome. Quand tout un coup, mon regard fut attiré par cette femme qui déambulait dans la galerie. J’avais très envie d’aborder cette femme. N’étant pas un grand téméraire et par peur de me « prendre une veste » je sollicitai une amie qui travaillait dans cette galerie. Elle accepta ma demande et de suite, elle fit les présentations.
Elle s’appelait Sarah. La conversation fut facile tout de suite. Elle était presque de ma taille, et j’étais obsédé par ses seins magnifiques. Je dûs faire un effort surhumain pour rester le plus discret possible et ne pas monter combien, j’étais fasciné par cette poitrine magnifique. Nous parlions, déjà, depuis plus d’une 1⁄2 heure quand elle me dit, d’une manière très naturelle :
-Tu sais moi les hommes j’aime bien les dominer, c’est toujours moi qui dirige.
j’étais estomaqué et je me sentis rougir, mais ma réponse aussi fut très spontanée. Je dois que je me surpris un peu et, ainsi, je lui rétorquai :
-mais bien sure tu as tout fait raison. D’ailleurs, cela devrait être, toujours, le cas dans toutes les relations hétérosexuelles!
Puis nous reprîmes notre conversation là où elle en était. Il y avait bien longtemps que je ne m’étais pas senti aussi bien avec une femme.
Obligation de vouvoyer cette femme dominatrice
L’heure tournait, je sentais qu’il allait falloir prendre une décision. Je lui proposai alors de dîner avec moi. Elle ne fut pas surprise par mon invitation. J’ai, même, eu le droit à un grand sourire de sa part, puis elle me dit de nouveau :
-si tu es sincère alors et si tu aimes être dominé alors je te propose une chose, pendant tout le repas, tu ne me vouvoies pas. De plus, je veux que tu me montres ta dévotion. Est ce que cela te convient ?
Je bafouillai et un «tu» sorti, tout naturellement de ma bouche. De suite, je me rendis compte de mon erreur et, je lui dis :
-je vous prie de m’excuser ! vous avez raison!
Je lui pris sa main et l’effleurai avec mes lèvres, elle fut surprit par ma réaction.
En fait, je ne savais pas pourquoi, mais j’avais envie de mettre à ses genoux et de lui embrasser ses chaussures. Je me retins, mais je crois qu’elle l’avait remarqué.
Premier dîner avec Sarah
Bien sûr, je choisis un restaurant assez chic, pour essayer de l’impressionner. Cependant, elle sembla indifférente. Elle devait être habituée à ce genre de restaurants. J’avais un peu du mal avec cette règle du vouvoiement, mais Sarah me reprenait avec douceur. Nous arrivâmes, rapidement, au dessert. Je n’avais aucune envie de la laisser partir. J’appréciais de plus en plus ce jeu de dévotion. Pourtant, elle m’avait m’infligé quelques humiliations devant les serveurs du restaurant.
Au moment du café, elle me demanda si j’acceptais de boire un dernier verre chez elle. Son sourire avait du mal à cacher ses intentions de m’amener à aller plus loin dans son petit jeu de domination et de soumission.
Il n’y avait que moi pour ne pas le voir. Une fois arrivés devant chez elle, je pensais, encore, vraiment que j’allais lui faire l’amour comme un dieu. Mais c’est elle qui déjà avait pris le contrôle. Quelque part, elle avait trouvé la faille.
Je découvris son intérieur, un appartement très soigné bien agencé, et très propre.
Nous nous assîmes, dans un large canapé, elle dit d’une voix douce en indiquant la cuisine :
-tu trouveras dans le réfrigérateur des boissons fraîches, et aussi des petits gâteaux. Il y a aussi un plateau. Allez va préparer ! Je t’attends la !
Humilié par cette femme dominatrice
Même si sa voix était douce, elle était, aussi, directe et tranchante sans aucune hésitation. J’obtempérai, sans réfléchir une seule seconde. Ce que je vivais là, était source d’une excitation profonde. J’allais, aussi, découvrir ma fascination pour cette superbe femme dominatrice et la domination ainsi que pour le pouvoir qu’elle prenait sur ma personne. Je bandais comme un Turc.
Aussi, quand je retournai dans la salon avec le plateau chargé des boissons fraîches et des gâteaux, je n’appliquai à ne rien renverser. Elle remarqua mon intention et mon application à bien la satisfaire. Tandis que je posais le tableau sur la table, Sarah vit la bosse sous mon
pantalon. Toujours de cette douce et tranchante voix, elle dit :
-sers nous deux verres et viens t’asseoir à côté de moi ! Nous allons trinquer à notre rencontre.
Elle prit la parole en première et me dit :
-es-tu bien sûr de vouloir continuer ? et faire la bascule vers l’autre côté. Sinon, tu peux, encore, partir maintenant.
Je lui répondis deux fois oui et que je voulais continuer. J’étais troublé tellement l’émotion était forte. Elle me répondit :
-bien, puisque que tu es d’accord, alors déshabille-toi ! Je veux te voir nu !
Ainsi, je m’empressai de me déshabiller. Je me retrouvai, debout devant elle, nu comme un vers. Quand elle pouffa de rire, je lui demandai pourquoi et là je pris comme un coup de massue en pleine figure car cette femme dominatrice me dit, avec sa voix douce :
-mais tu as vu ta bite ! Elle est ridiculement petite, même en érection. Comment veux-tu que j’ai du plaisir ? Je suis déçue. Je pensais au spectacle que tu pouvais offrir à mes amis….
Attaché et menotté dans le salon !
Elle se leva puis tira un matelas à côté du canapé et, elle dit :
-allonge toi !
Elle m’attacha les deux mains à deux anneaux, avec des menottes, puis elle me banda les yeux. Je ne voyais plus rien mais je sentais sa présence. Mes sens étaient décuplés. Je bandais de plus en plus. Elle s’assit sur le bas de mon dos, ce qui comprimait mon sexe en pleine érection. C’était extrêmement douloureux, je criai doucement, mais cette femme dominatrice n’en tint pas compte.
Elle avait enlevé ses vêtements et était nue devant moi. Le spectacle fut insupportable. Elle a pris une bouteille et me déversa son contenu sur la rondelle de mon anus, puis elle enfonça un doigt puis deux.
Ensuite, je sentis une forme beaucoup plus grosse sur ma rondelle. Je voulus lui dire non, mais trop tard, son gode-ceinture rentra en moi et força le passage. Cela me fit très mal. Elle commença, d’abord, par de petits va-et-vient puis elle s’enfonça, dans mon intimité, de plus en profondément. Enfin, elle accéléra ses va-et-vient. Très vite, la douleur disparut et je ne pus que montrer mon plaisir de me faire enculer.
Elle cherchait son plaisir aussi et changea son gode ceinture en un gode d’une plus grosse taille, mais celui-ci avait la particularité d’avoir un mini-gode qui s’introduisit entre ses lèvres. Tout doucement, elle se concentra sur son plaisir et s’enfonça aussi en moi très profondément. Je ressentis ce corps en plastique en moi. Quelle étrange sensation! Je le sentais qui allait et venait en moi, je criai des mots crus.
Et alors Maîtresse Sarah me réconforta :
-oui, tu es un enculé et demain je ferai de toi un homme soumis à tous mes caprices.
Je sentis son plaisir arriver. Elle enleva son gode, me retourna et me demanda de la lécher. Ses lèvres étaient crémeuses. Je m’appliquai jusqu’à la dernière goutte.
De nouveau, elle me retourna sur le dos. Je la vis se lever, puis revenir avec une cage de chasteté. Elle s’appliqua à m’enfermer ma bite. J’entendis le clic du cadenas. Je compris alors que pour ce soir, je resterais sur ma faim. La frustration était très forte.
Elle me demanda à quelle heure elle devait me réveiller. Je lui répondis à 07 h 30. Enfin, elle alla dans sa chambre. Je restai seul dans le salon et dans le noir. Mon esprit tournait à 100 à l’heure. Une envie très forte de jouir m’empêcha de trouver le sommeil. J’étais resté les mains attachées et encagé et le ressenti de cet objet me fit aussi partir dans divers sentiments. Je finis par m’endormir enfin…
le gode est un bon moyen de sentir la femme prendre le contrôle de la sexualité du soumis, excitant pour un soumis de se faire prendre par surprise
le reve ! croiser une dame qui vous balance je prefere dominer les hommes ! et sans reflechir plus avant lui avouer que cela nous semble normal mais la pour moi vaincre cette barriere qui me pousserait a avouer mes envies profonde j’en suis loin
Début prometteur ! Ca commence chaud ! Oui on porte en nous cette attente d’un événement qui nous fait basculer, plus loin que notre volonté !
Merci pour ce récit ! 🙂