Une annonce qui change tout …Rencontre avec une Jeune Maîtresse dominatrice.
« Je suis une jeune Maîtresse de 32 ans, mais avec une longue expérience et bonne maîtrise dans l’art de la domination. Je suis autoritaire, j’aime me faire obéir…J’utilise mon côté sexy pour mieux soumettre ou faire souffrir. Je reçois généralement les lundi, mardi, jeudi et vendredi de 9h30 à 16h30. »
En lisant cette annonce, je rêvais d’assouvir un rêve, appartenir à une jeune Maîtresse dominatrice et devenir sa chose Je décidais de la contacter pour obtenir un rendez-vous. Je partais dans l’inconnu mais je savais que j’assumais mon destin que je n’aurais pas à le regretter.
Dès 9h30mn impatient, comme Maîtresse me l’avait indiqué, je garais ma voiture sur le parking d’Aldi et je rejoignais son logement à pieds. Je sonnais, la porte s’ouvrit devant un couloir et une femme masquée, elle était revêtue d’une guêpière noire avec des bas résilles et des cuissardes. Elle avait de longs gants noirs et des talons aiguilles démentiels. C’était une créature de rêve au physique attirant. Elle était pour moi la femme la plus excitante et la plus désirable. Il me semblait que ma destinée était de devenir son objet, son serviteur à la volonté inhibée.
– » Déshabille-toi et pose tes vêtements sur la chaise » m’ordonna-t-elle.
Dans la foulée, j’exécutais ses ordres et me retrouvais nu et ridicule devant une femme inconnue et qui était devenu mon seul fantasme.
-« Mets toi à quatre pattes »
Je m’exécutais. Elle prit un collier de chien et me le fixa à la base des testicules et de la verge:
– » Pour les chiens, on met le collier près du cerveau, j’en fais de même pour toi! Suis moi dans les escaliers et baisse les yeux, espèce de lopette. »
Je me retrouvais à grimper les escaliers derrière elle tiré par les couilles et me demandant où j’allais derrière cette magnifique inconnue qui me faisait bander. Arrivés dans la chambre, elle m’ordonna de m’installer dans le lit et d’écarter les bras et les jambes. En un instant, je me retrouvais captif sur le lit. Elle me banda les yeux, mais à travers une fente j’apercevais ses gestes, je décidais donc de fermer les yeux pour vivre à fond ma soumission.
Dans la foulée, elle me fixa des pinces aux tétons et aux testicules et tira sur les chaînettes pour s’assurer de leur maintien, en ressentant la douleur, je poussais un cri.
– « Tais-toi, lopette! » me dit-elle.
– « Excusez-moi! »
– « Excusez-moi, Maîtresse » m’ordonna-t-elle. »Apprends à m’obéir.
– « Excusez-moi, Maîtresse. C’est la dernière fois que je vous manque de respect, sinon punissez-moi! »
C’est alors qu’elle commença à me cravacher le sexe, au hasard,il me semble parfois sur le gland, ou parfois sur les testicules, parfois sur les couilles ou le méat. Chaque coup de cravache n’était que surprise et était plus ou moins violent, les intervalles étaient irréguliers. Je sentais mon sexe enfler comme pour mieux apprécier la douleur. Par moment, les coups cessaient et, alors, je ressentais une forte pression sut les tétons ou sur les testicules. La douleur était parfois intense et m’arrachait de temps en temps un cri la punition était alors immédiate sous la forme d’une traction plus violente.
Dès que mon sexe vibrait, je ressentais une violente envie d’éjaculer mais Maîtresse, parfaite connaisseuse des hommes, savait tempérer pour enrayer celle-ci. J’étais constamment à la limite entre la douleur et le plaisir.
Au bout d’un long moment de châtiment (une demi heure me dit-elle), tout cessa.
– » C’en est fini pour aujourd’hui, petite pute, mais avant de te rhabiller, je vais te donner un aperçu de ce qui t’attend au cours de notre prochaine rencontre! »
J’avais toujours les yeux fermés, elle m’ordonna d’ouvrir la bouche et m’introduisit un objet cylindrique de large diamètre dans la bouche, elle le sortit aussitôt et m’enleva le bandeau tout en me le montrant, c’était gode d’un énorme diamètre.
– » La prochaine fois, je t’encule avec cet objet, entraîne-toi! »
( A SUIVRE)