Le vendeur, fétichiste des pieds féminins!

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J’avais réalisé mon rêve, ouvrir un magasin de chaussures. Mais pas n’importe quel magasin de chaussures, un concept que j’avais en tête depuis longtemps. Un magasin dédié aux pieds et aux jambes de la femme. J’avais réussi à convaincre mon banquier, avec cette idée d’espace de luxe pour les femmes, avec des produits de grande qualité et de grande élégance. Ainsi, on pouvait trouver dans cette boutique, des escarpins, des mules, des bottes, des cuissardes, de toutes les couleurs et pour toutes les saisons.

Il y avait, aussi, des gants en cuir, de toutes les tailles avec tous les cuirs. Des cuirs épais, des cuirs fins, vernis ou bruts. Je proposais, également, toutes sortes de bas et collants de qualité. En fait, je voulais m’assurer de répondre aux désirs de ces dames distinguées, élégantes mais aussi sexy. J’aimais être à leur service, m’agenouiller devant elles pour les aider à enfiler les chaussures, être leur serviteur l’espace d’un moment.

Vous vous dites sûrement que je suis un petit pervers fétichiste qui profite de ces dames pour assouvir ses fantasmes. Et je dois bien reconnaître que vous avez raison dans une certaine mesure. Mais je ne m’en suis jamais caché et j’ai toujours montré le plus grand respect à mes clientes. Pas d’attouchement quelconque, ni les pieds ni rien d’autre, sauf si elles en faisaient la demande. J’étais à leur entière disposition, à leur service.

Ouverture de ma Boutique de chaussures et accessoires!

 

fétichiste

 

J’avais, donc, finalement, réussi à ouvrir mon magasin. Bien sûr je n’avais pas pu mettre en oeuvre toutes mes idées d’aménagement car le budget était limité. Mais je me démarquais quand même par mon approche originale. Les vitrines tout d’abord, ne permettaient pas de voir à l’intérieur du magasin. Je ne voulais pas que les badauds puissent se coller à la vitre pour observer ces dames pendant leurs essayages. Ainsi, je voulais garantir la tranquillité dans mon magasin. La lumière venait du plafond qui était composé d’un toit vitré et ne laissait voir que le ciel.

A l’intérieur, régnait une ambiance cosy chic et un peu boudoir. Il y avait des canapés luxueux et confortables, des présentoirs espacés pour regarder les produits avec aisance. Des boissons fraîches et chaudes étaient à la disposition des clientes. J’avais bien sûr installé des grands miroirs qui permettaient de se voir de la tête aux pieds pour apprécier le produit après essayage. Le sol avait plusieurs textures: moquette, carrelages de différents types pour tester au mieux le produit en terme de confort mais aussi de son produit par la semelle et le talon.

J’avais choisi le quartier bourgeois de la ville car je visais une clientèle haut de gamme. La boutique était discrète avec plusieurs modèles en vitrine en fonction des saisons. Mais je proposais toujours des bottes et des cuissardes en été ainsi que des chaussures ouvertes en hiver car un désir, une envie n’a pas de saison.

Echec du magasin, peu de clientes!

Malheureusement, les affaires ne marchèrent pas comme prévu et je me suis, rapidement, retrouvé harcelé par mon banquiers, à cause de mes dettes. En effet, il était difficile de fidéliser la clientèle et le magasin était assez intimidant pour beaucoup de femmes. De plus, la boutique ne se situait pas dans une zone commerçante et je n’étais pas très efficace pour la faire connaître.

Aussi, j’ai dû quitter mon logement et m’installer dans l’arrière boutique minuscule pour y vivre. J’avais aménagé une chambre avec les moyens du bord et le peu de place dont je disposais. Je passais mes journées dans le magasin ainsi que mes nuits. Cependant, la situation était de plus en plus préoccupante et je risquais de me retrouver à la rue si rien ne se passait. J’avais tout misé sur ce magasin et pour être honnête, je ne me voyais pas faire autre chose ni travailler dans un magasin classique.

En fait, j’étais au bord du gouffre. Il est vrai que j’ai toujours eu un tempérament de solitaire. Ainsi, je n’avais pas de femme, pas d’enfant. De plus, j’avais perdu de vue la plupart de mes amis. Seul, je ne voyais pas le bout du tunnel. Ainis, je me sentais tellement déprimé que j’envisageais le pire. 

 

…puis un jour, une Dame rentre!

Et puis un jour, elle est entrée dans mon magasin. C’était le milieu de l’après midi, il faisait beau. J’observais les nuages à travers le toit vitré et je broyais du noir. En fait, je ne l’ai pas entendu entrer et c’est le bruit de ses talons claquant sur le carrelage qui me sortit de ma torpeur. Je me levai et me retournai pour découvrir cette femme magnifique, la cinquantaine, vêtue d’une robe de cuir sexy et élégante, des bas et de superbes escarpins noir aux pieds avec des talons vertigineux. Elle portait également des gants long de cuir noir et un chapeau qui faisait ressortir ses yeux perçants.

Ce qui était surprenant, c’est qu’elle se tenait devant moi, majestueuse et me fixait de ces yeux. Les jambes légèrement écartése, très sûre d’elle. Elle affichait un léger sourire. En fait, elle ne se comportait pas comme une cliente classique qui entre et se promène le long des présentoirs pour regarder les produits. Elle, au contraire, semblait attendre que je m’occupe d’elle. J’étais impressionné par sa prestance. 

Je m’approchai d’elle, doucement.

 

  • Bonjour

 

  • Comment puis-je vous être utile Madame ?

En disant cela, je remarquai que son sourire s’accentuait. Cela me fit sourire également. Je ne sais pas vraiment pourquoi. C’était comme le plaisir de se mettre à sa disposition. Peut-être ma dernière opportunité de servir une dame aussi impressionnante. Je ne pensais plus à mes soucis. En fait, je ne pensais qu’à profiter de l’instant.

 

Essayage d’une paire de bottes!

Elle se remit en mouvement, passant devant les présentoirs, marquant parfois un arrêt pour regarder une paire de bottes. Je la suivais comme un toutou, gardant tout de même mes distances pour ne pas la déranger. Je sentais qu’elle appréciait ce comportement de ma part. A un moment, elle s’arrêta et se tourna vers moi comme pour me signifier de m’approcher. J’accélérai le pas et me présentai devant elle.

  • Je vais essayer cette paire de bottes.

 

  • Bien sûr Madame. Quelle taille ?

 

  • Je suis sûr qu’un professionnel comme vous saura trouver.

Elle me regardait en souriant. Un sourire déstabilisant, qui exprimait l’exigence.

  • Oui Madame. Installez vous, je reviens avec ce modèle.

Je me dirigeai vers les stocks tandis qu’elle s’installait sur un des canapés. J’avais eu le loisir d’observer ses pieds avec attention, ce qu’elle savait pertinemment. Je devinais un 38 ou un 39. Aussi, je pris le 38 et demi de cette superbe paire de bottes en cuir noir mat avec des talons fins de 10 cm.

En me dirigeant vers elle avec la boite, je pris au passage un petit support, comme un mini tabouret rembourré, pour qu’elle puisse y poser son pied. J’arrivai devant elle et je m’agenouillai en posant le support devant ses pieds et la boite sur le côté. Ses jambes étaient croisées et sa jupe légèrement remontée laissait entrevoir le haut de ses bas. Je présentai le couffin. Elle décroisa ses jambes et posa sa semelle et son talon sur le support. Je la regardai en montrant son pied.

  • Puis-je Madame?

 

  • Faites

 

Aux pieds de cette magnifique femme!

Je pris sa chaussure, délicatement, entre mes mains et lui retirai de son pied puis reposai délicatement son pied sur le support moelleux. J’ouvris la boîte et sortis la botte dont j’ouvris la fermeture sur tout le long. Je présentais, ainsi, la botte à son pied, ma main sous la semelle et l’autre main tenant le cuir en haut de la botte. J’étais ainsi à genoux devant elle et j’attendais. Elle prit un peu de temps pour m’observer sans bouger le pied puis glissa son pied dans la botte. Au moment où son pied arriva au bout de la botte, je poussai pour l’aider à entrer parfaitement ce qui se fit sans difficulté. La taille semblait parfaite pour son pied et sa jambe.

Elle continua à pousser avec son pied, plantant le talon de la botte sur ma cuisse. Je ne réagis pas et remontai la fermeture de la botte le long de sa jambe. Elle poussa encore son pied, enfonçant le talon plus profondément sur ma cuisse. Je commençai à sentir la pointe de ce talon douloureusement mais je ne le montrai pas. 

Tout en laissant son talon contre ma cuisse, elle me présenta son autre pied. Je m’arrangeai pour ne pas trop bouger en attrapant délicatement son escarpin et le retirant de son pied. De plus, je pouvais sentir son sourire tandis qu’elle enfonçait un peu son talon dans ma cuisse. Je ne pouvais guère cacher mon érection. Mon excitation était à son comble.

Je posai son escarpin au sol et me tournai doucement pour attraper l’autre botte pour la présenter à son pied. J’ouvris la fermeture et de la même manière que précédemment puis je tins la botte par la semelle et le talon et le cuir en haut de la botte. Elle y glissa son pied et poussa de la même manière sur mon autre cuisse. Je refermai la fermeture de la botte non sans grimacer un peu du fait des talons aiguilles plantés dans mes cuisses.

Hypnothisé par cette Maîtresse femme!…

Elle resta, ainsi, un instant à me regarder, ses talons de botte enfoncés dans mes cuisses. Je préférais baisser les yeux pour ne pas affronter son regard.

Finalement, elle retira ses talons de mes cuisses pour les poser au sol puis se leva rapidement, ne me laissant pas le temps de réagir. Elle se tenait debout face à moi, très proche de mon visage, ses jambes autour de mes cuisses. Je pouvais sentir le cuir de sa jupe. Je décidai de ne pas bouger, la tête baissée.

  • Vous sentez-vous bien dedans Madame ?

 

  • Oui. Elles sont parfaitement à ma taille. Beau travail.

 

  • C’est normal Madame. Je suis là pour ça.

 

  • Oui je vois cela. Vous êtes à votre place.

Il y eut un moment de silence. Puis elle s’éloigna de moi pour se regarder dans un miroir. J’avais mis en place un miroir en face de l’autre pour apprécier la vue de face et la vue de dos car chaque détail a son importance. Elle prit plusieurs poses devant le miroir. Je restais sur place, toujours à genoux.

  • Allez-vous rester planté là sans rien faire ? dit-elle sans même m’adresser un regard.

 

…qui se révèle être une cliente très éxigente!

Je me levai et m’approchai d’elle en me dépêchant.

  • Je vous présente mes excuses Madame.

 

  • Il y a une trace sur ces bottes, dit-elle en pointant son doit au sol.

Je m’accroupis pour observer les bottes de plus près mais je ne décelai aucune trace.

  • Etes vous sûre Madame ?

 

  • Vous me traitez de menteuse ?

 

  • Non Madame. Bien sûr que non.

 

  • Regardez donc de plus près.

 

  • Oui Madame.

Je me mis à quatre pattes pour m’approcher au mieux du cuir des bottes. Ensuite, je pris le temps de scruter chaque parcelle de cuir. Pendant ce temps, elle continua à s’observer dans le miroir. Elle prit quelques poses qui firent bouger ses jambes sans que je m’y attende, créant un contact avec mon visage, mes joues, mon nez, mes lèvres. Je ne dis rien, même quand le mouvement se fit brusque, presque comme un coup dans mon visage.

  • Faites attention voyons, dit-elle avec sévérité.

 

  • Je vous présente mes excuses Madame.

Ne voyant toujours pas de trace, je décidai de faire semblant de la trouver.

  • Ah vous aviez raison Madame. Je vois bien une trace.

 

  • Et bien faites quelque chose!

 

Obligé de lécher les bottes, quel bonheur pour un fétichiste!

 

fétichiste

Je pris un chiffon propre dans la poche de ma veste et me mis à frotter délicatement le cuir avec.

  • êtes vous idiot ? ça ne partira pas en frottant avec un chiffon sec. 

 

  • Oui Madame. Je suis désolé Madame.

Je léchai un bout du chiffon puis je me remis à frotter.

  • Ce n’est pas suffisant, dit-elle. Et ne vous avisez pas de cracher.

Je restai un moment immobile, décontenancé par ce qu’elle venait de dire.  Tandis que j’essayais de comprendre ce qu’elle voulait, je sentais son regard sur moi

  • Je peux passer ma langue sur la trace Madame et frotter ensuite avec le chiffon.

 

  • Bonne idée. Essayez de vous appliquer cette fois.

 

  • Oui Madame.

Je sortis la langue de ma bouche et me mis à lécher le cuir de la pointe du pied de sa botte. Je m’assurais de couvrir une surface suffisante pour la satisfaire.

  • C’est bon. Vous pouvez frotter maintenant, dit-elle.

Je pris le chiffon et frottai délicatement le cuir. Elle partit subitement pour se diriger vers la caisse.

  • Bien. Je prends. 

Ensuite, je me levai rapidement pour la rejoindre à la caisse.

  • Je les garde sur moi. Veuillez emballer mes escarpins.

 

  • Bien sûr Madame.

Je lui donnais un sac avec les escarpins à l’intérieur. Elle paya et sortit du magasin en faisant claquer les talons de ses nouvelles bottes. Je restais sans bouger, essayant de réaliser ce qui venait de se passer. J’étais encore très excité et penaud.

 

A suivre

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