Une vie de chienne avec sa Maîtresse Dominatrice

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Daisy se trouvait à genoux face à sa Maîtresse Dominatrice. Elle faisait la belle, fière, à l’image de la petite chienne qu’elle était devenue. Elle portait un regard épris d’excitation et d’adoration sur sa propriétaire attendrie. Il était bien loin le temps où Michaël, renommée avec le doux patronyme de Daisy par sa Maîtresse Dominatrice, se comportait comme un homme. Ce dernier avait suivi un programme intensif de sissyfication qui l’avait intégralement transformé. Michaël n’avait plus une once d’humanité en lui. Il était devenu une petite chienne docile obéissant à chaque commandement et désir de sa Maîtresse.

Daisy, « pouponnée » et gâtée par sa Maîtresse Dominatrice

Daisy avait été « pouponnée » par sa divine Maîtresse. Il faut dire qu’Elle s’occupait bien de sa chienne. Son animal de compagnie était même parfois gâté. Il avait le droit aux meilleurs croquettes servis dans une gamelle à son nom, recommandées par des vétérinaires experts, à des câlins récurrents et un couffin confortable dans lequel elle pouvait se prélasser quand elle se montrait sage. Bien entendu, Daisy était quelquefois une chienne maladroite. Il fallait donc la sanctionner pour favoriser son bon dressage. Daisy, n’ayant guère la possibilité de parler, aboyait avec des jappements aigues. Et ces aboiements étaient parfois irritant pour sa Maîtresse qui était contrainte de punir sa petite chienne excitée.

En ce moment, Daisy avait les cheveux blond platine coiffés dans le style d’un Billy Idol. Les lobes de ses oreilles étaient percées par deux anneaux assez discrets. Ayant une apparence féminine, Daisy n’était pas autorisée à se laisser pousser la barbe. Elle devait toujours être impeccablement rasée et épilée. Sa Maîtresse l’avait soigneusement maquillée. Daisy avait du gloss sur les lèvres, les pommettes rosées et du rimmel sur les yeux. Son corps chétif était vierge de poils. Son attribut principal était une cage de chasteté rose bonbon en silicone.

Cela faisait bien un mois que Daisy n’avait pas été délivrée de sa prison phallique. Ces derniers temps, elle était ainsi excitée comme une chienne en chaleur. Tous les moyens étaient bons pour supplier sa Maîtresse de lui retirer sa cage devenue trop serrée par des érections intempestives. Faire la belle avec un regard suppliant était devenue une habitude chez Daisy. N’ayant pas la permission de se déplacer debout, Daisy se ruait sur les pieds de sa Maîtresse dès qu’elle l’apercevait, léchant et vénérant ses divins petits pieds avec délectation.

Petite chienne toujours en cage de chasteté…

Maîtresse Dominatrice

 

Mais ses suppliques suffiraient-elles à persuader sa divine Maîtresse de le libérer ? Celle-ci adorait que sa petite chienne soit en cage car elle était, certes plus coquine, mais tellement plus docile. Elle se demandait d’ailleurs si elle n’allait pas prolonger le port de la cage de chasteté jusqu’au mois prochain…

Daisy était si choyée par sa tendre Maîtresse qu’elle disposait d’un nombre conséquent de cages de chasteté, toutes plus originales les unes que les autres. On relevait des entraves phalliques relativement confortables mais d’autres étaient bien plus restrictives voire insoutenables au terme d’une certaine durée. Nous relevions plusieurs types et matières parmi les cages de chasteté.

Il y avait tout d’abord les cages traditionnelles en métal dont les tailles variaient. La hantise de Daisy était une cage particulièrement restrictive sur laquelle sa Maîtresse pouvait ajouter des pointes quand sa petite chienne se montrait indisciplinée. Lorsque les érections inopportunes se faisaient sentir, Daisy aboyait de douleur, sous le regard parfois cruel et amusé de sa Maîtresse. Sa chienne jappait alors avec frénésie afin d’en être libérée. Puis, on comptait des cages plus supportables et délicates. Elles étaient en plastique ou en silicone dans des tons pastels.  En effet, la Maîtresse de Daisy abhorraient le noir et plus largement les teintes sombres pour sa petite chienne.

 

…pour le plus grand plaisir de sa Maîtresse!

Celle-ci redoutait une autre cage, cette fois-ci en plastique et de couleur bleue ciel. Cette cage contenait un dispositif électronique permettant à sa Maîtresse de déclencher des décharges électriques à distance grâce à une télécommande. Autant dire que l’intensité des décharges pouvait varier selon le bon vouloir de sa Maîtresse. Il s’agissait de la « cage de travail » de Daisy. Lorsque la petite chienne devait accomplir une tâche spécifique, comme le ménage entre autres. Si celle-ci se montrait inefficace et nonchalante, sa Maîtresse pouvait lui envoyer des décharges soudaines remotivant Daisy dans son travail.

Le choix de la cage revenait à sa Maîtresse. Il dépendait du comportement de Daisy. Si cette dernière s’était montrée docile et affectueuse, elle était enfermée dans une cage agréable. En revanche, lorsqu’elle était désobéissante, une cage impitoyable l’enserrait. Mais comme Daisy avait été une bonne chienne dernièrement, sa Maîtresse avait approuvé le port de la cage rose en silicone, qui était sans doute la plus sissy et confortable à porter pour Daisy. Cela faisait un mois que Daisy était prisonnière de cette cage mignonne qui avait le don d’attendrir sa Maîtresse à chaque fois qu’elle la voyait. Sa petite chienne était en proie, au terme de ce mois, d’une telle excitation qu’elle se retrouvait souvent à faire la belle aux pieds de sa Maîtresse.

Une Maîtresse Dominatrice douce mais sévère.

Bien entendu, Daisy, dépourvue d’humanité, ne pouvait prendre aucune décision. Cela revenait indubitablement à sa Maîtresse. Celle-ci était une femme organisée & responsable qui élaborait les plannings de Daisy. Sa Maîtresse était sévère mais juste. Elle pouvait parfois se montrait généreuse à l’égard de sa petite chienne. Ainsi, elle lui accordait des siestes dans son couffin en lui octroyant des joujoux. Elle venait même quelquefois la biberonner.

À l’inverse, Elle pouvait aussi se montrer impitoyable et certaines punitions étaient des plus dégradantes. Par exemple, un matin, Daisy avait négligé de retirer une gouttelette qui s’était malencontreusement déposée sur la cuvette des toilettes. La chienne n’y était peut-être pour rien et sans doute qu’il ne s’agissait que d’une simple éclaboussure de la chasse d’eau.

Peu importe. Daisy devait être punie. Sa Maîtresse avait précipité sa gueule dans les W. C. Elle tira la chasse à maintes reprises après lui avait attaché les mains dans le dos avec du ruban adhésif. Puis, elle abandonna sa petite chienne dans cette position inconfortable en éteignant la lumière. Elle avait pris le soin de refermer le couvercle des toilettes sur sa tête.

Abandonnée à son sort, Daisy demeura un long moment dans le noir n’ayant que l’ouïe, l’odorat et le gout pour unique repère. Heureusement pour elle que les toilettes était propres. Ce n’était pas toujours le cas. L’odeur du gel pour W. C. avait empli ses narines. De plus, Daisy s’abreuvait  par moment directement dans les toilettes lui laissant une saveur de produit ménager. Les genoux de Daisy était endoloris. Depuis combien de temps sa Maîtresse Dominatrice était-elle partie ?

A suivre…

 

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