Préparatifs chez S., magnifique Dominatrice, avant le dîner(3)

| |

 

Vanessa, invitée à dîner, chez S., magnifique Domina! (2)

 

Toujours à genoux, O… se saisit des bas-jarretières noirs que S… avait déposés sur le lit. Il souleva délicatement le pied gauche de sa Maitresse Dominatrice, et commença à enfiler le premier bas en faisant crisser la soie délicate le long de la jambe, jusqu’en haut de la cuisse. Ensuite, il fit de même avec le second bas et l’ajusta, prêtant la plus extrême attention à ce que les jarretières des deux bas fussent situées exactement à la même hauteur. Il contempla son œuvre avec satisfaction, admirant le pubis totalement épilé de sa Femme, encadré dans une symétrie parfaite par les cuisses gansées de noir. Son sexe commençait à devenir douloureux dans sa cage.

  • Embrasse-moi, exigea-t-elle.

Entièrement nu devant sa Dominatrice!

Dominatrice

 

Sans hésiter une seule seconde, O… n’eut qu’à se pencher légèrement en avant pour poser un baiser délicat sur les lèvres à peine entrouvertes et parfaitement lisses du sexe de S… Il la remercia dans un murmure et, sachant qu’il ne devait pas aller plus loin, il se releva pour prendre le soutien-gorge posé sur le lit. Il sursauta quand elle aboya :

  • T’ai-je demandé de te relever, esclave ?! Remets-toi à genoux immédiatement !

Rougissant de confusion, O… se remit précipitamment à genoux à l’endroit exact où il se tenait précédemment, le visage à hauteur du sexe de sa Maitresse Dominatrice. Il baissa humblement la tête.

Elle fit alors quelques pas en direction de la salle de bains attenante et s’assit sur le rebord de béton ciré encadrant l’immense baignoire. Calant ses mains sur le rebord, elle écarta largement les cuisses, offrant sans fausse pudeur au regard de son esclave le spectacle de sa nudité la plus intime. O…, qui n’avait à aucun moment quitté des yeux l’entrejambe de son Épouse, banda plus douloureusement. Sèchement, elle ordonna :

  • Viens me faire jouir dans ta bouche, zuma. Vite ! Et retire ton tablier, tu sais que je te veux intégralement nu quand je t’autorise à me toucher.

Sans la moindre hésitation, toujours sans cesser de fixer du regard le bas-ventre de S…, l’esclave franchit à quatre pattes, tel un chien, l’espace qui le séparait d’elle. Parvenu juste devant elle, il redressa le torse et, ainsi agenouillé, il défit le nœud du tablier noir qu’il portait et l’ôta rapidement, puis il le posa à côté de lui.

Au service du plaisir de sa Maîtresse Dominatrice!…

Désormais totalement nu, offert au regard exigeant de sa Propriétaire, il plaça alors ses deux mains dans son dos, les yeux toujours rivés sur les lèvres lisses et entrouvertes qui laissaient apercevoir un clitoris déjà gorgé de désir. Il n’osait croire que sa Maîtresse Dominatrice, qui n’accordait désormais plus ce privilège qu’à son Amant, l’autorise à La faire jouir de cette façon !

Sans attendre, il se pencha alors légèrement en avant, jusqu’à effleurer de ses lèvres celles du sexe de sa Maitresse, les faisant aller et venir délicatement le long de la fente légèrement moite dont il humait avec délices les effluves discrets. Au bout d’un moment, ralentissant sans pour autant l’interrompre son mouvement de va et vient, O… fit sortir sa langue, l’insinuant entre les lèvres, pénétrant une fente devenue de plus en plus humide. Il effleura une première fois le clitoris et sentit aussitôt frémir le corps tout entier de sa Femme. Sans qu’elle sut pourquoi, S… ne put s’empêcher, à ce moment précis, de penser à Vanessa. Son désir enfla. Elle gémit imperceptiblement, renversa la tête en arrière et écarta un peu plus les cuisses pour donner à son esclave un accès plus aisé à son intimité.

Ce léger mouvement de sa Maitresse agit sur O… comme un signal : cessant son mouvement de va et vient, les mains toujours jointes dans son dos, il colla cette fois ses lèvres contre la vulve désormais plus largement ouverte, juste à hauteur du clitoris autour duquel il commença à faire tournoyer sa langue très lentement, tout d’abord dans le sens des aiguilles d’une montre, puis dans l’autre sens.

 

…Orgasme puissant pour sa Dominatrice!

Un nouveau frémissement de S… et un gémissement plus fort l’encouragèrent à poursuivre, et il continua son mouvement circulaire dans un sens et dans l’autre pendant de longues minutes, faisant varier la pression de la langue sur le bouton de chair palpitante.

Sentant le plaisir monter en elle par vagues de plus en plus fortes rythmées par le mouvement expert de la langue de son esclave, S… résista au désir de se caresser elle-même et écarta les cuisses plus largement encore, les mains crispées sur le rebord de la baignoire afin de contenir les ondulations de son bas-ventre que le désir rendait quasi incontrôlables. Soudain, sur une succession de pressions plus fortes de la langue d’O… sur son clitoris, elle sut qu’elle ne pourrait se contenir beaucoup plus longtemps et elle rendit les armes.

Haletante, elle prit alors la tête de son esclave entre ses deux mains! Sans aucun égard pour lui, elle la maintint de force entre ses cuisses désormais ouvertes de façon obscène, sans plus tenter de refréner les ondulations syncopées de son bassin. Elle se masturbait littéralement dans la bouche son mari qui, servilement, tout entier tourné vers le bien-être de sa Maitresse quand lui-même était transpercé par la douleur qu’infligeait la cage de chasteté à son membre désormais totalement turgescent, maintenait la bouche grande ouverte fichée dans son entrejambe et continuait à la lécher.

 

Tout à coup, un véritable tsunami la submergea. Incapable de résister à ce dernier assaut, elle s’abandonna et jouit longuement dans la bouche de son esclave d’un orgasme puissant qui la fit hurler, la tête renversée en arrière, les cuisses désormais serrées telles un étau étouffant littéralement O… que la torture de son pénis faisait souffrir de façon aussi aiguë qu’était délicieux l’orgasme de sa Maitresse.

 

Après l’orgasme de Madame, juste un objet devenu inutile!

Elle desserra peu à peu son étreinte à mesure que se retirait la vague gigantesque, faisant cascader en elle, telles les répliques d’un puissant séisme, des ondes de plaisir successives, de plus en plus ténues. Quant elle eut joui complètement, elle donna un puissant coup de rein dont la violence déséquilibra O… Il bascula en arrière sur le tapis de la chambre, à la fois humilié d’être ainsi jeté comme un objet devenu inutile et heureux d’avoir permis à sa Propriétaire de jouir avec une telle intensité.

Encore haletante du plaisir qu’elle venait d’éprouver, S…, en femme maitresse d’elle-même, se ressaisit très rapidement et dit à son esclave à nouveau à genoux, lui aussi encore essoufflé mais pour des raisons bien différentes :

  • Voilà un bon début de soirée, esclave, j’ai joui incroyablement. Je te rassure, tu n’étais pas dans mes pensées. J’espère que ta bite est douloureuse.

 

  • Merci pour Votre orgasme, Madame, je suis sincèrement heureux pour Vous, et merci de m’avoir permis de Vous aider à jouir ainsi. Et je Vous le confirme, mon sexe me lance horriblement.

 

  • C’est parfait, alors. Bien, je vais faire une toilette rapide, ensuite tu finiras de m’habiller.

En charge des préparatifs du dîner!

Il était presque vingt heures. Après qu’il eut fini de la vêtir et tandis qu’elle se maquillait, O… avait renfilé son tablier et achevé de mettre le couvert. Ensuite, il avait choisi une bouteille de Bourgogne blanc qu’il avait ouverte et laissée au frais. Il entendit les hauts talons de sa Femme claquer sur le parquet alors qu’elle sortait de la chambre pour le rejoindre. Une pulsion servile le poussa à se mettre à genoux pour l’accueillir, les mains dans le dos et la tête baissée.

Ce spectacle remplit d’aise S… qui dit à son mari, qui gardait humblement la tête baissée, sans la regarder :

  • Dis-moi zuma, j’ai l’impression que la petite séance de tout à l’heure t’a mis dans d’excellentes dispositions, je me trompe ?

 

  • C’est vrai, Madame, j’ai été très honoré et heureux d’être autorisé à Vous aider à jouir de cette façon, et cela n’a fait que renforcer mon désir de Vous servir en esclave.

 

  • Mmmm… C’est bien. Même si, en réalité, tu devrais toujours être dans cet état d’esprit, indépendamment de ce que je te demande de faire.

Mu par une envie irrépressible, les deux mains maintenues dans son dos, O… se pencha en avant.

Ensuite, aux pieds de sa Maîtresse Dominatrice…

Ensuite, approchant le visage des fins escarpins de sa Maitresse Dominatrice, il en baisa délicatement les pointes l’une après l’autre en murmurant :

  • Oui Madame, j’ai encore beaucoup de progrès à faire. Je Vous remercie infiniment de la patience dont Vous faites preuve pour me dresser selon Vos souhaits. Je Vous aime infiniment, Madame.

 

  • Je t’aime aussi, mais tu as raison de me remercier car ton dressage prend plus de temps que je ne l’aurais pensé. Cela dit, j’aime assez le résultat qui se dessine peu à peu. Et maintenant, redresse-toi et regarde-moi, j’ai quelque chose à te dire.

Sans attendre une seconde, O… se redressa et, toujours à genoux et les mains dans le dos, il releva la tête. Il avait beau l’avoir aidée à s’habiller quelques minutes auparavant et donc n’être pas surpris outre mesure par la tenue qu’elle arborait et qui mettait si bien en valeur ses formes pulpeuses, il ne put s’empêcher de rester bouche bée un long moment devant le spectacle de la Femme somptueuse qui le toisait de haut, désormais maquillée avec raffinement et coiffée d’une queue de cheval qui sublimait son hiératisme naturel.

…Epoustouflante, sexy et d’humeur coquine!

Amusée par la réaction de son mari, S… pivota lentement sur elle-même afin qu’il put admirer sous toutes les coutures les courbes parfaites de son corps moulé par le fourreau de dentelle bleu sombre qu’il l’avait aidée à enfiler. C’était une robe de marque qu’il lui avait offerte il y avait déjà quelques années et dont elle aimait particulièrement la sensualité équivoque qu’elle dégageait. Merveilleusement coupée, la dentelle moulait en les faisant saillir ses seins et l’arrondi de sa croupe.

Très sage de face en apparence, car elle montait jusqu’au ras du cou et descendait environ jusqu’à mi-cuisses, c’est vue de dos qu’elle révélait tout son potentiel érotique. Ainsi, une fermeture éclair bien visible courait en effet du haut en bas de la robe dont on comprenait immédiatement qu’elle pouvait s’ouvrir, en partie ou complètement, depuis l’une ou l’autre de ses extrémités. Selon le « message » qu’elle voulait faire passer à qui elle se montrait ainsi vêtue, S… aimait à faire varier la hauteur sur laquelle elle ouvrait le bas de la fermeture éclair, pouvant choisir de ne rien montrer d’elle ou au contraire, dans les cas les plus extrêmes, de dévoiler aux plus chanceux les jarretières de ses bas, voire la naissance de sa croupe

O… put ainsi constater l’humeur mutine de son Épouse, qui avait opté pour une version relativement libertine du port de sa robe, en ayant entrouvert le bas jusqu’au haut des cuisses permettant ainsi au regard de découvrir furtivement la chair pâle et nue au-dessus de la jarretière des bas noirs.

Dans l’attente d’un invîté surprise pour le dîner!

A cette vue, il sentit son sexe durcir à nouveau légèrement dans sa cage. Revenue face à lui, elle lui demanda, totalement sure d’elle :

  • Alors, je te plais ?

 

  • Beaucoup Madame, merci infiniment de Vous être habillée ainsi pour moi !

 

  • Eh bien justement, c’est ce que je voulais te dire : ce n’est pas pour toi que je me suis habillée comme ça.

 

 

  • Tu as compris ce que je viens de te dire ?

 

  • C’est que… non, je ne comprends pas bien, vous ne dinez pas ici avec moi, finalement ?

 

  • Si, si, je dine bien ici, mais non, je ne dine pas avec toi.

 

 

  • Bon, puisque tu sembles ne pas comprendre, je t’explique : j’ai invité quelqu’un à diner ce soir. C’est plus clair comme ça ?

 

  • Euh… oui, bien sûr Madame, c’est très clair. Mais alors, il faut vite que je mette un couvert de plus et que je me rhabille !

 

  • Fais un effort s’il te plait ! Je t’ai dit que je ne dinais pas avec toi. Pour être plus précise, disons que tu ne dines pas avec nous. En revanche, tu vas faire le service, en bon esclave que tu es. Et donc tu ne te rhabilles surtout pas ! J’hésite même à te faire retirer ton tablier pour que tu sois totalement nu à son arrivée. Mais reste comme ça pour l’instant, on verra plus tard. En attendant, je vais m’asseoir dans le salon. Allume les bougies et mets-nous un peu de musique.

Dominatrice

Dîner uniquement pour ma Dominatrice et son invité Mystère!

Sans un mot, O… se releva et suivit sa Femme dans le salon pour choisir une playlist et allumer les bougies sur la table basse. Le sang battait dans les tempes d’O… alors que la réalité crue de ce que venait de lui annoncer sa Maitresse commençait à s’imposer à lui. Il avait toujours rêvé de ce moment – inclure des tiers choisis dans la relation si particulière qui était la leur – et sa Femme et lui en avaient souvent parlé sans jamais passer à l’acte.

Même si Elle leur avait déjà permis d’en réaliser un bon nombre, Elle semblait moins désireuse que lui de transformer leurs fantasmes en réalité et, s’il avait toujours espéré qu’un jour celui-là aussi se concrétiserait, il n’avait pas imaginé que cela se produirait si vite ni de cette manière. Ce soir, Elle l’avait mis au pied du mur de façon tout à fait inopinée et, à supposer même qu’il le souhaite, il n’avait à présent aucun moyen de reculer : une fois de plus, Elle l’avait pris à son propre piège !

Et qui était ce mystérieux invité, était-ce l’Amant auquel Elle Se donnait régulièrement depuis des mois dans des ébats qu’Elle avait plaisir à lui décrire dans les moindres détails pour mieux le réduire à sa condition d’esclave cocu ? C’était peu vraisemblable car Elle avait toujours été très claire sur le fait que, contrairement à lui, Elle ne souhaitait pas que Son Amant connaisse la nature réelle de leur relation.

Mais alors, qui ? O…n’eut guère le temps de réfléchir à la question car, à peine avait-il allumé la mèche de la dernière bougie, au moment précis ou l’horloge du bureau sonnait huit heures, que le timbre de l’interphone résonna dans l’entrée.

Arrivée enfin de l’invité surprise!

S… se précipita pour répondre elle-même à l’interphone et, d’une voix enjouée, après avoir plaisanté sur sa ponctualité, elle indiqua l’étage à son interlocuteur avant d’ouvrir à distance la porte d’entrée de l’immeuble.

  • Je vais vite me remettre un peu de rouge à lèvres, fit S… à son mari en souriant intérieurement, ouvre-lui la porte, j’arrive tout de suite pour l’accueillir.

Elle partit si vite en direction de la salle de bains qu’O… n’eut pas le temps d’objecter. Au comble de la confusion, il entrouvrit la porte d’entrée alors qu’il entendait la porte de l’ascenseur se refermer au rez-de-chaussée, priant pour que sa Femme revienne très vite car il ne se voyait pas accueillir seul et dans cette tenue cette personne inconnue. Il entendait l’ascenseur approcher, étage par étage, tandis que le retour de S… se faisait toujours attendre.

Au moment où l’ascenseur atteignit leur étage, il comprit que sa Maitresse l’avait volontairement laissé seul accueillir son invité, afin que sa gêne soit totale. Le rouge au front, forcé d’assumer sa condition, vêtu de son seul tablier, et alors qu’il entendait enfin les pas de son Épouse de retour de la salle de bains, il ouvrit en grand la porte de l’entrée au moment même où le mystérieux arrivant s’extrayait de la cabine de l’ascenseur.

(A suivre…)

Previous

Mise à l’épreuve, par Madame, Maîtresse domina (5)

Rééduqué par mon épouse dominatrice, une brillante avocate! (6)

Next
 

Dominatrice expérimentée,  Cultivée et cruelle, sorcière perverse, recherche homme soumis docile obéissant, à dresser ou amateur de fessées magistrales et punitives …