La soubrette mâle et les jeunes dominatrices (29)

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La soubrette mâle et les jeunes dominatrices (28)

 

Des nouveaux coups de cravache s’abattirent sur mes fesses. Ces deux jeunes dominatrices, encore novices, voulaient  faire leur preuve et démontraient l’étendue de leur capacité!

Etait-ce à cause de l’intensité de cette souffrance infligée par la première fessée, que la seconde me parut encore plus insupportable ou bien que réellement Maîtresse Marie-Sophie y allait encore plus fort?

Peu importe, la douleur allait crescendo. Je me sentais  incapable d’endurer cela jusqu’au terme de l’objectif fixé! Ainsi, j’articulai avec peine le numéro 30 « merci Maîtresse Marie-Sophie » de rigueur. Celle-ci décréta qu’on allait repartir à zéro, pour une nouvelle série de 50, car je ne semblais pas assez motivé.

Je ne pus m’empêcher de supplier en pleurant

  • Pitié, Maîtresse Marie-Sophie, je n’en peux plus.

Maîtresse Sybille intervint alors pour lui dire qu’elle aimerait, bien prendre part à la punition. Il ne s’agissait évidemment pas de compassion à mon égard.

Son amie, éclata de rire et ajouta :

  • Ne t’inquiète pas! Je n’ai pas envie de te frustrer. Cependant, il s’agit d’une nouvelle expérience pour moi. J’ai voulu tester les limites de cette soubrette. Je dois dire que j’en suis satisfaite, car je jouis en entendant ses supplications! La sentir à ma merci me donne un sentiment de toute puissance!

Maîtresse Sybille fut enchantée de cette mise au point et félicita sa partenaire :

  • Je vois que tu as pris ton rôle très au sérieux, cela augure favorablement de la suite!

A l’avenir, ligne de conduite impitoyable de la part des jeunes dominatrices!

jeunes dominatrices

 

Ensuite, elle s’adressa à moi, avec un ton particulièrement dur :

  • Delphine, tu nous prouves à quel point tu as besoin de dressage. Je parle bien dressage plutôt qu’éducation. Nous serons, donc, obligées d’adopter une ligne de conduite impitoyable. En effet, il n’est pas envisageable que tu te conduises de façon aussi déplorable lorsque nous te présenterons à un groupe d’amies. Nous n’accepterons pas l’affront d’un comportement aussi lamentable.
  • J’en profite, les filles, pour vous annoncer que j’ai effectivement comme objectif d’exhiber delphine, quand elle sera bien dressée,  lors de soirées festives, au cours desquelles nous montrerons notre savoir-faire en terme  de domination féminine. J’ai des amies particulièrement vicieuses, que vous ne connaissiez pas, puisque vous ignoriez l’existence de mon jardin secret, qui seront ravies de participer à nos ébats.
  • Nous aurons ainsi la possibilité de leur prêter delphine de  sorte qu’elle soit occupée à plein temps au service de  demoiselles qui nous rendront compte de ses activités.
  • tu as compris delphine?
  • Désormais tu n’auras plus de moment à toi, sauf quand nous te le permettrons. Cela sera rarissime car tributaire de tes progrès pendant  ta période de dressage. C’est le sens de ton appartenance et du titre de propriété que je détiens sur ta personne.

J’oubliais de dire que ma punition avait repris et que je faisais de mon mieux pour ne  pas m’exposer à de nouveaux tourments.

Humiliant aveu devant ces jeunes dominatrices!

A la fin, cela me valut un commentaire sarcastique:

  • tu vois delphine, qu’on peut faire un effort quand on est bien pris en main!

Je repondis, mécaniquement, comme si je n’étais plus qu’un automate:

  • Merci, Maîtresse Marie-Sophie d’avoir la bonté de bien vouloir m’éduquer!

Les jeunes dominatrices éclatèrent de rire en entendant cet humiliant aveu!

Maîtresse Sybille, profita de ce moment, pour divulguer une nouvelle série de dispositions à venir, avant de passer elle-même à la troisième étape de ma punition.

Quant à moi, libéré de ma posture, je reçus l’ordre de lécher les talons de ma propriétaire, pendant qu’elle allait égrener la liste des futures réjouissances.

Maîtresse Sybille adopta un ton volontairement glacial, comme un juge qui énonce la sentence au condamné!

Elle déclara qu’il s’agissait d’une  ébauche de nouveau contrat de soumission.

Ebauche d’un nouveau contrat de soumission…

  • Delphine, nous nous engageons à faire de toi, une vraie esclave au service de la gente féminine. C’est ta nouvelle condition. Ton sort est scellé.
  • Tu pourras être aussi bien, fille de ménage, soubrette, esclave sexuelle, chienne, meuble, tout ce qui nous passera par la tête, sans oublier souffre douleur. En effet, la rude tâche d’éducatrice nécessite des temps de décompression justifiant de se soulager les nerfs sur son esclave.
  • Quel que soit l’ordre qui te sera donné, il devra être exécuté sans l’ombre d’une réserve, agrémenté d’un « bien Maîtresse, avec plaisir »complété par une jolie révérence que tu devras accomplir avec grâce et respect.
  • Toute imperfection, même minime sera sanctionnée impitoyablement.
  • J’attache une grande attention à l’humiliation comme mode éducatif. Il permet à l’élève de ressentir au plus profond d’elle-même quel est son statut, d’empêcher tout relâchement de conduite par des rappels à l’ordre permanents.
  • Je n’hésiterai pas à recourir à l’humiliation publique en toutes circonstances. Tu as déjà pu en apprécier les vertus il y a peu de temps. Cela devrait te convaincre que tu es en de bonnes mains. J’ai une solide expérience en la matière.
  • Un pauvre minable qui se la jouait macho a pu attester de ce qu’il en coûtait  de me défier sur ce terrain. Je l’ai convoqué innocemment dans un café fréquenté par des jeunes filles branchées et décomplexées. Une fois introduit dans ce lieu piégé, je l’ai exposé à cette gente féminine, après l’avoir copieusement giflé et fait mettre à genoux en exigeant d’infamantes excuses.

…pour éduquer une vraie esclave au service de la gente féminine!

  • Son vernis de mâle conquérant n’a pas tenu longtemps! Une fois sous mon joug, j’en ai fait ce que je voulais. Ainsi,  je l’ai livré en pâture aux nanas, sous l’oeil narquois et complice des serveuses et de la patronne du bar une  bonne copine. Celle-ci m’a demandé si elle pouvait utiliser cette carpette pour qu’il  fasse le grand ménage après la fermeture. J’ai bien entendu accepté à condition qu’il soit entravé et porte un bâillon boule en bouche. Pour ma part, il doit se mettre à ma disposition sur commande. Ainsi, il est devenu un de mes esclaves préféré. En effet,  il était assez subjugué par moi pour subir l’humiliation d’être trainé  en laisse dans un jardin public où, croyez-moi, les spectateurs ne sont pas aussi choqués qu’on pourrait le croire.
  • Mon objectif est de parvenir au stade où, bien que confrontée aux pires humiliations, delphine ne ressentira rien d’autre que le sentiment du devoir accompli qui est celui de faire jouir ses Maîtresses. Cette jouissance est précisément proportionnelle  au degré d’humiliation subie.
  • Je suis presque certaine, qu’elle finira par nous demander d’être encore plus sévère  pour  exprimer jusqu’au tréfonds de son âme sa véritable personnalité.
  • Je dois malgré tout te prévenir que nous ne cesserons jamais de te punir, parce que nous aimons cela. Il faut distinguer la punition éducative de la punition instrument de plaisir au service de la Maîtresse.
  • Mais nous n’en sommes pas là, loin s’en faut. Tu as tellement à apprendre.
  • Tes formatrices m’ont remis un dossier complet sur toi, notamment tes insuffisances notoires.
  • Saches que tout le matériel passé en commande en ligne  par leur soin sera prochainement à notre disposition, et nous en ferons bon usage .
  • J’ai apprécié à sa juste valeur cette cage de chasteté punitive, avec ses pointes dissuadant de toute mauvaise action  honteuse de ta part.

Maîtresse Sybille s’interrompit brusquement pour donner libre cours à une certaine exaspération à mon égard, estimant que le léchage de ses hauts talons n’était pas à la hauteur de ce qu’elle attendait!

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