J’ai reçu le mail de ma voisine et future Maitresse dominatrice, le lendemain après-midi, alors que j’étais au bureau.
« Voici le modèle de cage de chasteté que tu dois te procurer, il te suffit de cliquer sur le lien. C’est un modèle volontairement resserré à la base du gland, tu devras te décalotter avant de l’enfiler pour que ce dernier soit à l’air libre. Glisse-moi un mot sous la porte (puisque tu as l’air d’aimer ça) quand tu l’auras reçu. »
Voilà, rien de plus, pas de bonjour ni d’au revoir! Il allait falloir que je m’habitue.
L’envie était grande de cliquer immédiatement sur le lien. Cependant, j’attendis d’être chez moi pour le faire, de peur qu’un collègue ne me vit.
Essayage de ma nouvelle cage de chasteté
La cage n’était pas donnée, c’était un modèle luxe mais peu importe. Je la reçus deux jours plus tard dans un paquet anonyme.
Lorsque j’ouvris le paquet, j’étais, terriblement, excité. Aussi, je me trouvais dans l’impossibilité de l’essayer, de suite. Je dûs me passer le sexe sous l’eau froide pendant cinq bonnes minutes avant de le voir se ratatiner. Ensuite, je suivis, scrupuleusement, les consignes de ma Maîtresse dominatrice et je laissai, donc, mon gland exposé.
Il y avait une curieuse petite vis à la base du gland. Je ne tardai pas à en comprendre l’usage en découvrant en plus des deux clés fermant la cage un petit tournevis fourni avec. Une fois en place, ma Maîtresse dominatrice allait, certainement, resserrer l’anneau autour de mon gland de manière à ce qu’il ne puisse plus se dégager.
J’enfilai ma cage rapidement car je sentais une nouvelle érection venir, qui fût rapidement comprimée une fois mon petit oiseau en prison.
Je rédigeai ensuite une note que je glissai sous la porte de ma voisine à 19H30.
A 20H15, on sonna chez moi.
Mon cœur bondit dans ma poitrine, mon ventre se resserra d’un coup.
Je courus ouvrir sans oublier de baisser le regard au dernier moment.
Convié dans l’appartement de ma future Maîtresse dominatrice
Ce n’était pas ma voisine….
Je découvris, une petite blonde potelée très BCBG, la trentaine, perchée sur de hauts-talons. Elle portait des bas noirs, une jupe et un pull, moulants. Ses seins étaient énormes et son épaisse chevelure blonde était attachée en deux grosses couettes de gamines.
- Bonjour, me dit-elle avec sa petite voix aiguë, Madame vous attend. Aussi, vous devez me suivre.
Surpris, je restai figé, pendant plusieurs secondes, sans savoir quoi faire.
- Elle n’aime pas attendre, ajouta t’elle
- Oui, oui.
Je fermai la porte derrière moi et la suivit dans l’appartement de ma voisine. Mes yeux étaient rivés sur son gros derrière chaloupant au son de ses hauts talons. L’appartement était chic, sobre et de bon goût. Il n’y avait pas de fioriture dans la décoration ou dans le mobilier, que du simple et du beau.
La blonde me conduisit dans le salon où Madame était assise. Elle portait la même tenue que l’autre jour sur le balcon. Sa tenue était semblable à celle de sa soumise. Car il devait s’agir de l’une de ses soumises.
- Votre voisin est ici Madame, a annoncé cette dernière.
- Très bien, a répondu Madame.
Elle s’est levée et m’a crucifié du regard.
- As-tu vérifié si sa cage est en place ?
- Pas encore Madame.
- Je t’avais dit de le faire sur le palier.
Le regard de la soumise se figea de terreur.
- J’ai…J’ai oublié Madame.
- Tu seras punie. Toi, poursuit-elle sans m’avoir quitté un instant du regard. Déshabille-toi!
Nu devant ma Maîtresse dominatrice et sa soumise
Je m’exécutai en retirant ma chemise Je m’étais habillé légèrement volontairement. Enfin, j’enlevai mon pantalon, exhibant fièrement ma cage toute neuve et mes parties terriblement comprimées.
Madame fronça les sourcils en examinant le résultat, produisant une légère grimace de dégoût.
- Il y avait un tournevis dans la boite?
- Oui, je l’ai amené avec moi.
- Resserre-lui le gland avec, a-t-elle commandé à la petite blonde.
La soumise se tourna vers moi. Ensuite, elle pri le tournevis dans ma main, sans croiser mon regard puis elle entreprit de visser le collier autour de mon gland. La sensation fût d’abord agréable avant de devenir rapidement gênante.
- Pas trop, a dit Madame, il faut que le sang puisse circuler.
La blonde desserra, légèrement, l’étreinte.
- Très bien, donne-moi les clés maintenant, ensuite caresse-lui le gland avec ton index.
La soumise marqua un temps d’arrêt, gênée ou dégoûtée. Je n’aurais su dire.
- Allez, dépêche-toi!
La blonde prit sur elle, même si elle semblait dégoûtée au vu de son regard. Elle ne devait pas aimer les hommes. A l’aide de son index, elle commença, donc, à caresser la « bête ». Cela m’électrisa d’un coup. J’avalai une bouffée d’air alors que mon membre, agité de soubresauts, tentait de se raidir.
En vain.
Inspection de la nouvelle cage de chasteté
Prisonnier de la cage, mon membre s’était très vite retrouvé à l’étroit. Ainsi, je fis un pas en arrière, essayant d’échapper au terrible massage de la soumise.
- Ne bouge pas!, s’agaça Madame, mains derrière le dos ! Je veux vérifier la solidité de la cage.
Je m’obligeai à rester immobile, regard baissé. La blonde reprit sa cruelle caresse, toujours du bout de l’index dans un va et vient insupportable. Sous l’effet de l’excitation, je me courbai, légèrement, en deux ce qui sembla grandement amuser Madame.
- Tu apprécies j’espère, me lança t’elle, un mauvais sourire sur le visage. Prisca, flatte-lui un peu les couilles!
La petite main enveloppa mes bourses puis les caressa. C’était intolérable! Mon sexe ne demandait qu’à s’exprimer mais c’était impossible. J’en avais des nœuds à l’estomac et je trépignais d’un pied sur l’autre.
- Lèche-lui le gland!
- Madame?
- Ne discute pas, obéis !
La soumise n’en avait aucune envie mais elle s’exécuta quand même. Elle se mit à genoux et commença à passer sa langue sur et autour de mon gland.
- Prisca est comme moi. Elle n’aime pas les hommes mais elle m’a désobéi, tu es donc sa punition. Ne t’inquiète pas, elle a signé un contrat pour m’obéir en tout point. Je vois que la cage est bien en place, cela suffit, relève-toi.
Soulagé, la petite blonde se remit debout, s’essuyant la bouche du revers de la main.
- Il y a de la vaisselle à faire, m’ordonna Madame, tu nettoieras entièrement la cuisine puis les toilettes et la salle de bain. Aussi, tu porteras pour cela un tablier que j’ai confectionné spécialement pour toi. Il y a à l’intérieur, au niveau des parties génitales, du papier à poncer qui ne manquera pas de t’irriter le gland pendant ton travail. Dis-toi que cela fait partie du test. Ensuite tu passeras le balai partout dans l’appartement sauf dans la chambre près de l’entrée. Cette pièce t’est interdite, quoiqu’il arrive tu ne dois en aucun cas entrer à l’intérieur. C’est compris ?
- Oui Madame.
- Très bien, passe ton tablier et au travail !
A suivre
J »adore, hâte de lire la suite
Vraiment bof