Suite de la transformation de mon slave soumis en sex toy
Maîtresse m’a demandé d’écrire mon histoire de soumis et ma transformation en sex-toy. Elle m’a fait lire le récit qu’elle a publié. Il correspond parfaitement à ce qui s’est passé. Cependant, il y a évidemment des épisodes que j’ai ressentis différemment. C’est pourquoi j’ai décidé d’écrire mon récit. Maîtresse m’a laissé une liberté totale d’écriture. Cela ne veut évidemment pas dire qu’elle ne me corrigera pas si certains passages ne lui plaisent pas. En effet, comme esclave, je suis fouetté par ma Maîtresse si elle le désire.
L’enfance d’un soumis
Comme beaucoup de mâles soumis de ce site je suppose, j’ai toujours ressenti le désir d’être dominé. Cela s’est marqué dans mon enfance par les rôles que je prenais dans mes jeux d’enfant. J’adorais jouer avec deux cousines de mon âge. Ainsi, J’étais soit un cow boy capturé par les indiens et attaché à un arbre soit un voleur attrapé par deux policières, immobilisé puis menotté. J’adorais être humilié et ridiculisé ce qui mettait en joie et excitait mes cousines. Moi aussi d’ailleurs .
J’espérais toujours qu’elles iraient plus loin. C’est ce qu’elles ne manquaient pas de faire en me traitant de vermisseau, d’infâme ver de terre, d’horrible détritus… De plus, elles ont découvert un jour le plaisir de me pincer les tétons et de m’entendre les supplier d’arrêter. Elles m’ont aussi baissé le pantalon (mais hélas pas le slip) pour me fesser à 4 mains. Elles prenaient beaucoup de plaisir à me corriger. De plus, elles s’encourageaient mutuellement à frapper de plus en plus fort.
Hélas, la puberté a rendu mes cousines pudiques et réservées. Ainsi, ces jeux se sont arrêtés à l’adolescence. Ils sont restés enfouis dans un coin de ma mémoire, perdus pour quelques années. J’ai grandi, je me suis intéressé aux filles comme les jeunes de mon âge. J’ai réalisé rapidement que la nature m’avait doté généreusement et que les filles appréciaient les dimensions de ma bite. Tout allait donc pour le mieux.
Le retour de mes fantasmes
Je ne sais pas pourquoi mais mes envies d’être dominé et humilié sont revenues peu après mes 20 ans. Ainsi, j’ai fait des allusions à mes amantes, essayant de les convaincre de jouer les Maîtresses, sans succès. J’ai fini par m’inscrire sur « slave selection » qui je pense en était à ses débuts.
Ensuite, j’ai eu de la chance, il n’a pas fallu trois jours pour entrer en relation avec une Maîtresse, plus jeune que moi. Nous n’avons échangé que quelques courriers avant de nous rencontrer dans un café. Elle était très grande, au mois 1m85 avec ses talons de plus de 10 cm et surtout terriblement belle. Blonde, aux cheveux longs, ondulés, des yeux bleus perçants. Dès que je l’ai vue dans le bar branché du centre-ville où elle m’avait fixé un premier rendez-vous, je suis tombé sous son charme.
Evidemment, elle est arrivée avec une demi-heure de retard me laissant examiner toutes les jeunes femmes qui arrivaient pour savoir qui serait ma future Maîtresse. Je n’ai eu aucun doute en la voyant entrer, c’était elle, impérieuse et majestueuse, se dirigeant sans hésiter vers moi. Elle portait un jean slim, qui mettait en valeur ses jolies petites fesses et un t-shirt dont le décolleté attirait les regards et pas seulement le mien.
Prise de possession
-Tu as l’art de choisir la table la plus minable ! : me dit-elle en guise de présentation, tu es vraiment un connard.
Et elle s’assit à trois tables d’écart, sans que je ne voie clairement en quoi elle était différente.
-Tu peux t’assoir : m’accorda- t ‘elle en passant déjà sa commande et sans vraiment me regarder.
-Une coupe de Champagne pour moi et une eau plate pour le jeune homme. Avez-vous des amuse-bouche pour accompagner le Champagne? J’en voudrais une assiette. Toi, tu n’y touches, inutile avec ton eau : me dit-elle en rigolant.
Elle m’explique ensuite ce qu’elle attend de moi, une servitude intégrale, une fidélité complète et une obéissance sans failles. Elle dit être capricieuse, exigeante, sans aucune indulgence. De plus, elle déclare qu’il est évident que je suis là pour elle sans aucune interrogation de ma part sur ses ordres. Je ne suis pour elle qu’un minable, un ver de terre qui peut être heureux d’être distingué par une Déesse comme elle.
Fasciné par cette Maîtresse
Je suis fasciné par sa beauté, ses lèvres bien ourlées d’un rouge à lèvres rouge sombre, son regard pénétrant. J’ai envie de la servir et d’être en son pouvoir. Son vocabulaire, son ton impératif, son programme, tout cela me subjugue. Je suis prêt et heureux d’être subjugué par une femme qui m’est clairement supérieure. Tout de même, un doute me traverse l’esprit. Elle dit être débutante dans sa présentation sur « slave selection » et peut-être en rajoute- t ’elle trop.
Elle m’a jeté un regard noir et méprisant en me disant qu’elle espérait que j’avais compris mon rôle et ma place de soumis. J’ai balbutié un « Oui Madame », subjugué et surtout submergé par une érection comme je n’en avais plus connue depuis longtemps. Elle a ajouté qu’elle allait me faire signe si elle décidait que je suis apte à la servir, quittant le bar sans me regarder. Je l’ai suivie des yeux jusqu’à ce qu’elle disparaisse, m’imprégnant de son allure décidée et de sa silhouette de rêve. J’espérais que l’attente ne serait pas longue…