Au restaurant, Sandra et Hubert bavardent. Ils travaillent ensemble depuis peu et Hubert a décidé de draguer un peu sa collègue.
Il est volubile, il essaye de briller, il fait son show… Sandra se laisse séduire mais elle a envie de monter tout de suite ce qu’elle attend de cette rencontre : cela va commencer par une petite leçon pour qu’il devienne son esclave. Elle aime contrôler et surtout elle aime les scénarios qui sortent des rails sur lesquels on les croyait lancés. En feignant d’écouter Hubert, elle se déchausse sous la table et lève lentement son pied droit en direction de l’entre-jambes de son vis-à-vis qui parle et parle encore.
Le pied nu de la belle quadragénaire est orné de longs ongles vernis rouge sang et d’une chaînette qui lui entoure la cheville. Lui, plus jeune de quelques années, ne se doute de rien, il parle, parle, raconte, avec force gestes et mimiques, il est intarissable. Il a envie de séduire et de s’amuser. Il est sur de son pouvoir de séduction et compte bien en profiter.
Elle, toujours silencieuse, le fixe et arbore un petit air ironique. Il ne comprend pas ce petit sourire qui le nargue, ce regard à la fois moqueur et triomphant. Tout à coup elle lui prend doucement les mains et les tire vers elle en souriant candidement. Hubert est enchanté de la tournure que prennent les événements, elle est déjà séduite par son nouvel esclave. Il sourit mais son sourire se fige car à ce moment il sent que son entre-jambes est couvert par le pied de sa compagne. Il sursaute mais il est déjà trop tard : elle le tient. Il s’immobilise, baisse les yeux et comprend tout de suite la situation :le pied de la jolie brune est magnifique; Hubert est comme hypnotisé par cette vision. Sandra jubile, elle sent le sexe durcir sous son pied et apprécie en connaisseuse l’hommage qu’il rend à sa manoeuvre.
Hubert rougit, balbutie puis se tait, immobile sur sa chaise. Elle lui masse doucement le haut du sexe avec ses orteils puis, avec son talon, pousse doucement sur les bijoux de famille de sa proie.
– « Alors, on ne dit plus rien ? Tu es moins bavard maintenant … tu n’es plus rien que ma chose, je suis la prédatrice et tu es ma proie. Il ne m’a fallu que quelques minutes pour te faire tomber dans mes filets, pour que tu m’invites et maintenant il ne m’a même pas fallu un mot pour te vaincre à nouveau »
Ces paroles boostent le désir de Hubert. Il regarde le pied aux longs ongles peser doucement sur ses parties intimes. Une formidable érection force son pantalon… les autres clients du restaurant n’ont rien remarqué… et Sandra s’amuse de tout cela. Elle poursuit :
« Tu es à moi depuis le premier instant, depuis que tu m’as vue et que j’ai décidé de te posséder. Je t’ai laissé croire que j’accepterais une invitation, tu m’as invitée et c’était le premier élément de mon piège. Tu t’y es jeté tête baissée et tu t’y empêtres de plus en plus… et j’aime ça ».
Elle ôte le pied et le regarde d’un sourire cruel et moqueur.
« Alors ? Tu n’aimes pas ça ? » Son regard est à la fois moqueur et cruel.
Il blêmit et balbutie une supplication :
« SI SI, Pitié, je t’en supplie, continue… je n’ai jamais rien connu d’aussi bon »
Elle triomphe en riant tout doucement : elle ajoute aussitôt:
« A genoux ! »
« Ici ? »
« J’ai dit : à genoux et baise mon pied »
Il laisse tomber sa serviette, se lève pour la ramasser, s’agenouille devant elle et lui baise le pied qu’elle a posé sur le sol pour qu’il s’abaisse au maximum, se relève puis s’assied, le visage rouge de honte.
Il se rassure un peu en constatant que les clients semblent ne pas avoir remarqué leur manège. Sandra jubile.
Elle repose son pied sur le sexe durci de son prisonnier…
– « C’est bien, tu m’obéis. Tout ce que tu me racontes est bel et bien intéressant… mais en fin de compte, il ne reste qu’une seule chose : j’ai mon pied sur ta virilité et je suis la maîtresse du jeu. Tu es en mon pouvoir et tu vas m’appartenir pour le temps que je voudrai. Je peux choisir maintenant, ou je te donne le plaisir absolu ou je t’écrase. ».
Hubert est de plus en plus excité, ferré dans son désir par cette sensation nouvelle pour lui de soumission et d’abandon.
« Je me rends, je me soumets, je suis en ton pouvoir ». Il n’en revient pas que ces mots puissent sortir de sa bouche mais en disant cela, il sent une vague de plaisir l’envahir complètement.
Elle lui masse langoureusement le sexe de son pied nu. Parfois très légèrement, parfois de manière plus appuyée.
Puis, quand elle sent le bon moment venu, elle lui prend à nouveau les mains et lui dit :
« Je vais te faire jouir, ici, maintenant, sous mon pied nu. Tu vas mouiller ton slip pour moi, ici, au milieu de tous ces gens. Cela te montrera que je peux te faire ce que je veux où je veux… tu es à moi, ma chose, mon esclave, mon objet. Ensuite tu iras l’enlever aux toilettes et tu le mettras dans ce sachet en plastique puis tu me le donneras. Ce sera mon trophée, ton scalp mais ce sera plus qu’un scalp, ce sera ton essence que tu me donneras en offrande »
Tout en parlant, son pied nu fouaille l’entre-jambes de sa proie qui n’en peut plus d’excitation, les orteils accentuent maintenant les caresses sur le bas du gland…
« Et je garderai ce trophée comme une poupée vaudou. Quand je te voudrai, le mettrai ce slip par terre et je poserai mon pied dessus. Mon pied sera sur ton essence, sur ton âme et tu m’appartiendras, je pourrai alors t’appeler et te demander tout ce que je voudrai, tu obéiras comme un bon esclave. Allez, viens… viens sous mon pied, je te tiens… ouiiiiii… comme çaaaaaaa, au pied, au pied, au pieeeed … ha ha ha, j’ai gagné !
Hubert est secoué par un orgasme qu’il essaye tant bien que mal de cacher. Le pied de sa Maîtresse est impitoyable… elle achève la masturbation par de légères touches puis reprend sa position assise normale. Elle fait entendre un rire cristallin, triomphant.
« Allez, apporte-moi mon trophée, offre-moi ton âme, ton esprit, ton essence ».
Hubert obéit, se rend aux toilettes puis revient et remet discrètement le petit sachet à sa maîtresse qui jubile.
– » Non, non, pas comme ça, à genoux ! »
Hubert s’agenouille juste à côté d’elle, comme s’il ramassait encore quelque chose.
Sandra prend le sachet et le glisse en riant dans son sac à main. La vie au bureau va être beaucoup plus intéressante maintenant.