C’est un peu honteux que j’ai osé lui écrire sur slave selection, à cause de sa photo assez obscène. Mais cette beaute domina est de ma région, Rhône-Alpes, son âge est idéal, ses proportions parfaites et surtout sa présentation, directe comme un coup de poing, a l’avantage d’être claire. Je la reproduis ici mais vous pouvez visiter son profil :
« Ce qu’elle recherche : Chien à mes pieds. Nu. Port du collier. Désobéissances punies à la cravache. Je veux une langue infatigable pour mes pieds, mon sexe et mon anus. Lèchera aussi ma soumise et sera loué à mes amies comme une petite chienne obéissante. Pas de sang. »
C’est sans fioriture et sans appel.
Sans appel ?… et si Lucrèce daignait m’appeler ? Je lui déposai un message avec mon numéro de portable et la garantie d’une obéissance totale aux lois énoncées.
Le surlendemain, coup de fil cinglant. Je n’ai pu placer un mot.
À propos, on dit toujours « coup de fil » ? En tout cas celui-ci fut un coup de fouet !
« Café des négociants (nda au centre de Lyon) à 17h. Ni retard, ni sous-vêtement ne sera toléré. »
Raccroché.
Arrivé en avance, je sirotais un porto en terrasse quand je vis arriver Lucrèce, cette beaute domina slave. Trench-coat très années 50, foulard et lunettes de soleil du même genre, talons-aiguille claquant sur le bitume, elle scrutait la foule en avançant, comme une reine dominant la foule de ses sujets. M’ayant repéré (ma photo est réelle, profil certifié), elle s’est avancée jusqu’à ma table. Je me levais juste quand elle a « Oh, je suis désolée ! » fait tomber un porte-document dont tout le contenu s’est répandu au sol. Je me suis baissé pour ramasser rapidement les papiers et les lui donner pour qu’elle les replace dans le maroquin. Deux feuilles restaient coincées sous ses chaussures. Quand elle souleva « Oh, Pardon ! » le pied gauche, je pus lire sur la feuille qui était dessous « EMBRASSE MON PIED ! » Je relevai la tête, incrédule, elle me toisait en souriant et pointa le doigt vers le sol, comme préoccupée que je ramasse bien tout. C’était discret, les gens alentour ne voyaient rien d’autre qu’une maladresse toute bête.
Cette cheville fine sortant de l’imperméable était à elle seule une invite, je l’embrassai avec passion, sentant l’odeur et la chaleur de sa peau, tout en suivant ses petits mouvements de rotation autour du talon aiguille pour que j’embrasse chaque centimètre. Après de longues secondes « Merci » dit-elle et je lui tendis la feuille, soigneusement pliée… Elle s’assit confortablement, croisant ses jambes de star et, bien entendu, « Oh, il reste une feuille, là » m’indiqua l’autre pied. Me baissant de nouveau, je bénis l’idée d’avoir mis une veste, ce qui évitait que tout le monde assiste au spectacle. Le message était plus long « ENLÈVE-MOI CETTE CHAUSSURE ET LÈCHE ! DÉBOUTONNE TON JEAN ». Les quatre boutons de mon jean sautèrent en un geste. Lucrèce s’était légèrement déplacée pour m’observer manipuler son autre chaussure, j’étais très intimidé mais comme hypnotisé quand je vis le contenu de cet étui de cuir doré. Alors, hors du temps, je caressai de ma langue ce bijou de taille trente-sept carats, aux ongles impeccablement vernis, je pris la pointe entière dans ma bouche pour mieux insinuer ma langue partout, Lucrèce remuant sensuellement ses orteils de reine dans leur palais (qui était le mien avant leur arrivée). Pénétrées par les cinq envoyés royaux, ma bouche et ma langue se rendaient aux envahisseurs un peu rudes, chauds et légèrement salés, orgasmant de les nettoyer par mille caresses. Après un siècle, la prise d’assaut s’arrêta hélas « Non, ça va, ramassez celle-ci et le dossier est complet » je pris mon mouchoir pour essuyer le joyau avant de le replacer dans son écrin et refis surface avec la dernière feuille en question. J’avais oublié un détail… Souriant de toutes ses innombrables dents, Maîtresse (puisque d’ores et déjà il me fallait l’appeler ainsi) contemplait l’état de mon sexe pointant hors de mon pantalon, tout tendu et tout rouge, comme le phare que je piquai quand je m’en aperçus. « Rangez ça et prenez-en soin !.. » me confia-t-elle le porte-documents…
« Mais ça ne servira qu’à vous » ajouta-t-elle pendant que, écarlate, je rangeais mes affaires « à tout à l’heure. ».
Elle se leva de son allure princière, me serra la main en tordant mon poignet pour m’obliger à me rasseoir, appuyant son ordre d’un regard sévère.
Je restai, hébété, le portefeuille sur les genoux…
Ah, au fait, qu’y avait-il dedans ?
Il contenait une liste d’instructions, un collier de chien et, bien pliée dans une enveloppe en kraft, une petite culotte. Inutile de préciser qu’elle avait été portée, une vraie carte de visite fétichiste, que j’humai discrètement… un régal, appât absolument irrésistible. Décidément, cette micro-scène de théâtre plus le parfum musqué de son sexe… elle me tient déjà ! Un document un peu surréaliste comportait une vue en coupe d’un cunnilingus. Un homme, couché sur le ventre, la langue dans le vagin d’une femme assise devant lui : brochure médicale ? Tout l’intérêt du papier résidait dans la légende. Elle listait toutes les instructions gestuelles que la femme pouvait donner à son partenaire, ce que l’homme devait faire si elle :
Appuie sur sa tête vers le bas : lécher l’anus
Tire ses cheveux : lécher la vulve
Lui tire une oreille : lécher le clitoris
Tape sur sa tête : plus profond
Lui donne une gifle : langue plus large, plus douce
Pince son nez : langue plus pointue, plus dure
Claque des doigts une fois : plus lentement
deux fois : plus vite
Fait un bruit de bouche (comme pour appeler un chat) : sucer, aspirer, prendre en bouche
« Pssssst » : la femme va uriner (boire)
Repousse l’homme : baisser les yeux, remercier, complimenter, attendre (ce n’est pas fini)
À toutes fins utiles, j’essayai d’apprendre ce code.
Les instructions étaient de me vêtir du collier, de cette petite culotte, une paire de baskets et de couvrir le tout d’un pardessus, puis de me rendre au « Fitness & Body care » cours Albert Thomas à la fermeture, 21h30 précises. Ni avant, ni après.
J’ai fait une sorte de sieste (euphémisme pour une pratique honteuse) avec la culotte sur mon visage, le nez placé à l’endroit concerné… Douche, très complète, on ne sait jamais, déguisement et c’est parti.
Ponctuel, je croise en arrivant les dernières clientes, rien que des femmes dans les quarante qui me toisent toutes du fameux « coup d’oeil vertical ». Chasseuses habituées à juger une proie potentielle…« Il est perdu, le petit monsieur ? Il sait où il met les pieds, au moins ? » je bredouille, intimidé par leurs moqueries. L’une écarte mon pardessus et voit la culotte, je pique un phare… les panthères pouffent de rire puis disparaissent. J’en entend une, tournant le coin de la rue, « Celui-là, s’il revient, je te jure qu’il me lèchera le cul ! » rires.
Pile au moment où j’entre, toutes les lumières s’éteignent sur la salle de gym. Seule une petite pièce latérale est éclairée, dont la porte est ouverte. J’y retrouve Lucrèce, en tenue de sport, reprenant son souffle sur une table de massage. J’entends une clé tourner dans la serrure de l’entrée, nous voilà seuls. À moins que la salle n’ait été, comme l’évéché, fermée de l’intérieur. Oui, c’est cela, j’entends des pas.
Lucrèce ouvre les yeux et me toise, sans sourire, cette fois. « Enlève ce manteau… Ah, tu as mis la petite culotte, c’est bien. Je te présente Bianca, ma soumise. Entre, chérie! Viens voir notre nouveau jouet. ». Bianca entre, femme pulpeuse, cheveux noirs coupés courts mais très féminine et sans doute très jeune. Je crois comprendre la suite, car Bianca enlève son peignoir, elle est nue et porte juste… un strap-on. M’étonnerait pas que ce soit pour moi, ça.
Lucrèce m’attire à elle en attrapant mon collier, puis recule sur la table jusqu’au dossier incliné« Prosterne-toi devant moi, couché-là, et lèche-moi ! Tu as de la chance, je suis en sueur, gourmand. »
Je rampe sur le matelas, m’allonge… Lucrèce repousse mon front à deux centimètres de son sexe. Seigneur, que faire, déjà ? Ah oui ! Je baisse les yeux : « Merci Maîtresse… vous êtes d’une divine beauté… puis-je avoir l’honneur de lécher votre sexe royal ? » J’entends Bianca soupirer d’excitation, elle passe nerveusement sa main entre mes fesses, cherchant ce qui l’intéresse, mon sexe anal. Lucrèce me tire les oreilles. J’embrasse son pubis chaud, humide de transpiration, ma langue trouve son clitoris, chaud lui aussi, et en érection. Lucrèce appelle un chat. J’aspire le haut des lèvres et le clitoris, son sexe de reine envahit mon… son palais ! Ses deux mains passent derrière ma tête et l’attirent en la faisant onduler contre son pubis. Je tête ainsi avec passion cette femme hors du commun, c’est pour moi un baiser d’amour.
Bianca souffle à présent et n’y tient plus. Elle monte sur la table, écarte la petite culotte et m’empale avec son gode-ceinture heureusement lubrifié. Malgré moi, je lâche un petit cri de donzelle… cela surexcite les deux femmes : Lucrèce feule comme une tigresse en chaleur et me pince le nez, je raidis ma langue en pointe et la lance avec force à l’assaut de son bouton, elle a des soubresauts et de petits cris de douleur. Bianca se vautre sur moi, elle s’enfonce en moi en poussées ondulantes, je sens son corps doux et chaud, ses seins se plaquer à mon dos, ses mains passer sous mes bras pour prendre mes épaules… mon cri de pucelle l’a rendue folle, elle m’embrasse dans le cou, me lèche, me mord et tout en me pilonnant s’approche de mon oreille, essoufflée… « Ta culotte est sale, petite cochonne… tu veux m’exciter ? Garce, tu vas me faire jouiir ! » Ses coups de reins me font mal, comme un mâle qui violente sa femelle, mais la souplesse de ses mouvements, la tendresse de sa chair sont de velours, quand le pénis en silicone s’enfonce en moi, je gémis et je suce plus fort le clitoris de la reine, qui apprécie en haletant…
Bianca accélère et commence à rugir, à suffoquer en s’immobilisant de temps en temps, comme de douleur… reprenant, elle me mord plus fort, elle serre mes épaules en soufflant, se hisse pour me prendre profond, je sens sa chaleur, le poids de ses seins, de son ventre affolé… elle vient ! Une poussée puissante de Lucrèce sur ma tête, vers le bas, je me décale vers son petit orifice, une tape violente, deux snaps empressés… (rappel : plus profond, plus vite). Je masse les muqueuses anales, d’une douceur de satin, l’orgasme de Bianca me pousse, Maîtresse a relevé ses jambes et plaque toujours ma tête entre les cuisses luisantes de transpiration, une contraction de sa vulve me projette dans les yeux quelques gouttes de cyprine brûlante et soudain elle s’arc-boute, ses cuisses se tendent en un spasme, enlacent le corps de Bianca en le serrant sur moi, ma femâle s’enfonce le plus possible, jusqu’à me faire gémir… j’ai mal, j’ai chaud, c’est doux, loureux… je m’évanouis presque.
Je retrouve mes esprits, lorsque Bianca lèche ma nuque et se retire, me repousse et rend hommage à sa maîtresse, beaute domina slave, d’un long baiser entre les jambes. Lucrèce me regarde avec un sourire béat, les yeux mi-clos, adorable, elle cherche une suite… « tiens, la lopette, branle-toi en léchant mon pied ! » et je retrouve la merveille de tout à l’heure, remuant avec sensualité dans… son palais.
Enlacées, les deux amantes satisfaites s’amusent à m’humilier avec leurs pieds… sous leurs moqueries, je jouis en quelques secondes.
Voilà.
Voilà Lucrèce.
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