Une nouvelle Maîtresse pour la journée ?
Quelle heure est-il ? Depuis combien de temps suis-je ainsi ? Que se passera-t-il par la suite ? Pourquoi me fait-elle ça ? Qu’ai-je donc fait ou mal fait pour le mériter ? Toutes ces questions que je me pose demeurent pour l’instant sans réponses. Je sais juste que mon cul, mes tétons, et ma queue me font un mal de chien. Ainsi, je reçois, toujours, ces décharges électriques incessantes. Je n’ai pas réussi à dormir, je suis crevé et en manque de sommeil.
Soudain, je sens la présence de Chloé dans la chambre, les décharges s’arrêtent enfin. Je suis soulagé. Elle me retire les pinces, me retourne sur le ventre et sort violemment le gode du cul. Je crie légèrement de douleur mais aussi de soulagement. Elle me remet sur le dos et me retire le gode de la bouche .
-Salut petite pute, je vais en cours. Une amie va venir te tenir compagnie. Tu as intérêt à être un bon toutou obéissant, si elle me dit quoi que ce soit de mal de toi, ça va barder! Je te promets que cette nuit était un nuage douillet comparé à ce que tu subiras, compris ma pute ?
Je dois m’y faire, je suis devenu l’esclave sexuel de Chloé, et je n’ai pas d’autre choix que d’obéir si je ne veux pas souffrir.
La mystérieuse dominatrice
-Bien Maîtresse, à vos ordres Maîtresse, bonne journée Maîtresse !
-C’est bien, tu deviens obéissant ! On dirait que cette nuit t’as laissé le temps de comprendre ta place. Pour te récompenser, je ne vais pas te remettre ni les pinces, ni les godes. Maîtresse Lou arrive dans deux heures. Tu as donc deux heures pour te préparer à sa venue et pour te reposer. Je ne sais pas quand je rentrerai ! allez dors bien ma pute.
-Merci de votre grâce Maîtresse !
Je sens alors ma Maitresse Chloé me mordre le téton, ce qui me fait légèrement gémir de douleur. Puis elle part me laissant ainsi seul.
Il est maintenant 10h30 et je dors comme un bébé, un bébé attaché avec les yeux bandés, mais un bébé. Je suis en plein sommeil quand je suis, soudain, réveillé par une main qui empoigne mon sexe. Il s’agit d’une main féminine. Je ressens, alors, des va et viens violents et intenses me faisant gémir fortement. Avec le bandeau sur les yeux, je ne peux pas savoir qui me fait cela. Cependant, je me doute bien que ce doit être ma nouvelle Maîtresse Lou, cette mystérieuse dominatrice.
Cela continue, encore et encore. Ce qui me perturbe le plus, c’est le silence. Que ce soit Maîtresse Lou ou même une autre personne, pourquoi ne parle t’elle pas ? Je me fais alors branler pendant 10 à 15 minutes. Je préviens alors que je vais jouir. Tout en continuant de me masturber, je sens quelque chose de froid, comme du verre, se poser sur mon gland. Dans un cri de plaisir, je jouis. Puis la personne part soudainement. J’entends, alors, une voix douce et sensuelle, une voix de femme me dire :
-Repose toi bien, car je reviens dans 20 minutes mon mignon !
Le mystère persiste !
Comme elle l’a dit, elle revient 20 minutes plus tard et recommence. Elle le fait, facilement 4 ou 5 fois. J’ai les couilles complètement vides et j’ai une faim de loup. A chaque fois que je vais jouir, je sens ce verre froid contre mon gland. J’ai peur de comprendre pourquoi. Avec ce que l’on vient de me faire subir, c’est plutôt plaisant. Ma bite ne va pas pas durcir de si tôt, et je ne crois pas si bien dire, car après la dernière fois, ma mystérieuse dominatrice me met une cage de chasteté. Bien que je sois couché, je peux sentir le poids de la cage assez imposant. Je sens alors une main me caresser les cheveux et une voix douce, et assez familière me dit :
-on va passer la journée ensemble mon mignon. Tu vas voir on va bien s’amuser. Je peux être très gentille crois moi !
Sur cette parole, elle m’embrasse de façon appuyée. Même si j’aime follement Chloé malgré ce qu’elle m’a fait, je ne suis pas en mesure de refuser ce baiser. Il est doux et passionné et dure bien 5 minutes.
-Mais… je peux aussi être la pire des garces !
La mystérieuse dominatrice, la pire des garces ?
Son ton a changé du tout au tout. Elle est passée de douce à agressive. Il n’y a pas que son ton qui a changé, ses actes aussi. Son doux baiser se transforme en une chose bien plus agressive. Elle me prend par la mâchoire et me force à ouvrir la bouche. Puis elle pose un verre sur mes lèvres, je comprends très vite que j’ai eu raison d’avoir peur tout à l’heure. J’avais bien compris. Elle a rempli un verre de mon sperme. A peine le verre à ma bouche, je sens l’odeur, une odeur forte et répugnante. Elle me verse le sperme dans la bouche.
Rien qu’avec quelques gouttes, je ressens déjà un haut-le-cœur. Elle me verse le verre en entier dans la bouche, me ferme la bouche et me la scotche solidement avant même que je n’ai le temps de la supplier de ne pas m’obliger à avaler ça. Elle me dit d’un ton autoritaire :
-Tu vas avaler ça, vite fait sale pute, avaleuse de sperme. Ton sperme répugnant et dégueulasse me dégoûte au plus haut point. Je vais aller faire des achats en ville, avec ta carte bleue bien sûr. Si jamais quand je reviens, je vois que tu n’as pas tout avalé, crois moi que tu vas t’en souvenir jusqu’à la fin de ta vie, de ta connerie, sois en certain !
Crachat au visage
Je reçois, alors, un crachat à la figure avant de l’entendre fouiller ma veste et partir. Comment a-elle eu le code de ma carte bleue ? Ce doit être Chloé qui le lui a donné ? Mais pourquoi Chloé se comporte-t-elle ainsi ? Je veux bien qu’elle soit une fétichiste… mais tout de même il y a des limites, cela va trop loin, et il faut que cela cesse. Que je suis naïf… je ne peux rien faire, elle a tout pouvoir sur moi. Je suis littéralement soumis.
Toujours est-il que si je n’ai pas avalé ce sperme totalement dégoûtant, je vais prendre très cher. Alors je me mets au boulot. J’ai la bouche pleine, mes joues en sont gonflées. J’avale alors une petite partie. Mon dieu l’horreur !!! C’est amer et complètement répugnant ! Je ne peux pas avaler ça mais je le dois. En effet, je n’ai pas le choix, alors je me force, encore et encore, dégoût après dégoût, haut-le-cœur après haut-le-cœur, larmes après larmes.
Je ne peux me résoudre à tout boire d’un coup ou bien même rapidement. Au bout de 45 minutes, j’ai avalé la moitié, ma gorge me brûle, mais je dois continuer et terminer. Mais malheureusement, c’est trop tard, ma nouvelle Maîtresse vient de rentrer, et se dirige directement dans la chambre.
-Alors petite pute, j’espère que tu as bien tout avalé, sinon gaffe à toi !
Puni par la mystérieuse dominatrice !
Elle me retire le ruban adhésif de la bouche et voit qu’il reste encore la moitié. À ce moment là, je ne sais pas à quoi m’attendre. Je sais juste que je vais souffrir. Elle prend alors un ton très énervé qui me fait peur.
-C’est quoi ça ? Tu m’expliques ? JE T’AI LAISSÉ 45 MINUTES ET T’ES MÊME PAS CAPABLE DE FAIRE CE QUE JE T’AI ORDONNÉ ? Tu me déçois… Chloé sera très déçue de son chien… Principalement quand elle verra la vidéo de ta médiocrité.
Qu’entend-elle par là ? Cela a été filmé ? Je me sens rougir à ce moment précis. Ma mystérieuse dominatrice me prend par la mâchoire et me crache dessus à 15 reprises. J’ai le visage rempli de son crachat. J’ai toujours ce sperme en bouche, mais je ne sais pas encore que ça va vite changer. L’entrée de ma bouche est rapidement forcée par un gode. Ce gode s’enfonce dans ma bouche et pousse tout le sperme restant au passage pour me le faire passer au travers de la gorge.
Je viens d’avaler, facilement, 2cl de sperme en une seconde. C’est immonde. Si le gode avait été retiré rapidement, j’aurais sûrement vomi. Mais ma torture gustative ne s’arrête pas là, ce serait trop simple. Alors que ma mystérieuse dominatrice fait de longs et profonds va et viens avec le gode dans ma gorge, elle le retire d’un coup. Ensuite, elle pose directement son sexe sur ma bouche encore ouverte.
-J’vais faire passer ce goût de sperme.
Et à peine a t’elle fini sa phrase que je sens une giclée d’urine arriver dans ma bouche. Elle me prenait pour un chiotte. Alors j’avale, dégoûté, mais j’avale, giclée par giclée. C’est pour moi interminable. Ça y est. Elle a enfin fini, elle se relève, et me met une paire de gifles que je sens passer.
-LA PROCHAINE FOIS TU M’OBEIRAS ! TON CALVAIRE NE FAIT QUE COMMENCER CONNARD CROIS-MOI !