Alain fétichiste soumis (2) : Les retrouvailles

Alain, fétichiste soumis (1): Les retrouvailles

Alain était encore sous le choc et en même temps, il ressentait une certaine excitation. Cette humiliation soudaine lui rappelait à quel point il aimait être soumis.

Il restait là sans bouger, sentant sa semelle posée fermement sur son visage.

• Regarde moi, dit-elle avec douceur.

Alain tourna doucement sa tête qui était collée au sol sur le côté. Virginie releva légèrement sa semelle pour l’encourager tout en la laissant proche de sa peau. Il se trouvait dos au sol, regardant Virginie qui reposa délicatement sa semelle sur sa bouche. Elle le regardait avec un léger sourire, elle tenait ses mains sur ses hanches, sûre d’elle.

Finalement Alain ne put résister au désir de sortir sa langue pour lécher la semelle de la botte de Virginie. Alors qu’elle sentait sa langue parcourir sa semelle, Virginie ressentit une grande satisfaction et un grand sourire se dessinait sur son visage.

• Tu vois, lui dit-elle. Tu te sens naturellement à ta place sous ma botte. Il est inutile de lutter contre ce fait que tu es inférieur à moi. Tu n’as pas à avoir honte d’être un soumis.

L’excitation d’Alain grandissait à mesure que ces mots résonnaient dans sa tête et il se mit machinalement à lécher avec plus de ferveur la semelle de Virginie. Elle se mit à rire. Puis subitement retira sa semelle et alla s’installer sur le canapé.

Entièrement nu pour servir Virginie!

Alain était toujours allongé sur le dos, la langue sortie et le sexe tendu au maximum.

• Sers-moi un autre verre lui ordonna-t-elle toujours avec douceur.

Il se releva lentement encore sous le coup des émotions qu’ils ressentaient. Il se dirigea vers la bouteille posée sur la table.

• Attends ! dit-elle. Déshabille-toi d’abord. Je te veux nu pour me servir.

Sans même réfléchir, il exécuta son ordre et se déshabilla entièrement, révélant son excitation ce qui fit sourire Virginie. Puis il prit la bouteille et s’approcha de Virginie pour la servir. Il fit très attention en servant le vin dans le verre de Virginie et reposa la bouteille sur la table.

• Mets toi à genoux face à moi, ordonna-t-elle.

Puis elle tendit la jambe devant elle.

• Tes boules sur ma botte, précisa-t-elle avec malice.

Il se mit à genoux délicatement, ses boules compressés par la botte de Virginie. Elle fit un léger mouvement de va et viens sur ses boules ce qui ne manqua pas de l’exciter encore plus.

• Tu te sens mieux ? demanda-t-elle. J’ai été un peu dure tout à l’heure.

 

• Oui ça va mieux répondit Alain. Merci

Ensuite, elle remonta brusquement sa jambe, compressant plus fort les boules d’Alain.

• Merci qui ?, demanda-t-elle

 

• Merci Madame, dit rapidement Alain.

 

Elle relâcha le pression sur ses boules et reprit les caresses.

• Tu vois, dit-elle. Si je ne suis pas stricte, tu te laisses aller. Tu devrais me remercier pour tout à l’heure car ce que j’ai fait te permet de t’améliorer, comme soumis.

 

• Oui Madame, dit Alain. Je vous remercie pour cette leçon.

 

Pendant l’appel téléphonique, léchage des bottes de Virginie

Le téléphone de Virginie se mit à sonner. Elle regarda qui l’appelait et avant de répondre fit un signe à Alain.

• Pas un mot, dit-elle fermement.

Elle décrocha le téléphone.

• Allo ?… ça va bien et toi ? …. je suis avec un copain… (elle se met à rire) … tu es jaloux ? … Non c’est juste un copain, il n’est rien d’autre pour moi…

Alain ne pouvait s’empêcher d’écouter et se demandait comment interpréter ce qu’elle venait de dire.

• MMMh c’est tentant… non ce n’est pas un problème ça…

Elle claqua des doigts en montrant sa botte. Alain compris qu’il devait les lécher. Il se mit à quatre pattes et commença à lécher sa botte.

• D’accord… tu peux être là dans combien de temps ?…

Elle se leva tout en continuer sa conversation téléphonique. Alain resta sur place, ne sachant pas quoi faire.

Voyant qu’il ne bougeait pas, Virginie lui donna un coup de pieds aux fesses vigoureux. Alain fut surpris et compris qu’il ne faisait pas ce qu’il fallait. Il se précipita à 4 pattes sur sa botte pour continuer le léchage.

Elle le regarda un moment puis se déplaça dans le salon. Alain la suivait tant bien que mal en léchant ses bottes.

• Bien, alors je t’attends. Dépêche-toi.

Puis elle raccrocha le téléphone.

 

Obligé de se dépêcher pour finir de nettoyer les bottes

Elle observa Alain tandis qu’il léchait ses bottes.

• Tu vas te dépêcher de nettoyer mes bottes. Je veux être impeccable pour mon amant.

 

• Oui Madame, dit Alain.

 

Alain se disait qu’il allait devoir partir. C’était à la fois un soulagement et un regret car il prenait beaucoup de plaisir à être soumis. Cependant, il avait peur de ne pas pouvoir prendre de recul par rapports aux événements et se disait que ce serait une bonne chose d’y réfléchir calmement chez soi.

Virginie se dirigea vers la salle de bain. Alain la suivit pour continuer sa tâche et finir le plus vite possible.

Tandis qu’elle se préparait devant l’évier, Alain était à quatre pattes et passait rapidement à l’autre botte. Virginie ne faisait pas attention à lui. Il sentait l’odeur du parfum enivrant qu’elle vaporisait.

Puis elle retourna au salon. Alain la suivait toujours. Elle observa son travail.

• Plus vite dit-elle. Il ne va pas tarder. Et je ne veux pas qu’il te voit.

 

• Oui Madame, dit Alain en accélérant le rythme pour terminer au plus vite.

Au bout d’un moment, il pensa avoir terminé. Virginie alla devant le miroir pour regarder son travail.

• Bien, dit-elle. Ca suffira pour cette fois.

 

Punition très douloureuse …

Pendant ce temps Alain se releva et se dirigea vers ses vêtements pour se rhabiller. Elle se tourna vers lui.

• Que fais-tu?

 

• Et bien je me rhabille et je m’en vais pour ne pas être là quand ton amant arrivera.

Sans un mot Virginie s’approcha d’Alain et le gifla violemment. Il en fut sonné et ne réagit pas.

• A plat ventre, ordonna-t-elle

De suite, il s’exécuta et s’allongea au sol sur le ventre.

• Fais moi voir tes mains, commanda-t-elle alors.

Il tendit ses mains devant lui. Elle plaqua alors son talon aiguille sur sa main droite et appuya vers le sol. La douleur fut grande pour Alain qui ne put s’empêcher de pousser un cri en retirant vivement sa main ce qui provoqua une douleur supplémentaire car Virginie appuyait fort avec son talon. Alain se tenait la main pour faire passer la douleur.

• Remets ta main où elle était, dit-elle avec sévérité. Ou je vais me fâcher, petit soumis!

Alain hésita. Il commençait à voir de quoi Virginie était capable.

• Plus tu attends et plus la punition sera sévère, dit elle alors.

Il remit sa main tremblante sous le talon de Virginie. Elle appuya de nouveau vers le sol et enfonça son talon dans sa main. Alain serrait le poignet avec l’autre main pour essayer de canaliser la douleur. Il était rouge et respirait fort.

• Pitié, dit-il.

 

…pour ne pas avoir agi comme un bon soumis!

Elle releva un peu le talon ce qui soulagea grandement Alain, mais gardait son talon appuyé sur sa main.

• Tu pars quand je dis que tu pars, dit-elle. Par ailleurs, il n’est plus question pour toi de me tutoyer. En tant qu’être soumis tu me dois le respect. Est-ce que c’est clair ?

 

• Oui Madame répondit Alain sans réfléchir.

 

• Tu apprendras à obéir à mes ordres sans réfléchir et dans la seconde, précisa-t-elle. Je ne saurai tolérer la moindre hésitation.

 

• Oui Madame, dit Alain.

 

• Je me rends compte que je vais de voir te dresser. Tu n’es pas encore au meilleur de tes capacités.

 

• Oui Madame, merci Madame dit Alain.

 

• C’est bien, dit-elle. Tu commences à comprendre l’honneur qu’est pour toi de me servir et de m’obéir. Tâche de ne pas oublier ça, petit soumis!

 

• Oui Madame.

Elle retira son talon, Alain en profita pour se frotter les mains pour faire passer la douleur qui était encore forte.

• Bon, le temps presse, dit-elle.

 

Enfermé dans le placard de la cuisine, avant l’arrivée de l’amant de Virginie!

Elle se dirigea vers la cuisine et ouvrit le placard sous l’évier. On pouvait juste y trouver quelques produits d’entretien sur les côtés, le reste de l’espace étant vacant.

• Viens ici!, ordonna-t-elle

Il s’approcha à quatre pattes en boitant car sa main lui faisait encore mal.  Ensuite, il s’arrêta devant le placard ouvert.

• Tu vas m’attendre ici pendant que je serai avec mon amant, dit-elle. Je suis sur que tu rentres.

Il regarda à l’intérieur et s’inquiéta.

Elle sortit une bouteille d’eau du frigidaire qu’elle vida dans l’évier et lui tendit cette bouteille.

• Si tu as besoin d’uriner, dit-elle. Et tu devrais faire attention à ne pas en mettre en dehors de la bouteille.

Puis elle prit une bouteille d’eau pleine et lui tendit également.

• Pour boire, dit elle.

Il prit les bouteilles.

Elle lui donna un coup de pied aux fesses.

• Dépêche-toi, dit-elle. Mon amant va arriver.

Alain rentra tant bien que mal dans le placard. Il pouvait tenir mais impossible de s’allonger. Aussi, il se tenait assis et devait se courber, sa tête collé à l’évier. Il plaça les 2 bouteilles entre ses jambes.

• Je vais mettre une ficelle autour des poignets, dit-elle. Comme ça je saurai si tu es sorti. Et si c’est le cas, tu seras sévèrement puni. Et bien sûr, interdiction de te masturber.

Puis elle referma le placard et installa une ficelle en faisant simplement un noeud autour des poignets du placard.

 

A suivre