Alors Maîtresse Maura m’invite à me mettre à genoux à ses pieds, visage relevé vers elle, cuisses écartées. Elle me fixe, puis ses mains aux ongles acérées viennent travailler mes tétons plus fortement qu’ils ne l’ont été jusqu’alors quand ce n’était qu’une prise de contact avec mon corps. J’en ai le souffle coupé. Et elle, elle affiche un sourire carnassier.
Ensuite, elle se met à me gifler fortement puis moins fortement, mais suffisamment pour me tirer des larmes. Mon
regard d’incompréhension la fait éclater de rire à nouveau mais ça ne l’apitoie pas pour autant. Les larmes me viennent aux yeux.
Quand Maîtresse Laure revient, elle s’approche et regarde mes joues sur lesquelles, elle doit sans doute voir la trace
des doigts de sa compagne. Elle me fait une caresse en tapotant les joues et en me faisant un beau sourire.
- Tu as passé une belle épreuve ! Es-tu prêt à poursuivre comme soumis de tes Maîtresses ? As-tu envie de nous quitter en fuyant ? Ou resteras-tu pour être notre larbin, notre jouet ? Oh je vois ton regard plein de vénération et j’aime ça ! Pour ta récompense, mais ce sera rare, tu vas avoir le droit de jouir sur les cuissardes de Maura ! Profite bien de ce cadeau !
- Oh merci Maîtresses de me faire découvrir votre monde. En quelques heures, j’y ai été englouti !
- Maintenant, branle toi beau parleur !
Nouveau larbin de Maîtresse Maura et de Maîtresse Laure!
Et tourné vers une cuissarde de Maîtresse Maura, très attentive, je me masturbe. Elle me reprend en m’indiquant qu’il me faut tirer le prépuce, mouiller le gland de salive et astiquer, puis reprendre pour que ce soit esthétique, et complet!
Pendant que j’astique comme elle m’a dit, Maîtresse Laure qui est dans un peignoir, sentant la fraicheur de sa douche et les effluves du parfum qu’elle a délicatement passées sur son corps, vient se caler au dessus de moi, mettant ses jambes pour me serrer la tête.
Peu à peu le désir monte et la sève enflamme mon sexe. Je ralentis mais Maîtresse Maura m’ordonne, sèchement, d’en finir. Alors j’éclate en longs jets en prenant soin de bien les envoyer sur la cuissarde.
- Essuie avec ton doigt les goutes qui coulent encore de ton sexe, et avale! C’est bon ? Tant mieux parce que maintenant tu vas lécher mes cuissardes et les nettoyer jusqu’à ce qu’il n’y ait plus rien de ton sale jus de minable bite!
Je dois avoir un recul manifeste. En effet, je ne m’attendais pas à un tel ordre, mais devant mon temps d’hésitation
et de repli, Maîtresse Laure se retire un peu et de haut me gifle, en exigeant que j’obéisse. Alors, dompté, je m’approche des cuissardes. Je lèche mon jus qui coule en l’avalant au fur et à mesure jusqu’à ce que Maîtresse Laure me tire par les cheveux en arrière en me disant que voilà j’étais un bon petit dégueulasse, une trainée capable d’avaler son jus.
- Aide Maîtresse Maura à retirer ses cuissardes !
A genoux dans un coin pendant leur dîner!
Et là, maladroitement, j’apprends à retirer ses bottes immenses en me faisant engueuler quand je le fais de travers! A la fin, je sens une odeur forte, de sueur et de cuir mêlés. Ensuite, Maîtresse Maura se lève et part vers la salle de bains.
- Prends le petit coussin et va te mettre à genoux dans le coin là-bas en silence !
Là, je crois qu’elles ont envie de reprendre le cours de leur existence sans plus se préoccuper de moi. Et, de fait, je me retrouve la tête tournée vers le mur, le front à terre, le cul relevé et les cuisses écartées, comme on m’a appris. Pendant ces quelques heures passées avec ces deux Maîtresses, j’ai eu le temps de mémoriser. Je les entends vaquer à leurs activités, chantonner, se bécoter.
Puis j’entends le bruit d’un d’un bouchon de bouteille qui saute et de deux verres qui s’entrechoquent. Je comprends qu’elles sont à table. Ensuite, je les entends papoter de tout et de rien. Ces deux femmes ont l’air heureuses et amoureuses.
Ensuite, j’entends des bruits de chaises et d’assiettes. Enfin, je réalise qu’une des deux femmes s’adressent à moi :
- viens manger nos restes!
Dans un plat, de la nourriture déjà mâchée, avec des traces de salives m’attend! Même si ce n’est pas très appétissant, je me jette dessus tant les émotions des dernières heures m’ont donné faim.
- As-tu soif ?
- Oui Maîtresse !
Obligé de boire le « nectar divin » de mes deux Maîtresses!
Alors je vois Maîtresse Laure, toujours en peignoir, avec de superbes mules au pied, prendre un grand verre à pied, le passer sous son peignoir et entre ses jambes. Un glou-glou m’indique qu’elle est en train de pisser dans le
verre. Ensuite, elle le sort de dessous son peignoir puis elle me le tend.
- Désormais, en notre présence tu ne boiras plus que notre pisse ! C’est un honneur que nous te faisons, de ce nectar qui a traversé tout notre corps !
Et elle se met à rire aux éclats devant mon air effaré. Ensuite, se reprenant, elle me tend le verre avec insistance et
je me sens obligé de m’exécuter. Ainsi, je commence à boire, à petites gorgées. Je me sens très humilié car je me rends compte que je suis tombé très, très bas.
- Alors, petit prof minable, tu aimes ma mixture?
Je me sens obligé de répondre :
- Oui Maîtresse Laure, mais je ne suis pas habitué, ça surprend! Serai-je vraiment obligé, Maîtresse, de boire ce breuvage tout le temps?
Une paire de gifles arrive d’emblée, et elle semble furieuse et me elle me foudroie du regard.
- Ingrat, je te donne à boire et tu fais le palais difficile alors que tu aurais du me remercier de cette nouveauté, inédite pour toi.
Je baisse la tête! En fait, je suis confus car j’ai envie de me révolter et, dans le même temps, je ressens de l’admiration béate pour cette jeune Femme qui m’ouvre son monde et m’y fait entrer sans retour.
Puis obligé de faire la vaisselle et le rangement après le dîner!
Elle reprend le verre, le remplit à nouveau de la même manière! J’admire le fait qu’elle puisse, ainsi, contrôler son pipi! Ensuite, elle me le tend rempli.
- Merci Maîtresse Laure !
Et je bois, lentement, apprenant à goûter ce nectar qui va devenir ma boisson quotidienne.
- Tu vas maintenant faire notre vaisselle et nettoyer la table et la cuisine!
Alors, je me lève et commence par nettoyer la table, le plan de travail puis je passe le balai. Enfin, je commence à la vaisselle qui est empilée dans l’évier. Pendant ce temps là, je sens une présence dans mon dos. Je devine qu’il s’agit de Maîtresse Maura, grâce à son effluve particulière. Ensuite, je sens ses seins appuyer sur mes omoplates, ses mains me palper les fesses puis venir chercher mes couilles, mon sexe.
- Ne t’interrompes surtout pas , petite salope !
Et elle se retire puis elle me doigte l’anus avec du gel afin de pouvoir introduire un gode-ceinture, assez fin je
pense a posteriori.
- Continue ! : m’ordonne t elle pendant que je lave la vaisselle, au risque de me faire casser quelque chose
tant je tremble.
Le gode entre, sort, revient, en coulissant naturellement! Je commence à ressentir un picotement de jouissance, en tout cas d’excitation, d’où une reprise de tension de mon sexe. Et il me faut poursuivre ma vaisselle… A un moment, ce n’est plus possible tant elle accélère son rythme en m’insultant et en me traitant d’enculé, de trainée, etc… Je ne suis plus qu’un cul tendu, perforé, possédé, et je jouis.
Maîtresse joue avec moi pendant que je fais la vaisselle!
Je jouis, intérieurement, par les sensations, et c’est un éclat, une bombe dans ma vie, une sensation inconnue, un état de choc, qui me révèle ma condition nouvelle de jouet au service de ces dames.
Oui l’enfer peut être, également, un Eden !
Elle s’arrête et part en m’ordonnant d’achever ma tâche. C’est en sueur que je termine une vaisselle pourtant pas énorme. Ensuite, Maîtresse Laure, hilare, vient contrôler, un peu déçue de ne rien trouver à redire.
- Bien la boniche ! Tu t’en sors pas mal. Je vois que tu as des démangeaisons anales, tu tortilles tes fesses ! Ah, tu sais pendant que tu jouais à la salope avec un gode, j’ai eu ma mère au téléphone. Elle se souvient de toi, et est pressée de te revoir!
Je suis consterné. En effet, je me souviens d’une Femme autoritaire, vindicative et fort belle qui m’a cloué le bec
quand j’ai voulu faire exclure Laure du lycée. Et voilà que je risque une nouvelle confrontation. Je n’ose penser dans quelle apparence je lui serais présenté !
Pour l’heure, la nuit était avancée! Depuis l’après-midi, j’avais perdu la notion du temps écoulé. Maîtresse
Laure me montre ce qu’il faut que je prépare pour le petit déjeuner. Puis elle me passe des bracelets de cuir aux poignets et aux chevilles. Enfin, elle m’amène au pied de leur lit sur un petit matelas, et m’attache à des chainettes me laissant du mouvement.
Elle insiste sur le confort qu’elle m’accorde et je l’en remercie.
Elles marchent sur mon corps!
Chacune des Maîtresses après s’être mise nue vient marcher pieds nus sur mon corps, me retournant dans
un sens ou dans l’autre de sorte que mon dos et mon ventre ou mon sexe et mes fesses aient été foulés aux
pieds, comme le raisin dans le pressoir des vendanges antiques. Comme elles sont belles, resplendissantes, ainsi nues avec le halo de la lumière tamisée de la chambre, l’une au corps clair, l’autre au corps sombre.
Je suis comme devant l’apparition des anges.
Puis la lumière s’éteint et commence, alors, un festival de gémissements, de frottements de cris de jouissances
d’une intensité que je n’aurai jamais soupçonné. Mon sexe est tendu, mon attention soutenue, mon souffle
retenu. Tout en moi se concentre vers cette scène que j’entends mais que je ne vois pas. Puis, il y a des sifflements, des baisers, et enfin, un silence de plomb.
Je tarde à m’endormir car je repense à tout ce que je viens de vivre en quelques heures et comment tout a basculé. Puis le sommeil m’emporte, jusqu’à ce que sonne le réveil. Il me faut du temps pour émerger.
Le soleil brille, déjà, à travers les vitres. Une tape forte sur mes fesses m’indique qu’il est temps de revenir à la vie. Je suis détaché, et je file préparer le petit déjeuner pour mes deux Maîtresses. Enfin je le leur apporte au lit ! Café pour Maitresse Laure, Thé pour Maîtresse Maura. J’avance avec le plateau, essayant de ne pas trébucher sur les godes qui sont par terre à côté du lit, luisant de mouille séchée. Je dépose le plateau avec les tartines que j’ai préparées pour chacune selon les indications données la veille, puis je me retire à genou sur mon matelas…
Au réveil, petit déjeuner au lit pour mes deux Maîtresses
Maîtresse Laure m’appelle pour me donner à manger quelques morceaux de tartines mâchées pleines de sa
salive, puis elle me dit :
- Pour toi, ce sera un thé particulier !
Elle ouvre, grand, ses jambes me montrant du doigt que je dois descendre vers son sexe. Elle m’attrape la tête, la colle à son entre cuisse me recommandant d’ouvrir grand ma bouche et d’avaler tout ce qui viendrait.
Alors à petits jets d’abord, puis jets plus forts ensuite, elle me fait boire son urine chaude, direct de la source au consommateur. C’est mon premier contact avec le sexe d’une Femme. Quand c’est fini, elle me demande de bien nettoyer, puis de retourner à ma place.
Il ne faut pas beaucoup de temps pour que Maîtresse Maura m’appelle. De nouveau, j’ai le droit à de la bouillie mais
très baveuse de salive, comme une crème liquide. Ensuite, elle aussi ouvre les jambes et me demande de contempler et de vénérer ce temple auquel je dois adoration. Et de fait, je suis fasciné.
- Alors puceau, tu vois ce que c’est l’origine et le règne du monde !
Je viens sentir, et en humant, j’ai le droit aux restes des réjouissances de la nuit. Je me rends compte que cela a donné une partie du goût de la pisse de Maîtresse Laure. Ensuite, en me poussant vers son vagin, elle se met elle aussi à uriner dans ma bouche, de sorte que je peux tout avaler sans rien laisser échapper. Je m’applique et je trouve son goût plus fort encore que ce que j’ai bu jusque là !
Une fois ce petit déjeuner accompli, elles m’ordonnent d’aller me laver puis d’attendre sur mon coussin à genou dans le salon.